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Voyager en cargo

par Madame Oreille

Voya­ger en car­go pour ne pas prendre l’a­vion, voya­ger len­te­ment, obser­ver les pay­sages et la vie à bord de ces géants des mers.
Conseils pour orga­ni­ser votre voyage en car­go et récit de mon aven­ture sur le Mar­co Polo de la CMA CGM.

Un voyage en cargo : pour qui, pourquoi ?

Un voyage en car­go, ce n’est pas une croi­sière Cos­ta : pas d’a­ni­ma­tions le soir, per­sonne pour vous mas­ser, il va fal­loir trou­ver com­ment vous occu­per tout seul(s) ! Bon, les marins seront sou­vent ravis de dis­cu­ter, de mon­trer leur tra­vail, mais ils auront aus­si besoin qu’on ne soit pas dans leurs pattes constam­ment. Du coup, le voyage en car­go est quand même réser­vé à des gens qui ne sont pas hyper­ac­tifs, et qui sont capables de res­ter long­temps à regar­der le tra­vail dans un port, à contem­pler le paysage.
Il faut sup­por­ter l’inactivité !

J’au­rais ten­dance à pense que c’est le genre de voyage qui est sur­tout inté­res­sant dans le cadre d’une expa­tria­tion, d’un retour, ou d’un voyage au long cours : lors­qu’on n’est pas pres­sés et qu’on veut sen­tir les dis­tances au lieu d’être cata­pul­tés à 5000km par avion (Sarah, par exemple, avait pris un car­go depuis la Malai­sie pour conclure son tour du monde et ren­trer en France).

Les conte­neurs passent à quelques mètres des sabords de notre chambre

Les questions que vous vous posez peut-être avant d’organiser votre voyage en cargo

Ci-des­sous, j’ai essayé de réunir toutes les ques­tions que vous pour­riez vous poser si voya­ger sur un porte-conte­neurs vous atti­rait. On pour­rait croire que c’est excep­tion­nel et raris­sime, mais pas du tout : au contraire, il y un pont (étage) réser­vé à des cabines pas­sa­gers sur tous les car­gos, et tout est pré­vu pour trans­por­ter des civils, même si ça n’est pas for­cé­ment très cou­rant (l’a­vion fai­sant tout de même une sacrée concurrence).
Il y a des chambres plus ou moins grandes, mais toutes ont une salle de douche et un espace salon.

En plus du salon de la chambre, on trou­ve­ra le « mess », ou « car­ré » : un lieu de vie où les gens peuvent se retrou­ver. Il y aura celui des marins, celui des offi­ciers et, sur le Mar­co Polo, celui des­ti­né aux pas­sa­gers. A l’in­té­rieur, on peut dis­cu­ter affa­lés dans les cana­pés, boire un jus de fruits mis à dis­po­si­tion dans le fri­go, ou regar­der la télé (ou des DVD, on ne doit pas cap­ter grand chose au milieu de l’Atlantique).

Peut-on embarquer en famille ?

Un enfant peut mon­ter à bord à par­tir de 5 ans et, jus­qu’à 12 ans, il béné­fi­cie­ra de 30% de réduc­tion sur son billet. Pour autant, si c’est un gamin tur­bu­lent qui n’aime pas trop res­ter assis à lire, les jour­nées risquent d’être longues pour lui, et pour vous (il faut éga­le­ment gar­der à l’es­prit que le Capi­taine du vais­seau peut par­fai­te­ment faire des­cendre qui il veut, et de force s’il le faut, dans n’im­porte quel port) ! Mais si l’en­fant est calme, ce sera un voyage super où il décou­vri­ra un monde à part et appren­dra plein de choses, et élar­gi­ra son voca­bu­laire (posi­ti­ve­ment).
Pour les per­sonnes âgées, c’est réser­vé aux moins de 80 ans : il faut une bonne condi­tion phy­sique en cas de pépin avec le bateau : enfi­ler la com­bi­nai­son, rejoindre le canot de sau­ve­tage, etc.

Qu’est-ce qu’il se passe si on est malade ?

Il n’y a pas de méde­cin à bord. D’où l’o­bli­ga­tion d’a­voir une assu­rance pour cou­vrir un éven­tuel rapa­trie­ment. Mais si vous ne cou­rez pas sur les pas­se­relles humides, il ne vous arri­ve­ra rien, rassurez-vous !

Une femme enceinte peut-elle voyager sur un cargo ?

Non. Etant don­né l’ab­sence de méde­cin, il est impos­sible d’embarquer enceinte. En effet, selon les iti­né­raires, il est fré­quent de pas­ser plu­sieurs jours sans pas­sage dans le moindre port. De la même manière qu’une femme enceinte évi­te­ra de par­tir bivoua­quer en auto­no­mie loin de la civi­li­sa­tion, voya­ger en car­go est éga­le­ment à proscrire.

Peut-on fumer à bord ?

Oui. Il y a même cer­tains espaces inté­rieurs qui sont acces­sibles aux fumeurs. C’é­tait notam­ment le cas de notre chambre, où il était juste deman­dé de ne pas fumer dans le lit. Par contre, veillez à gar­der vos mégots pour vous (ne les balan­cez ni par la fenêtre le sabord, ni par-des­sus bord : ça pol­lue, vos trucs.

On mange quoi ?

Alors, euh... Vous aimez les patates ? Non mais c’est bon, les pommes de terre, et en plus y a plein de choses à faire avec : des frites, de la purée, des pota­toes, des petits dés sau­tés, au four...
Bon, blague à part, j’ai appré­cié mon potage à chaque repas : c’est revi­go­rant et ça récon­forte. En des­sert, nous avions des fruits, des glaces... Bref, ne vous atten­dez pas à de la haute gas­tro­no­mie : on mange la même chose que les offi­ciers (les marins phi­lip­pins avaient des trucs légè­re­ment dif­fé­rents, ques­tion de culture). C’est simple, mais c’est bon.

On s’occupe comment ?

On regarde le pay­sage, on lit, on fait la sieste. Comme je le disais plus haut, il faut aimer le calme. Mais il y a aus­si une salle de sport (la notre ser­vait de débar­ras, mais on aurait pu taper dans un sac de sable ou jouer au ping-pong) ; il y a aus­si une petite biblio­thèque (vide sur le Mar­co Polo, au moment de notre pas­sage, vu que le bateau est tout neuf), une salle télé dédiée aux pas­sa­gers, et même une pis­cine (exté­rieure donc, en plein décembre, elle était vide !).

Le salon des offi­ciers, et celui des passagers

Plus pragmatique : comment rejoint-on le bateau ?

Effec­ti­ve­ment, on ne peut pas entrer dans un port comme dans une église. C’est d’ailleurs réel­le­ment immense : à Rot­ter­dam, entre l’en­trée du port et le quai où était amar­ré le Mar­co Polo, on a bien rou­lé pen­dant quelques dizaines de minutes. De plus, sur les océans, on quitte faci­le­ment l’es­pace Schen­gen. Il y a donc un pas­sage obli­gé par le bureau de l’im­mi­gra­tion, qui n’est pas for­cé­ment à côté du port (en tout cas, ce n’é­tait pas le cas à Rot­ter­dam). Pour l’oc­ca­sion, la com­pa­gnie CMA CGM avait mis à notre dis­po­si­tion un taxi pri­vé pour nous mener d’un bout à l’autre de la ville jus­qu’à nous dépo­ser à l’es­ca­lier exté­rieur d’appontage, sur le quai. Je ne connais pas les condi­tions habi­tuelles mais il est tou­jours pos­sible de se ren­sei­gner direc­te­ment auprès de la com­pa­gnie choi­sie : elles ont for­cé­ment des pra­tiques semblables.

Les cou­loirs pour rejoindre la gigan­tesque salle des machines (plus gros navire au monde = plus gros moteur au monde !)

Un voyage en cargo : comment, à quel prix ?

Le voyage en car­go reste rela­ti­ve­ment cher : 100€ par jour et par per­sonne pour un couple, 110€ pour une per­sonne seule. Si on se dit que ça rem­place un tra­jet en avion et que c’est en pen­sion com­plète (ni hôtels ni res­tau­rants à payer), ça paraît plus rai­son­nable. C’est le genre de voyage qu’on envi­sage pour des occa­sions excep­tion­nelles et où il n’est pas grave de faire un gros chèque !

Pour plus d’in­fos sur les iti­né­raires, et les des­ti­na­tions de la CMA CGM : ici. Et pour plus d’in­fos sur le Mar­co Polo, c’est par là.

Du 16 au 19 Décembre 2012, mon Belge et moi-même étions à bord du plus grand porte-conte­neurs au monde (et plus grand navire, tout type confon­du, par là même), le Mar­co Polo (de la com­pa­gnie CMA CGM). Nous avons embar­qué à Rot­ter­dam pour des­cendre au Havre, un tra­jet court et pas vrai­ment exo­tique, mais par­fait pour s’i­ni­tier à l’u­ni­vers des voyages en car­go. Nous avons appris l’o­ri­gine de l’ex­pres­sion célèbre du capi­taine Had­dock « mille mil­liards de mille sabords », et quelques ren­contres nous ont fait rajou­ter les Phi­lip­pines sur la longue liste des pays que nous vou­lons voir.

Extrait de mon car­net de bord.

J’é­cris ces quelques lignes depuis Zee­brugge. Il n’est pas loin de minuit. Marc dort, à côté de moi. Nous avons lais­sé un rideau ouvert et les lumières du bateau pro­jettent sur le mur des ombres chi­noises étranges. Des monstres d’a­cier s’af­fairent, passent et repassent à quelques mètres de nous. Ils ont des airs d’in­sectes géants.

Ber­cée par les cli­que­tis métal­liques, j’en oublie­rais presque où je me trouve. En chiffres concrets, 25 ran­gées de conte­neurs dans le sens de la lon­gueur, 20 dans le sens de la lar­geur, 8 sur la hau­teur (sans comp­ter ceux pré­sents dans la cale), le tout en par­tance pour la Chine grâce à un moteur de 110 000 che­vaux (éga­le­ment le plus grand du monde).
C’est notre deuxième nuit à bord, nous la pas­sons à quai. Nous avons quit­té Rot­ter­dam la nuit der­nière, pour arri­ver à Zee­brugge avant le lever du jour. Je me suis réveillée plu­sieurs fois, juste pour voir le bateau en mer, mais en pleine nuit, on ne voit pas grand chose. Allon­gée, j’es­sayais ensuite de me concen­trer pour sen­tir le mou­ve­ment, très peu per­cep­tible, du plus grand navire du monde. Rien à faire, même pas un mini ber­ce­ment, inutile d’en­vi­sa­ger le moindre mal de mer !

Au matin, les grues étaient déjà à l’œuvre. Des mil­liers de conte­neurs à prendre ou à dépo­ser, et elles n’ont ces­sé depuis, leur manège. De grandes marion­nettes de métal, avec ces longs câbles pour sou­le­ver les boîtes de métal.

Nous avons fait la connais­sance des marins qui pas­se­ront, en tout, 9 mois sur le Mar­co-Polo. Trois natio­na­li­tés : deux ingé­nieurs chi­nois, des offi­ciers croates, et beau­coup de philippins.


Dante est inten­dant, et assiste Mon­sieur Navar­ro à la cui­sine. Il a une chance, par rap­port à Richard : c’est qu’il reste à l’in­té­rieur (les jour­nées dehors, dans la pluie et le froid, doivent être bien fati­gantes). Il a un fils, qui n’a que sept mois, et ne voit sa femme que deux mois par an, entre deux « mis­sions » sur les car­go. Tout comme Richard, sa famille lui manque, mais il ne se plaint pas : il gagne beau­coup plus d’argent ain­si, puis il y a tou­jours les mails et le téléphone.


Les jour­nées de tra­vail sont longues mais ils sont bien lotis, sur le Mar­co-Polo : cha­cun a sa cabine, et ils ont une salle com­mune pour regar­der la télé, fumer, dis­cu­ter, se détendre.
Richard m’a confié être un peu frus­tré de ne jamais avoir le temps de des­cendre du car­go pour aller plus loin que les « clubs de marin ». Il aime­rait voir Paris, mais a cal­cu­lé que l’es­cale au Havre était trop courte pour faire l’al­ler-retour dans la journée.

Nous ne sommes pas les seuls pas­sa­gers à bord. Une peintre est mon­tée dix jours plus tôt. Vivi Navar­ro est spé­cia­li­sée dans le monde de la mer, et elle par­tage avec nous son expé­rience. Elle nous apprend le mot « sabord » au lieu de « fenêtre », elle nous parle des pilo­tines, du port de Ham­bourg sous la neige, de la vie à bord des dif­fé­rents bateaux sur les­quels elle a embar­qué. Elle pré­pare ici son pro­chain livre, pour lequel elle revien­dra, bien­tôt, à bord du Marco-Polo.

Ce n’est pas une sur­prise, mais l’am­biance sur le bateau est loin de « La Croi­sière s’a­muse ». Aucune acti­vi­té, pas de karao­ké ni de magi­cien, pas de soi­rées dan­santes, pas de menus com­pli­qués, et pas d’al­cool, d’ailleurs. Voya­ger sur un car­go, c’est fait pour les gens calmes et soli­taires qui réus­sissent à s’oc­cu­per sans qu’on leur pro­pose quoi que ce soit. On va obser­ver la vie autour de soi, regar­der les grues et les pay­sages, appré­cier le repos, trou­ver une pas­se­relle où s’ins­tal­ler pour lire, écrire ou des­si­ner. On dis­cu­te­ra avec l’é­qui­page et, éven­tuel­le­ment, on pro­fi­te­ra un peu de la salle télé. C’est un rythme qui nous convient bien avec le Belge, à l’i­mage de nos longs voyages en train à tra­vers la Rus­sie ou les États-Unis, on réap­prend à aimer la lenteur.

Port de Zee­brugge, en Belgique.
La jour­née a été longue : c’é­tait le cock­tail pour l’i­nau­gu­ra­tion du Mar­co-Polo, le porte-conte­neur géant et flam­bant neuf de CMA CGM. Tous les diri­geants et clients impor­tants étaient là, accom­pa­gnés de jour­na­listes. On s’est faits et sen­tis petits, et on a pré­fé­ré res­ter un peu à l’écart.

Cock­tail pour le voyage inau­gu­ral du Marco-Polo

A 18h, le car­go était enfin à nou­veau vide, ou presque. Une tren­taine de marins, une équipe d’un JT fran­çais, un jour­na­liste d’un grand quo­ti­dien, une peintre, et nous ! Et le len­de­main, nous des­cen­drons tous au Havre, lais­sant Dante, Richard, Miloš et les autres prendre la route vers Malte, Dubaï puis Shangaï.
Nous navi­guons de nuit, et pour la pre­mière fois, nous sommes auto­ri­sés à péné­trer la cabine de pilo­tage. C’est très impres­sion­nant. Pour pou­voir dis­tin­guer quelque chose pen­dant la manœuvre, l’é­qui­page a habi­tué ses yeux à l’obs­cu­ri­té pen­dant de longues minutes avant le départ. Tout est éteint, à l’ex­cep­tion de minus­cules lou­piotes rouges per­met­tant de dis­tin­guer le tableau de bord. On per­çoit même les bandes phos­pho­res­centes pla­cées sur les bords des ameu­ble­ments de la cabine pour évi­ter de s’y cogner. Le silence est abso­lu, un grand rideau bloque la lumière et cha­cun essaie de ne pas bou­ger afin que la concen­tra­tion soit maximale.

Il fau­dra plus d’une heure pour finir la manœuvre et pour que les pilotes qui sortent le bateau du port s’en aillent, avant que nous ne navi­guions véri­ta­ble­ment en mer. Mais à aucun moment on ne sen­ti­ra le moindre remous, le Mar­co Polo étant bien trop gros pour ça !
On est donc allés man­ger, puis se cou­cher, en sachant que, le len­de­main, on serait au Havre...

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76 commentaires

gaspard 2 janvier 2013 - 9:30

Voya­ger len­te­ment en pre­nant le temps de pen­ser. Je crois que j’ai­me­rai ça.
Pho­tos magni­fiques, comme toujours.

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Pyrros 2 janvier 2013 - 9:32

Encore de chouettes pho­tos notam­ment celle avec les éoliennes en fond. 

J’ai l’im­pres­sion que le voyage per­met plus de proxi­mi­té avec les pro­fes­sion­nels du bateau que l’on ne ren­contre pas sur une croi­sière « tra­di­tion­nelle » sauf pour les pho­tos des touristes

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Béatrice Castex via Facebook 2 janvier 2013 - 9:37

très inté­res­sant !

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cyrille 2 janvier 2013 - 11:06

Super ton reportage.Faisant par­ti de la Marine je connais bien ces monstres d’a­cier mais pas de l’intérieur.Une façon ori­gi­nale de voya­ger aus­si qui fait décou­vrir un monde que les gens connaissent peu.Bonne année 2013 et au plai­sir de te lire 🙂

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Oreille 2 janvier 2013 - 11:40

Gas­pard : je crois que c’est par­ti­cu­liè­re­ment adap­té pour les voyages au long cours : lors­qu’on rentre d’un tour du monde (comme Sarah, d’ailleurs), ou quand on est en plein dedans et qu’on va d’un conti­nent à l’autre. C’est peut-être moins apai­sant lors­qu’on tra­verse l’at­lan­tique un jour de tem­pête, mais je crois que ça nous fas­ci­ne­ra toujours !

Pyr­ros : Il n’y a qu’une tren­taine d’hommes à bord, et on mange dans la même pièce que les offi­ciers. Donc ouais, l’am­biance est très différence !

Cyrille : bonne année à toi éga­le­ment ! Tu passes ta vie sur quel genre de bateau, du coup ?

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cyrille 2 janvier 2013 - 11:54

sur une fré­gate de la Marine.Je rentre de mis­sion en océan indien et c’é­tait le top.D’ailleurs encore mer­ci pour tes conseils photos,ils m’ont été très utiles!Tu peux voir les résul­tats sur ma page fb si tu veux.

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Madimado 2 janvier 2013 - 12:51

Très beau repor­tage, ça donne envie d’al­ler faire une petite tra­ver­sée en car­go, autre­ment plus ten­tant qu’une croi­sière Fram !

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Cocagne 2 janvier 2013 - 22:28

Je note que tu as immé­dia­te­ment vu ce qu’é­tait un équi­page de phillipins.
Ce sont de grand marins bien formés .
Sou­ve­nez vous de leur atti­tude lors de l’af­faire lamen­table et tra­gique du nau­frage du Cos­ta Concordia .
tous les pas­sa­gers res­ca­pés ne tarissent plus d’é­loges sur leur pro­fes­sion­na­lisme qui le a amè­né à ris­quer leur propre vie pour accom­plir ce qui est le rôle de tout marin de navire à passager.

Magni­fique papier et mer­ci pour les des­sins et les esquisses .Madame Oreille devient un vrai ren­dez vous

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Suzette 2 janvier 2013 - 23:05

Bel article ! Un uni­vers bien par­ti­cu­lier s’é­chappe de tes pho­tos et de tes écrits. Je découvre ton blog aujourd’­hui, j’aime beaucoup 🙂

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Mélissa 3 janvier 2013 - 0:27

Bonne année Oreille et tous mes voeux à tous les deux !

Mais il est tout neuf en plus, le Mar­co Polo. Là, je confesse, je suis jalou­sie. ;D Et com­ment fait-on pour réser­ver sa cabine sur ce monstre des mers ?
Je suis chaude comme une bar­raque à frites pour me lais­ser por­ter à son bords.

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piotr 3 janvier 2013 - 13:50

Magni­fique les dessins 🙂
Pour les pho­tos, je ne fais pas de com­pli­ments, tu en as déjà assez 😉

Bonne année à vous 2.

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Stéphane 3 janvier 2013 - 21:08

Quelle expé­rience aty­pique. Elle me donne envie au niveau pho­to­gra­phique. Mais peut être pas l’i­déal pour un voyage fami­lial. Mais un ravis­se­ment à lire et à regarder.

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Voyage en cargo : la vie à bord du Marco-Polo | Revue de presse CMA CGM | Scoop.it 4 janvier 2013 - 15:26

[...] Tweet Tweet­Du 16 au 19 Décembre 2012, mon Belge et moi-même étions à bord du plus grand porte-conte­neurs au monde (et plus grand navire, tout type confon­du, par là même), le Mar­co Polo (de la com­pa­gnie CMA CGM). [...]

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Fabien@Astuces Photo 5 janvier 2013 - 9:36

Ça me ten­te­rait bien ce type de voyage en car­go. La « Croi­sière s’a­muse » ce n’est pas trop ma tasse de thé 😉

J’aime beau­coup les pho­tos de conte­neurs et le trai­te­ment que tu as réa­li­sé. Le ciel mena­çant vient ajou­ter un côté dramatique.

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Stephane 5 janvier 2013 - 14:24

Quelle spec­tacle, le récit et les visuels donne une image très pré­sente de l’am­biance de ce bref voyage mari­time, en tout cas, la plume, le crayon et la pho­to sont à l’hon­neur de bien belle façon, bravo…

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Le Fil de Lau 5 janvier 2013 - 18:58

On s’i­ma­gine aisé­ment avec toi à bord du cargo.

A chaque fois, tes des­sins m’im­pres­sionnent. Joli coup de crayon !

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Curieuse Voyageuse 6 janvier 2013 - 11:11

Ouhaou, superbes dessins...
Le voyage en car­go est un type de voyage qui m’at­tire depuis très long­temps. En me ren­sei­gnant, j’é­tais juste éton­née par le prix assez élevé.
Com­ment as-tu orga­ni­sé ce voyage-ci ?

Et bonne année voya­geuse bien sûr !

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Lucie 6 janvier 2013 - 12:02

Ah j’en rêve d’un long voyage en car­go. Les prix sont assez éle­vés c’est vrai, mais nour­ri et logé ce n’est pas si mal pour une telle expé­rience je trouve.
Du coup, vous avez envie d’embarquer pour plus longtemps ?

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Oreille 21 janvier 2013 - 17:52

Je pense qu’on pour­rait le refaire dans un cadre expa­tria­tion ou long voyage. Toi, tu pour­ras le prendre pour ren­trer, entre Sou­thamp­ton et Le Havre (il y a 10 jours : il passe par l’Al­le­magne entre les deux) ^^

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Donlope 7 janvier 2013 - 11:36

Excellent article, c’est bien écrit, le sujet est éton­nant, on a un contexte, des per­son­nages et les pho­tos sont top ! Ca donne envie en tout cas de décou­vrir cet autre mode de voyage !
Au pas­sage, qu’est ce que c’est gra­phique un empi­le­ment de containers !

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Oreille 21 janvier 2013 - 17:50

oui, très gra­phique ! Il fau­drait pou­voir obte­nir les auto­ri­sa­tions pour se pro­me­ner au milieu et faire des pho­tos « géo­mé­triques ». Les ports eux mêmes, avec les grues, le métal, sont très inté­res­sants, et il est frus­trant de ne pas avoir le droit d’y marcher !

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Blog du Voyage — Dix endroits dans lesquels j’aimerais aller dormir en 2013 7 janvier 2013 - 12:28

[...] Madame Oreille a été invi­tée à dor­mir dans le plus grand bâteau du monde, et j’en suis vert de jalou­sie. Tant pis, j’essaierai de me trou­ver un bâteau à moi, un voi­lier, en mer, qui navigue et bouge et tangue et donne envie de pas­ser par-des­sus bord, dor­mir sur un bâteau plan­té au milieu de l’Océan et crier, dans son som­meil, l’un des jurons pré­fé­rés du Capi­taine Had­dock. Mais si vous pré­fé­rez la for­mule clas­sique de l’hôtel confor­table en voyage, rien ne vous empêche d’aller pui­ser votre ins­pi­ra­tion sur un site comme Hotelclub.fr. [...]

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LadyMilonguera 8 janvier 2013 - 12:44

Je crois que c’est une expé­rience qui me plai­rait assez...

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Cyril 10 janvier 2013 - 12:58

Mer­ci pour cette article fort inter­res­sant. Il est vrai que c’est rela­ti­ve­ment chère mais cela doit-être uns sacrée expérience

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Rachel Blog-trotteur via Facebook 10 janvier 2013 - 13:51

Tres inter­res­sant!!!

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Madame Oreille, photos de voyage via Facebook 10 janvier 2013 - 14:02

Mer­ci Rachel ! C’est le genre de voyage qui te tente ?

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Rachel Blog-trotteur via Facebook 10 janvier 2013 - 14:18

ouep...j’ai y sou­vent pensé...mais l’homme est malade en mer 🙂

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Jeremy 10 janvier 2013 - 14:19

Bon­jour et mer­ci pour cette série d’ar­ticle vrai­ment très intéressant.
Je me posais une ques­tion sur la vie à bord : Est ce qu’il est pos­sible de com­mu­ni­quer avec l’ex­té­rieur (telephone/internet)?

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Oreille 18 janvier 2013 - 12:28

Tech­ni­que­ment, il y a les mails et le télé­phone, mais c’est à usage res­treint, il me semble. En gros, tu ne peux pas appe­ler tous les soirs la famille ni pas­ser ton temps sur skype ^^

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Madame Oreille, photos de voyage via Facebook 10 janvier 2013 - 14:53

Sur un car­go, on ne tangue pra­ti­que­ment pas, il n’a pas d’excuse !

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Rachel Blog-trotteur via Facebook 10 janvier 2013 - 14:56

C vrai ! :=

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Rachel Blog-trotteur via Facebook 10 janvier 2013 - 14:57

En tout cas super...j’etais tel­le­ment curieuse de savoir com­ment c’etait...ton article comble cette lacune ...;)

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Piotr 10 janvier 2013 - 19:15

C » est clair que 100 euros par jour par per­sonne ce n’est pas don­né mais comme tu le men­tionnes jus­te­ment, on ne peut pas que pour le prix du voyage, on peut l’hébergement aussi. 

Je pense que c’est exac­te­ment ce qu’il me fau­dra pour clore un grand voyage comme un tour du monde... sur les pas de Sarah.
Une cure de dés­in­toxi­ca­tion d’in­ter­net aus­si, j’imagine 🙂

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Oreille 21 janvier 2013 - 17:56

Oui, si on se dit qu’on a le prix du trans­port, plus le nour­ri logé, et l’ex­pé­rience, ce n’est pas si cher. Même si l’ad­di­tion fait mal et peur !

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Rgs_ 10 janvier 2013 - 23:02

C’est super inté­res­sant ! Mais trop lent et j’ai été refroi­di par le prix...

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Le Fil de Lau 10 janvier 2013 - 23:07

Inso­lite et inté­res­sant. Je pen­sais que c’é­tait moins cher que ça par contre !

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Françoise 11 janvier 2013 - 8:17

L’article était très inté­res­ser. J’ai été très impres­sion­née par les dimen­sions ! cela semble gigan­tesque mais comme beau­coup j’ai aus­si été refroi­die par le prix....
J’aime beau­coup la pho­to de filé au moment de votre départ du quai. elle est bien faite !

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PBGalerie.ch 11 janvier 2013 - 11:49

Vrai­ment cool ces pho­tos et pas cou­rantes... J’a­dore les cadrages et couleurs !

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Didier 11 janvier 2013 - 19:56

C’est une expé­rience à rajou­ter sur ma liste de voyages inso­lites. Sans votre blog l’i­dée ne me serait jamais venue

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Kokolitolithe 13 janvier 2013 - 1:40

C’est vrai qu’on est loin d’une croisière !

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Alexandre 13 janvier 2013 - 5:58

Très ori­gi­nal ton article....je ne pen­sais même pas que c était une option !

Je garde l idée de vivre cette expé­rience et mer­ci pour tous les infos;)

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William 13 janvier 2013 - 17:15

C’est vrai­ment hors du com­mun de faire un voyage en car­go, cela dit je m’at­ten­dais à moins de luxe et un tarif bien infé­rieur pour ce type de voyage !

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Lucie 13 janvier 2013 - 19:41

Moi j’en rêve ! Un tra­ver­sée du Paci­fique ou de l’At­lan­tique en car­go j’es­père un de ces 4 ! Mer­ci pour les infos !

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Voyage en cargo : la vie à bord du Marco-Polo | Blogueurs en cargo | Scoop.it 14 janvier 2013 - 15:30

[...] Tweet Tweet­Du 16 au 19 Décembre 2012, mon Belge et moi-même étions à bord du plus grand porte-conte­neurs au monde (et plus grand navire, tout type confon­du, par là même), le Mar­co Polo (de la com­pa­gnie CMA CGM). [...]

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Mélissa 14 janvier 2013 - 23:41

Aaah... enfin la suite ! C’est tout à fait mon style de trans­port ! Lent, se prê­tant à la contem­pla­tion.... Je m(y vois bien pas­ser mes jour­nées à lire et ) écrire en contem­plant la mer et en écou­tant les his­toires de l’é­qui­page. *sou­pir*

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Oreille 21 janvier 2013 - 17:57

Alors, tu pars quand ?

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Johan 15 janvier 2013 - 5:15

Mer­ci d’a­voir par­ta­gé cette expé­rience sur­tout que j’en­vi­sage depuis quelques temps de rejoindre le Bré­sil de cette manière.
Après, c’est clai­re­ment un bud­get consé­quent.! Les bois­sons sont com­prises dans le prix ? (ça serait presque ren­table pour moi dans ce cas là!)
Concer­nant inter­net, j’i­ma­gine que cer­tains car­go doivent en être équi­pés main­te­nant, tu as des infos sur le sujet ?

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Oreille 18 janvier 2013 - 12:37

Si par bois­son tu entends alcool, il n’y en a pas à bord (trop dan­ge­reux je pense : il fau­drait gérer les excès éven­tuels, et on a quand même à bord des marins qui laissent leur famille der­rière eux pen­dant 9 mois..). Par contre, eau, jus de fruits, sodas, café, thé à volonté.
Pour le net, c’est limi­té aux mails, il me semble. Mais le but, c’est de décon­nec­ter, non ? 🙂

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Van 24 janvier 2013 - 14:29

Moi aus­si j’ai­me­rais rejoindre le Bré­sil en car­go ! mais je suis un peu refroi­die par le prix... Savez-vous com­bien de jours en mer il faut comp­ter pour se rendre au Bré­sil depuis l’Eu­rope... France ?

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Studio Boule 15 janvier 2013 - 7:58

Ce fut un réel plai­sir entant que équipe de télé­vi­sion d’être a bord pour le bap­tême du Mar­co Polo, nous aurions aus­si aimer res­ter a bord et voya­ger avec se magni­fique navire.

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Curieuse Voyageuse 15 janvier 2013 - 8:18

Voi­ci donc les réponses aux ques­tions posées dans l’ar­ticle précédent.
Mer­ci pour ce compte-ren­du détaillé et ces infos pra­tiques, on sait à quoi s’en tenir. Le prix est bien dans l’ordre d’i­dée que j’a­vais en tête- mais ça reste super cher pour ce type de voyage à mes yeux.

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Adil 15 janvier 2013 - 14:11

Le prix est vrai­ment le gros poitn faible. N’y a t‑il pas pos­si­bi­li­té de réduire la fac­ture en tra­vaillant sur le bateau ?

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Oreille 18 janvier 2013 - 12:39

J’en doute : c’est pas un vol­lier pri­vé, c’est un navire mar­chand, donc ça reste déli­cat d’a­voir quel­qu’un qui n’est pas habi­li­té à se pro­me­ner entre les conteneurs.

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Anonyme 15 janvier 2013 - 15:26

[...] [...]

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Etienne Schaumburg via Facebook 15 janvier 2013 - 17:34

Bon­jour, mer­ci pour ce récit qui fait rêver ^^
savez vous si l’on peut être accom­pa­gné d’un ani­mal ( chien )
..... merci
Etienne

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Marie 16 janvier 2013 - 10:40

woow, génial cet article !!! et plein de belles images.

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Madame Oreille, photos de voyage via Facebook 16 janvier 2013 - 17:50

Etienne : en prin­cipe non, mais vous pou­vez essayer d’ob­te­nir des déro­ga­tions (voya­ger avec un ani­mal est déjà com­pli­qué en géné­ral, alors sur un navire marchand...)

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Etienne Schaumburg via Facebook 16 janvier 2013 - 18:03

mer­ci 🙂

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Carnet d'escapades 16 janvier 2013 - 18:13

Mer­ci pour toutes ces infos, cela doit être une super expérience ! 

Ca pour­rait peut-être me convaincre de mon­ter sur un bateau pour plu­sieurs jours 😉

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Voyage en cargo : suite du séjour et carnet pratique | Meileurs des blogs de voyages francophones | Scoop.it 20 janvier 2013 - 1:47

[...] Tweet Tweet­Dans l’ar­ticle pré­cé­dent, je vous racon­tais mes pre­mières impres­sions sur le bateau, et nous ren­con­trions quelques marins. Je vais donc reprendre le récit depuis le port de Zee­brugge, en Belgique. [...]

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Gabrielle@VoyagePero 20 janvier 2013 - 22:03

L’i­dée de voya­ger à bord d’un car­go est vrai­ment inté­res­sante ! Le prix me semble pas déme­su­ré, c’est le même pris que pour une chambre d’hô­tel moyen à Mont­réal, sauf qu’en plus, on a l’ex­pé­rience du car­go, du port, et du vide lors­qu’on est sur les eaux inter­na­tio­nales. L’ex­pé­rience doit être trippante !

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Van 24 janvier 2013 - 14:56

Très inté­res­sant. Un voyage de rêve ! mais pour moi le prix c’est ....« inabordable » !
J’i­ma­gi­nais que le car­go était une façon éco­no­mique de voya­ger len­te­ment dans des condi­tions rudi­men­taires (je suis éton­née du grand confort à bord sur les pho­tos)... on dirait presque une croi­sière en fer­ry (sans le GO)! Est-ce que ça dépend du stan­ding du car­go ? (le Mar­co Polo est peut-être un car­go de luxe?) 🙂
Comme Adil l’a deman­dé plus haut, je me deman­dais si on pou­vait tou­jours voya­ger en car­go (ou autre, longue dis­tance) à bas prix, en par­ti­ci­pant à bord (en cui­sine, au ménage, que sais-je cours de langue/échange de ser­vices, etc).....

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Denis 29 janvier 2013 - 17:02

Pour aller encore plus loin dans le rêve il y a la croi­sière Ara­nui en Poly­né­sie de Tahi­ti aux Mar­quis en pas­sant par les Tau­mo­tu : Un grand rêve.

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karine 2 février 2013 - 7:27

Un très beau article et les pho­tos sont très belles aus­si ‚ça me donne envie d’al­ler faire un voyage en car­go aux Caraïbes afin de pro­fi­ter leur pay­sages sous marines extraordinaires.

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Guilhem&Eglantine 3 février 2013 - 14:04

Salut Auré­lie !

Bra­vo pour les pho­tos, l’ef­fet est par­ti­cu­liè­re­ment réussi !
Mer­ci aus­si pour les détails sur le voyage, nous n’a­vons pas sou­vent l’oc­ca­sion de savoir com­ment ça se déroule !

Nous sommes en voyage à vélo depuis main­te­nant 16 mois, mais nous avons un peu traî­né lors du « tra­jet » aller, du coup nous cher­chons un rac­cour­ci pour le retour : le car­go serait tout indi­qué ! Le seul pro­blème est évi­dem­ment le bud­get, et nous cher­chons encore, comme le sug­gère Van, des pos­si­bi­li­tés du côté de bateaux « non équi­pés » pour les tou­ristes, mais poten­tiel­le­ment ouverts aux voya­geurs, à l’im­pro­viste... On ne sait jamais !

Si quel­qu’un a des infos là des­sus, nous sommes pre­neurs ! Vous pou­vez nous contac­ter via notre blog cycloreveurs.fr.

En tout cas bra­vo encore pour les pho­tos, les récits, et ce blog que nous décou­vrons juste mais qui est très agréable à parcourir !

Guilhem&Eglantine, les cyclorêveurs.

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info ski 13 février 2013 - 22:04

Depuis que ma copine à enten­du par­ler de ça, elle me bas­sine pour que nous le fas­sion. moi j’at­ten­drais plus mes vieux jours pour me lan­cer dans une telle aventure ...

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Sam 18 février 2013 - 16:51

Bon article ! très inté­res­sant ! J’ai une petite ques­tion qui va cer­tai­ne­ment vous faire sou­rire mais savez vous si il est pos­sible de prendre son chien ??

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Joana 17 mars 2013 - 14:16

J’a­dore, super inté­res­sant ! Mer­ci pour le question/réponse, tu as répon­du à tout ce que je vou­lais savoir.

Tes 3 articles m’ont fait pen­ser à la série anglaise « 80 days around the world », d’a­près le livre bien enten­du. C’est en fait plus un docu­men­taire réa­li­sé par la BBC dans lequel on suit Michael Pal­lin essayant de réa­li­ser la même prouesse que Phi­leas Fog. Mes pas­sages pré­fé­rés sont les longs tra­jets en bateau, étant don­né l’in­ter­dic­tion qu’il a de prendre l’a­vion... Ca fait rêver et ça donne envie !

P.S. : Comme il y a plu­sieurs séries appe­lées 80 days around the world, je te mets le lien wiki de celle dont je parle, si tu veux jeter un oeil ! http://en.wikipedia.org/wiki/Michael_Palin:_Around_the_World_in_80_Days

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Roberto 30 mai 2013 - 13:25

Très bel article, les pho­tos sont superbes, les petits des­sins aussi !
Cela a du être une bonne expé­rience pour vous !

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Robert 3 juin 2013 - 11:04

Un seul mot pour ces images du car­go : MAGNIFIQUES !
Mer­ci pour ce par­tage d’expérience !

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Robert 3 juin 2013 - 11:10

Ah mince, j’ai du lou­per le pre­mier article !
J’ai tel­le­ment aimé les pho­tos du car­gos que j’ai pas regar­dé celui d’avant !
Je ne pen­sais pas que les chambres étaient si confor­table dans un bateau de ce type !
Encore mer­ci pour le par­tage de ces images qui ont vrai­ment du vous mar­quer l’esprit !

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Partir loin, longtemps, mais où ? -Avenue Reine Mathilde 30 août 2014 - 13:47

[…] idée pré­con­çue et au fil des clics je me vois dans les Pouilles pour amé­lio­rer mon ita­lien, voya­ger en car­go du côté des Pays-Bas… J’améliore mes connais­sances géo­gra­phiques et remplis […]

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sophie 18 septembre 2014 - 4:38

Bon­jour,

Sym­pa­thique, je compte démé­na­ger en Gua­de­loupe et je trouve ce trans­port inté­res­sant. Il y a une limite pour les bagages et pour une femme seule, ça va ? c’est sécurisé ?

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Sarah 14 octobre 2015 - 13:20

Pour une femme seule il doit pas y avoir de sou­cis niveau sécu­ri­té je pense @Sophie

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Marie Bambelle 2 juillet 2016 - 15:21

J’a­dore cet article un peu inti­miste, on sens une ambiance pai­sible à bord à tra­vers tes mots !
Je rêve de faire un bout de che­min en car­go depuis que petite, j’ai vu Tin­tin (l’é­pi­sode où il ren­contre le capi­taine Had­dock), mais depuis, je suis mon­tée sur un bateau et je souffre hor­ri­ble­ment du mal de mer... Même à quai ! Donc j’ai un peu peur de me lan­cer pour plu­sieurs jours... Mais c’est vrai qu’un court tra­jet comme tu l’as fait doit per­mettre de tes­ter sans par­tir direc­te­ment pour un voyage de plu­sieurs semaines !
Mer­ci encore de cet article !

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photospicy 14 novembre 2016 - 18:19

excellent coup de crayon bien meilleur que le mien pour­tant issu des arts appli­qués de Lausanne...bravo ...........www.photospicy.com

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