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Melbourne, guide pratique et souvenirs de voyage

par Madame Oreille

Visi­ter Mel­bourne comme on observe un patch­work : ses fresques street art, ses ruelles, ses bars. Et puis la plage, les man­chots. Et les aus­tra­liens, aussi.

Melbourne : guide pratique

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Quar­tiers : où aller
Street art : où voir les meilleures fresques
Bars : les roof­tops, les adresses cachées, les options originales
Voir les manchots
Idées de visites autour de Melbourne

Melbourne, Australie

Il y a quelques années, mon ami Gus­tave* (les noms ont été chan­gés) a déci­dé de tout pla­quer en France. Le cœur bri­sé, il est par­ti vers le pays le plus loin­tain pos­sible : l’Aus­tra­lie. C’é­tait une idée sau­gre­nue. Qu’al­lait-il fabri­quer là-bas, lui qui n’aime pas le soleil, lui qui ne vou­lait pas se bai­gner quand nous pas­sions le week-end au bord de l’o­céan ? Il aurait pu ren­trer à la pre­mière arai­gnée, mais le bougre a réus­si à ne pas s’a­mou­ra­cher que du pays. Il n’est tou­jours pas reve­nu en France. Il s’est mis en couple, a trou­vé un job et s’est ache­té une petite mai­son en banlieue.

Gus­tave est heu­reux à Mel­bourne, et il a bien fal­lu que j’aille voir ce qu’il aimait tant là-bas.

Melbourne

Quelques semaines avant mon voyage en Aus­tra­lie, je me suis ren­due au Cana­da. J’y ai ren­con­tré deux jour­na­listes aus­tra­liennes. L’une d’elles habi­tait Mel­bourne. Le ren­dez-vous était pris. Loren*, son com­pa­gnon et moi irions man­ger des salades à l’a­vo­cat** dans un petit res­tau­rant de Mel­bourne pour jeunes hipsters.

**un mil­lion­naire aus­tra­lien venait de décla­rer que si les jeunes ne pou­vaient pas s’a­che­ter de mai­son, c’é­tait parce qu’ils gas­pillaient leur argent dans des toasts à l’a­vo­cat (pour en savoir plus sur le scan­dale des avo­cats)

Melbourne à leurs côtés

J’ai visi­té Mel­bourne dans les meilleures condi­tions pos­sibles : avec des locaux. Loren, Gus­tave et leurs amis m’ont plon­gée dans leur ville comme si j’y avais tou­jours vécu. J’y ai ren­con­tré des aus­tra­liens de tous hori­zons. Le couple de méde­cins qui vit à Saint Kil­da, l’im­mi­gré phi­lip­pin, l’aus­tra­lienne qui a été fille au pair à Trou­ville. Tous m’ont accueillie comme si j’é­tais des leurs, sans se poser de ques­tions. Ou plu­tôt si, en me bom­bar­dant de ques­tions sur la France, sur ce que je pen­sais de Mel­bourne, ce que j’al­lais visi­ter, sur la région de Vic­to­ria, sur mon voyage. Et cha­cun m’a conseillé mille acti­vi­tés et visites. L’Australien(ne) de Mel­bourne est friend­ly, très friend­ly. C’est lui, elle, eux, qui en font une expé­rience à part. Mais ça, je vous le racon­te­rai plus bas dans l’ar­ticle, quand ce sera l’heure d’al­ler prendre l’apéro.

Mel­bourne, world’s most livable city, et sûre­ment lovable aussi.

Quels quartiers visiter à Melbourne ?

J’ai eu la chance de res­ter suf­fi­sam­ment long­temps pour pou­voir explo­rer la ville. Se dépla­cer dans le centre est aisé, et il existe des liai­sons gra­tuites dans CBD. Pour explo­rer le reste, j’ai tout fait à pied, parce que la carte de trans­port est pénible à obte­nir : il n’existe pas de tickets, il faut aller dans un 7/eleven, ache­ter un myki pour 6$ et mettre de l’argent des­sus puis poin­ter en mon­tant et en des­cen­dant. J’al­lais donc en trans­port jus­qu’au der­nier arrêt gra­tuit puis pour­sui­vais en mar­chant, et fina­le­ment, ça se fait bien !

CBD, Central Business District, le cœur de Melbourne

Impos­sible de ne pas y pas­ser, c’est ici que les immeubles anciens côtoient les gratte-ciels. Pro­me­nez-vous le long de la Yara et des jar­dins bota­niques pour de belles vues de la ville. Rejoi­gnez Fede­ra­tion Square, admi­rez le pont puis plon­gez dans les rues et ruelles jus­qu’à la Royal Arcade ! Ne man­quez pas les jolis immeubles anciens sur Col­lins Street.

Fitzroy et Collingwood, les quartiers branchés

Remon­ter Bruns­wick Street est un incon­tour­nable à Mel­bourne. Fitz­roy, c’est le quar­tier des artistes, des petites bou­tiques sym­pa, et des petites mai­sons vic­to­riennes. Jadis mal­fa­mé, Fitz­roy renaît aujourd’­hui au point d’être vic­time de son suc­cès. Il ne faut donc pas hési­ter à pour­suivre vers Col­ling­wood, et à explo­rer les rues adjacentes.

St Kilda

St Kil­da est aujourd’­hui un quar­tier chic mais ce fut autre­fois un quar­tier popu­laire, le repère des artistes. On y trouve le célèbre Luna Park, cette fête foraine à l’en­trée ter­ri­fiante. Mais s’il faut y aller, c’est pour une rai­son bien par­ti­cu­lière, que je vous dévoile un petit peu plus loin...

Melbourne Street Art

Mel­bourne, à l’ins­tar de Ber­lin ou de New York, est une des capi­tales du street art (sten­cil capi­tal of the world, qu’ils disent). On s’y pro­mène le nez en l’air pour repé­rer le des­sin qu’on aurait pu oublier, on explore chaque ruelle, éba­hi par les cou­leurs, les motifs, la créa­ti­vi­té. Le street art à Mel­bourne est à l’i­mage de la ville : mul­ti­cul­tu­rel. Ici, les ori­gines se mélangent, et ça se voit sur les murs.

Pour com­prendre l’im­por­tance du street art à Mel­bourne, il faut d’a­bord s’in­té­res­ser aux lane­ways, ces ruelles minus­cules qu’on trouve par­tout dans la ville. Autre­fois réser­vées au sto­ckage des pou­belles, ces ruelles qua­drillent le centre-ville. À la fois à l’a­bri des regards mais bien visibles, les lane­ways sont vite deve­nues le ter­rain de jeu des graf­feurs. La popu­la­tion y trou­vait glo­ba­le­ment son compte, consi­dé­rant que ces pein­tures ren­daient les allées moins lugubres. Cepen­dant, le gou­ver­ne­ment a mis en place des lois très dures autour des fresques et du street art. Mais c’é­tait trop tard, Mel­bourne deve­nait déjà célèbre pour ses graf­fi­tis, et il a fal­lu trou­ver un com­pro­mis pour conten­ter les tou­ristes, les artistes et les politiques.

Aujourd’­hui, le street art est donc très enca­dré à Mel­bourne : une auto­ri­sa­tion doit être dépo­sée en mai­rie, avec la des­crip­tion de la fresque, et le pro­jet ne peut se faire qu’a­vec l’au­to­ri­sa­tion du pro­prié­taire du mur, bien sûr. Il reste tout de même cer­taines lane­ways où le graf­fi­ti est tolé­ré libre­ment, dès lors qu’il n’est pas offensant.
C’est notam­ment le cas d’Ho­sier Lane et d’AC/DC Lane, deux des allées les plus célèbres, où les pein­tures changent au fil des jours, ren­dant les lieux mécon­nais­sables d’une visite à l’autre. Fort heu­reu­se­ment, cer­taines fresques ne bougent pas : per­sonne n’o­se­rait les recou­vrir. Ce sont celles des grands artistes, ceux qui ont mar­qué la scène du street-art à Mel­bourne et ont, pour cer­tains, aujourd’­hui une car­rière inter­na­tio­nale. Par­mi les artistes célèbres, on retien­dra (enfin, je retien­drai !) Adnate, Ghost­pa­trol, Ha-Ha, Meggs, Rone ou Kaff-eine.

Melbourne Street Art

Ne voyez ici rien de roman­tique : deux jours plus tard (ou plus tôt), il y avait une ins­crip­tion simi­laire avec un autre prénom !

Où trouver du street art à Melbourne ?

  • Hosier Lane : l’un des clas­siques, avec « tout et n’im­porte quoi », mais aus­si de jolies œuvres
  • AC/DC Lane : de grandes fresques, sou­vent en lien avec la musique, dans une allée nom­mée en hom­mage au groupe (une salle connue, le Cher­ry Bar, se trouve dans cette rue)
  • Rut­ledge Lane : l’un des clas­siques également
  • Cale­do­nian Lane, der­rière le centre commercial
  • Union Lane : quelques belles fresques
  • Fin­lay Ave­nue : un petit pas­sage à hau­teur du 280 Queen Street
  • Pes­grave Place : ici, on ne peint pas, on colle ! Et sou­vent des œuvres encadrées.
  • 67 – 71 Johns­ton Street, à Col­ling­wood, pour une oeuvre de Keith Haring peinte il y a plus de 30 ans
  • A peu près tout le quar­tier Fitz­roy : les par­kings (Fitzroy’s Rose Car est célèbre pour ça) et nombre de rues adja­centes à Brunswick

Melbourne Street Art Melbourne

Melbourne Bars

Je passe la soi­rée avec Gus­tave et ses amis. Ils trouvent drôle de m’emmener dans un res­tau­rant coréen spé­cia­li­sé dans les bar­be­cues, moi qui ne mange pas de viande. Je grille quelques légumes, on rigole. La soi­rée se pour­suit sur la ter­rasse de l’E­me­rald Pea­cock. Il y a beau­coup de monde. On admire Mel­bourne de haut, un cock­tail (ou peut-être était-ce une bière) à la main. Tout le monde est sou­riant autour de nous. Friend­ly, les australien(ne)s.
Comme dans toute soi­rée, vient le moment où je m’é­clipse pour aller aux toi­lettes. Trois portes. Une nana attend devant moi. Elle sau­tille. La porte du milieu s’ouvre. La femme qui en sort pré­vient : pas de papier. On se regarde avec la fille sur res­sorts. Elle est trop pres­sée, je lui pas­se­rai du papier dès que pos­sible. Elle s’en­ferme. Pipi. Elle ouvre à nou­veau la porte, assise sur les toi­lettes, et nous papo­tons en atten­dant qu’un des autres WC s’ouvre et que je puisse lui pas­ser le fameux papier. Friend­ly, cette australienne.
La situa­tion sem­blait nor­male à tout le monde. En reve­nant vers mes com­pa­gnons de soi­rée, je raconte l’a­nec­dote. Gus­tave me confie alors avoir assis­té à de bien étranges dis­cus­sions dans les toi­lettes hommes, sans que ça paraisse dépla­cé aux yeux de qui que ce soit...

Par­tout, même en dehors des toi­lettes, je ren­con­tre­rai cette faci­li­té à dis­cu­ter avec tout le monde, et c’est bou­gre­ment agréable d’être cer­né de sou­rires. C’est d’ailleurs peut-être ce que je retien­drai de Mel­bourne, et de l’Aus­tra­lie (après le Vic­to­ria, je me suis ren­due dans le Queens­land) : la gen­tillesse des habi­tants et la cha­leur humaine qui se dégage de la plu­part des ren­contres que j’ai faites.

Les meilleurs bars et restaurants de Melbourne
(bon, en fait, ceux que mes amis de Melbourne préfèrent,
et que j’ai bien aimés aussi !)

Oui, parce qu’il me fau­drait une année entière et plu­sieurs foies pour tes­ter per­son­nel­le­ment tous les bars de Mel­bourne. C’est une ville jeune, active. Cer­tains quar­tiers, comme Fitz­roy, four­millent d’a­dresses sym­pas. D’ailleurs, je ne sais pas si c’é­tait pour me les faire décou­vrir, mais mes amis aus­tra­liens m’ont chaque soir emme­née dans plu­sieurs lieux : un bar pour l’a­pé­ro, un pour gri­gno­ter et un pour ter­mi­ner la soi­rée (au calme, ou pas). Faire plu­sieurs bars dans une soi­rée semble être une pra­tique assez cou­rante, plu­tôt que de jouer les piliers toute la soi­rée dans le même.

Pour boire des cocktails
sur les toits de Melbourne CBD

Rooftop
252 Swans­ton Street
Il faut venir tôt, mon­ter tous les étages à pied et faire la queue, mais on com­prend le suc­cès du lieu.
Eme­rald Peacock
233 Lons­dale Street
Un peu moins pri­sé, pour un panor­ma tout aus­si sympa.

Des bars originaux
à Fitzroy et Collinwood

Naked for Satan
285 Bruns­wick Street
Chouette déco, tapas à 1€ en semaine, et petite ter­rasse, que deman­der de mieux ?
Le pro­prié­taire avait un « ate­lier de vod­ka » en sous-sol où il tra­vaillait en short, à cause de la cha­leur. C’est de là que vient le nom du bar !
Easey’s
48 Easey Street
C’est l’his­toire d’un blo­gueur spé­cia­li­sé dans les bur­gers, Jim­my Hurl­ston, qui ouvre un bar-res­tau dans des wagons de tram posés au som­met d’un immeuble. Euh. Voi­là. Heu­reu­se­ment, y’a les photos.

Melbourne Bars

Les bars cachés

The Attic

304 Bruns­wick Street
Un des meilleurs bars au monde d’a­près les World’s 50 Best Bars Awards, connu prin­ci­pa­le­ment pour ses cock­tails, le Black Pearl n’est pas vrai­ment très caché, mais juste à l’é­tage se trouve The Attic...

Bar Americano

20 Pres­grave Place
On loge à dix, y’a pas de chaises, et pour­tant les gens font la queue pour entrer dans ce minus­cule lieu étrange, ambiance pro­hi­bi­tion. Et juste à l’en­trée, se trouve la plus petite gale­rie d’art de Melbourne.

Loch and Key
34 Frank­lin Street
Je vous laisse le trouver !

Et pour quelques verres de plus

Bel­la Sis­ta, le bar des sou­ve­nirs de jeunesse
9 Sni­ders Lane
Petit bar dans une allée, grand clas­sique des folles nuits des jeunes australiens.
Local birds, le plus petit café de Melbourne
306 Lit­tle Col­lins St
Minusculte ?
Chu­ckle Bar Park and Cafe

322 Lit­tle Col­lins Street
Un bar aty­pique : une petite cara­vane coin­cée entre deux immeubles !

N’hé­si­tez pas à arpen­ter les rues et à pous­ser les portes au hasard, vous pour­riez avoir quelques belles surprises !

Melbourne Manchot st kila

St Kil­da, c’est l’an­cien Fitz­roy, l’air marin en plus. On s’y pro­mène le long de la plage en fin de jour­née. On explore les jar­dins par­ta­gés. On regarde les joueurs de vol­ley-ball, les ska­teurs... et les man­chots ! Car oui, on peut aller à St Kil­da pour fes­toyer toute la nuit, mais moi, ce qui m’in­té­res­sait, c’é­tait les manchots !

Voir les manchots à Saint Kilda

Depuis Mel­bourne, on peut admi­rer les man­chots pyg­mées à deux endroits : une grosse colo­nie à Phil­lip Island et une petite à St Kil­da. Pour­quoi pré­fé­rer St Kil­da ? Eh bien, tout sim­ple­ment parce qu’il y a beau­coup de monde à Phil­lip Island, que les pho­tos y sont inter­dites, que c’est payant, alors qu’à St Kil­da c’est en accès libre. Acces­soi­re­ment, St Kil­da a aus­si l’a­van­tage non négli­geable d’être acces­sible depuis le centre de Mel­bourne, contrai­re­ment à Phil­lip Island. Alors certes, le côté parade des man­chots qui rentrent de la pêche est moins impres­sion­nant, mais le lieu est beau­coup plus agréable à mon sens.

Seul bémol, l’ac­cès libre sans sur­veillance pousse cer­tains tou­ristes à avoir des com­por­te­ments non res­pec­tueux envers les man­chots : perches à sel­fie au plus près des becs, flashes dans tous les sens, ciga­rettes, cris. Bref, voi­là com­ment on en vient à fer­mer des lieux pour pro­té­ger les ani­maux, et c’est tou­jours dom­mage d’en arri­ver là, alors qu’il aurait suf­fi de gar­der ses dis­tances et de res­pec­ter la tran­quilli­té des manchots.

Pour l’ins­tant, il y a donc tous les soirs des man­chots à St Kil­da. Ce sont des man­chots pyg­mées, la plus petite espèce de man­chots. Ici, on les appelle Fai­ry Pen­guin, sur­nom fort mignon. Ils s’ins­tallent entre les rochers pour y pondre et cou­ver leurs œufs, et vont nager pour cher­cher à man­ger. C’est un vrai plai­sir de les obser­ver, comme tou­jours avec les manchots !

Idées pour vadrouiller quelques jours autour de Melbourne

Mel­bourne se trouve dans le Vic­to­ria, et ça vaut le coup d’al­ler faire un tour dans les envi­rons, ne serait-ce que pour essayer d’apercevoir quelques koa­las et kangourous !

Sillonner la Great Ocean Road

La Great Ocean Road longe, comme son nom l’in­dique, l’o­céan. Pen­dant presque 250 kilo­mètres, on a les yeux rivés sur les vagues. La balade est belle, et se fait bien sur trois jours, pour prendre le temps d’en profiter.

En che­min, vous pour­rez admi­rer les Douze Apôtres (The Twelve Apostles), le site le plus tou­ris­tique du Vic­to­ria. On ne voit plus aujourd’­hui que 9 pitons, les autres s’é­tant écroulés.

Si vous vous arrê­tez à War­nam­bool, jetez un œil à l’île aux pin­gouins ! Un fer­mier local avait des poules, et uti­li­sait ses chiens pour les pro­té­ger des renards. (Les renards ont été intro­duits en Aus­tra­lie par les anglais pour le simple plai­sir de les chas­ser et ils se sont depuis mul­ti­pliés). La fille de ce fer­mier était ran­ger, char­gée de la pro­tec­tion des man­chots, mais elle ne s’en sor­tait pas : régu­liè­re­ment les renards venaient faire un car­nage. Un jour, alors qu’il ne res­tait plus que 10 man­chots, elle et son père eurent une idée : essayer avec les chiens ! Il fal­lut lut­ter pour que l’i­dée soit accep­tée, mais c’est aujourd’­hui connu et recon­nu : si les chiens sont nour­ris, ils n’ont que faire des man­chots mais chassent les renards. La colo­nie de man­chots s’est dont, depuis bien repeuplée !

Melbourne victoria autralie

Melbourne victoria autralie

Melbourne victoria autralie

Melbourne victoria autralie

Randonner dans les Grampians

Rejoi­gnez Halls Gap pour quelques heures ou quelques jours de marche dans les mon­tagnes des Gram­pians. C’est un relief assez étrange, à la fois abrupt et tout en ron­deur, où on observe assez faci­le­ment la faune.

Melbourne

Melbourne victoria autralie

Melbourne victoria autralie

Mon matériel photo et vidéo sur ce voyage

Melbourne victoria autralie
Appa­reil reflex Canon 6d
Objec­tif Canon 16 – 35 II avec filtre pola­ri­sant // Objec­tif Tam­ron 150 – 600
Inter­val­lo­mètre Phot­tix
// bat­te­ries // Tré­pied Man­frot­to Befree carbone
Sac Man­frot­to Bum­ble­bee // Filtres LEE



Ce pro­jet est le fruit d’une col­la­bo­ra­tion avec l’Office de Tou­risme du Vic­to­ria et Qan­tas. Je reste libre dans mes choix éditoriaux.

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7 commentaires

Pétrin Express 28 mars 2018 - 16:19

Wola­la nous qui ado­rons le Street Art, on n’a­vait AUCUNE idée du level de Mel­bourne ! C’est din­go :O

Superbe article, au pas­sage. J’aime beau­coup les dif­fé­rents effets que tu mets sur tes images pour illustrer 😉

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Ornella 28 mars 2018 - 20:27

J’ai pas­sé un mois en Aus­tra­lie en jan­vier, sur­tout à Syd­ney et puis aus­si à Port Dou­glas dans le Queens­land. J’en ai fait un article la semaine der­nière d’ailleurs. Je n’ai pas eu l’oc­ca­sion de visi­ter Mel­bourne mais j’ai l’im­pres­sion que j’au­rais moins aimé. En revanche, tes pho­tos de nature là-bas et d’a­ni­maux sont sensationnelles !

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Samsha 28 mars 2018 - 21:48

Impres­sion­nant ces oeuvres ! J’aime bien le contraste entre l’ar­chi­tec­ture très urbaine et les grands pay­sages naturels !

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Daïnah 3 avril 2018 - 23:01

Cet article tombe à pic nous sommes en ce moment même à quelques kilo­mètres de Mel­bourne, ça nous donne une idée des choses à faire pour nos 2 jours res­tants en Aus­tra­lie 🙂 Pour le côté friend­ly des aus­tra­liens, nous on est plu­tôt miti­gés mais je pense que la cou­leur de peau joue beau­coup ici mal­heu­reu­se­ment... On en par­le­ra sur notre blog à tête reposé,là c’est encore un peu vif !

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aFabulousTrip 12 avril 2018 - 12:29

Magni­fiques pho­tos, sur­tout le street art ! Mer­ci pour le par­tage et les bonnes adresses 😉

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Yann 6 juin 2018 - 20:57

C’est tout sim­ple­ment magique. J’ai l’im­pres­sion de feuille­ter un maga­zine de voyage ! Mer­ci pour toutes ces bonnes adresses et ce voyage depuis Paris ! Com­bien recom­mandes-tu de temps pour décou­vrir confor­ta­ble­ment la ville mais sans s’ennuyer ?

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Did 26 février 2019 - 21:41

Bon­jour,

En mars 2017, j’ai visi­té cette magni­fique ville qu’est Mel­bourne, j’a­vais loué un appart hôtel à côté du mar­ché de Queen Vic­to­ria Mar­ket j’a­vais trou­vé cet endroit idéal pour visi­té Mel­bourne. Effec­ti­ve­ment moi qui aime le Street Art (à Paris régu­liè­re­ment je fais le tour des endroits de Street Art pour prendre des pho­tos et les publier) à Mel­bourne j’ai été gâté. En plus des pein­tures sur les murs il est pos­sible de voir une vache dans un arbre, un wagon de train plan­té debout à un car­re­four...... Les habi­tants sont sym­pa et agréables à vivre. En ville il y a des petites rues où il y a des bars et res­tau­rants où il est pos­sible de man­ger à table dans la rue. Que dire du tram tou­ris­tique qui fait le tour de la ville et qui est tota­le­ment gratuit. 

Did

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