Le Queensland est une province gigantesque, deuxième état d’Australie par la taille : 1,853 million km² c’est trois fois la taille de la France ! Alors vous vous doutez qu’avant d’en avoir fait le tour, il faudrait quelques mois.
Je suis restée dans la partie nord, côtière et tropicale, là où les wallabies côtoient les crocodiles, où les montagnes plongent dans l’eau turquoise. Et c’est de cette région dont je vais vous parler, la partie où j’ai voyagé, mon Queensland.
Si mon Queensland était...
un paysage
Mon Queensland pourrait être une plage paradisiaque, ou la forêt tropicale. Mais je choisis la rivière Mossman, qui serpente au milieu des vallées jusqu’à l’océan, comme dans les contes aborigènes. Son calme apparent cache quelques crocodiles, dont on évitera de s’approcher.
J’ai visité la région avec Juan, un aborigène (dont je vous parle dans le carnet pratique, et que vous voyez dans l’intro de la vidéo) qui m’a beaucoup parlé des légendes (dreaming stories), cette façon que les aborigènes ont de cartographier les paysages et les origines. Grâce à ces contes qu’ils utilisent comme des cartes, ils reconnaissent la carapace de la tortue devenue île, la bouche du monstre devenue grotte, et peuvent se déplacer partout depuis des siècles, sans jamais se perdre, tant qu’ils connaissent les contes. Un savoir ancestral fascinant qui permet de lire le paysage autrement.
Si mon Queensland était...
un animal
Ce serait un casoar, sans aucun doute ! Un animal fascinant, semblant à la fois tout droit sorti de la préhistoire et très évolué, aujourd’hui malheureusement menacé d’extinction. On ne le trouve que dans une toute petite partie du globe, dont le Queensland.
Debout, le casoar est plus grand que moi, même si je me mets sur la pointe des pieds. Il n’est pas agressif envers l’Homme, mais il vaut mieux ne pas l’embêter : c’est l’oiseau le plus dangereux au monde ! Ses pattes ont trois doigts, et celui du milieu est pourvu d’une grande griffe face à laquelle l’adversaire n’a aucune chance. Le casoar est capable de sauter et d’un coup de patte, vous éventrer, ou vous couper la jugulaire. Charmant !
Notez qu’en réalité les attaques sont rarissimes, et concernent la plupart du temps des casoars qui ont pris l’habitude d’être nourris par les humains. Sur les cent dernières années, il n’y a qu’un seul mort répertorié, un adolescent qui avait essayé d’attaquer l’oiseau avec des projectiles, dans les années 20. Et c’était justement dans le Queensland, la seule province australienne où l’on peut les observer.
Si mon Queensland était...
une rencontre
Ce serait ce petit wallaby. Je me promenais dans la forêt. C’était en plein après-midi. Je n’espérais pas voir grand-chose. Mais soudain, dans une clairière, à côté un point d’eau marécageux, j’ai aperçu ses petites oreilles. Il était en train de ramasser des fruits. Nous nous sommes fixés, longtemps. Je me suis accroupie, restant d’abord en retrait, puis m’approchant doucement. Et je l’ai regardé finir son repas tranquillement.
Savez-vous comment on différencie les kangourous des wallabies ? La taille est le principal critère, bien sûr, mais ils n’ont pas non plus les mêmes pattes avant : les kangourous broutent principalement de l’herbe, tandis que les wallabies utilisent leurs petites mains pour croquer des fruits.
Ils ont beau être finalement assez communs, on ne peut que s’extasier en les regardant !
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une expérience
Juste à côté de Cairns, les télé-cabines du Skyrail Rainforest Cableway permettent de survoler la canopée jusqu’à Kuranda. On s’envole plusieurs mètres au-dessus des arbres, et pendant quelques minutes on aperçoit Cairns et la mer de Corail en arrière-plan, puis on passe de l’autre côté de la montagne. La forêt est vierge et préservée, certains arbres ont des centaines d’années.
Le trajet s’effectue en trois tronçons, permettant de s’arrêter à Red Peak puis à Barron Falls. On peut alors aller marcher dans la forêt en suivant une passerelle en bois. Il faut prendre son temps, observer la végétation, écouter les animaux.
Des rangers proposent des tours guidés, avec de plus amples informations sur la biodiversité présente ici. On découvre comment tout fonctionne parfaitement en harmonie. Par exemple, certaines graines ne donnent des arbres que si elles ont préalablement été ingérées par les casoars !
Après une vue sur les gorges et chutes Barron, le Skyrail survole la rivière avant de nous déposer à Kuranda.
(Cnr Cairns Western Arterial Road)
Caravonica Lakes QLD 4878
www.skyrail.com.au
Il est possible de prendre des cabines au plancher vitré, pour encore mieux voir la canopée ! Déconseillé à ceux qui souffrent du vertige, mais assez saisissant !
Kuranda est un endroit étrange. Au départ mal à l’aise, j’ai remonté une rue principale faite de magasins de souvenirs, avant de m’arrêter sur un banc à l’ombre, pour manger un morceau. A quelques mètres de là, un jeune homme jouait du piano, en plein soleil. Il suait à grosses gouttes. Lorsqu’il est venu prendre une pause à côté de moi, je lui ai proposé une bouteille d’eau, et nous avons échangé quelques mots avant de réaliser que nous étions tous les deux français.
Ils étaient plusieurs jeunes backpackers à séjourner à Kuranda pour quelque temps, jouant de la musique pour payer leur voyage. Ce sont eux qui m’ont expliqué le concept de la ville, et aiguillé vers les coins intéressants.
A l’origine, Kuranda était une petite ville minière (on en voit certains vestiges lors de la montée par les télécabines) qui est assez rapidement devenue une ville touristique : les gens venaient admirer les chutes de Barron Falls, la forêt tropicale, et découvrir la culture aborigène locale. Dans les années 70, Kuranda est devenue populaire chez les hippies, et l’est encore aujourd’hui. On trouve ainsi des ateliers d’artistes, des galeries un peu partout et un marché dédié aux cultures alternatives, genre de grand bazar créatif à ciel ouvert avec des boutiques ultra colorées faites de bric et de broc.
La promenade n’a ici plus rien à voir avec l’ambiance de la rue principale, et je comprends ce que tant de gens aiment à Kuranda. Il semble régner ici un vent de liberté, mais aussi un fort esprit de communauté.
Je termine ma visite du village dans le Sanctuaire aux papillons, à observer ces petites merveilles ultra colorées en train de voler de feuille en feuille.
Si mon Queensland était...
une ville
Si mon Queensland était une ville, ce serait Cairns, bien sûr. Certes, Port Douglas a son charme, mais Cairns m’a surprise, vraiment. Il faut venir marcher le soir, le long de la promenade. Observer les gens s’installer autour des barbecues en libre service (que j’ai aussi vus à Melbourne, d’ailleurs) ou profiter de la gigantesque piscine gratuite.
Et tandis que le soleil se couche, c’est toute la faune de la ville qui change. Car il y a des animaux partout ici. Les pélicans rentrent leur bec dans leurs plumes, et les chauves-souris s’éveillent. Bientôt, elles seront des milliers à couvrir le ciel, quittant les arbres du centre ville où elles dorment en journée, pour aller regagner les arbres fruitiers, un petit peu plus loin. L’envol des roussettes, par nuées, est véritablement spectaculaire vu leur nombre !
Si mon Queensland était...
un hébergement
Le Thala Beach Lodge, ce sont de petits bungalows répartis dans une très grande propriété, au cœur d’une réserve privée. Ici, les propriétaires essaient de préserver un petit havre de paix, et j’aurais pu y rester toute la semaine, dans ma cabane sur pilotis, au milieu des arbres. M’endormir en écoutant les bruits de la nature environnante, prendre le petit déjeuner en regardant les oiseaux. Observer les tortues, les araignées, les wallabies, et puis surtout des oiseaux, partout.
Queensland : carnet pratique
Venir au North Tropical Queensland
Pour visiter le Queensland, ou tout du moins la partie tropicale dont il est question ici (vous avez aussi la Gold Coast et Brisbane un peu plus au sud), il faudra atterrir à Cairns. Depuis la France, cela supposera généralement de passer par Londres puis Sydney ou Melbourne (si vous volez avec Qantas). Note : j’ai adoré Melbourne, n’hésitez pas à y rester quelques jours !
Se déplacer dans le Queensland
Si vous n’avez pas envie de conduire, il existe des systèmes de transferts assez pratiques comme Exemplar Coaches & Limousines. Vous envoyez votre itinéraire et la société organise les trajets d’un point à un autre. C’est assez confortable, surtout si vous êtes plusieurs. Sachant que sur Cairns ou Port Douglas tout se fait à pied, et que pour de nombreuses activités il peut y avoir des navettes prévues.
Où et comment voir les coraux ?
La mer de Corail borde le Queenland, et c’est dans ces eaux, non loin de la côte australienne, que se trouve la Grande Barrière de Corail (Great Barrier Reef), le plus grand récif corallien du monde : il fait 10 fois la taille de la Belgique !
Il serait dommage de passer au Queensland sans voir les coraux. Pour autant, ces petits animaux étant très fragiles, je vous encourage vivement à porter autant d’attention au choix de votre prestataire qu’à vos actions sur place : ne pas les toucher ! Les deux agences que je vous propose ci-dessous sont toutes les deux reconnues pour œuvrer dans le tourisme éco-responsable.
Première option :
une journée sur la Grande Barrière de Corail
depuis Cairns avec Reef Magic Cruises
Départ le matin dans un grand bateau, avec beaucoup de monde à bord. Pour autant, l’intérêt de cette compagnie est de proposer un tel nombre d’activités que la foule se disperse vite. On rejoint donc une plate-forme (photo ci-dessous) où l’on pourra à la fois faire du snorkeling, observer les fonds marins dans le sous-sol vitré du bateau ou carrément en semi-submersible (moyennant un supplément il sera aussi possible de faire de la plongée, ou de tester une espèce de bocal-scaphandre).
Cairns QLD 4870
www.reefmagic.com.au
A titre personnel, ces expériences sont toujours une source de frustration pour moi : je sais nager, mais je n’arrive pas à mettre la tête sous l’eau. Toutefois j’ai été ravie de pouvoir profiter des coraux avec les autres possibilités, également appréciées des familles (et de nombreuses personnes qui ne sont pas allées dans l’eau), d’autant que mon séjour tombait en plein dans un phénomène rare : la reproduction des coraux.
A noter qu’il y a beaucoup de personnel à bord, globalement sympathique, et toujours au moins un francophone, ce qui permet d’avoir pas mal d’infos sur la biodiversité et la protection de ces endroits fragiles.
Seconde option :
une après-midi à Low Isles
depuis Port Douglas avec Sailaway
La compagnie propose plusieurs tours, certains familiaux, d’autres réservés aux adultes. J’ai pris celui de l’après-midi.
Le départ a lieu juste après le repas, sur un petit catamaran (le nombre de personnes à bord est donc très limité) et le retour se fait au soleil couchant, forcément photogénique (que je n’ai pas photographié, mon appareil étant au repos après avoir pris une grosse vague...). Nous rejoignons Low Isles, la partie de la Grande Barrière de Corail la plus proche et pourtant étonnamment tranquille.
Il y a deux îles, cernées par les coraux. La plus grande des deux, Woody Island, n’est habitée que par des oiseaux marins (des sternes bridées) qui viennent y nicher. La seconde abrite quant à elle un vieux phare. C’est ici que ce sont installés les tout premiers scientifiques à avoir étudié le reef et ses coraux. Aujourd’hui encore, deux personnes vivent là toute l’année, complètement isolées sur cette petite île ! C’est aussi ce qui explique que les Low Isles soient ainsi protégées, avec un nombre restreint de bateaux pouvant y accéder.
Où dormir
Mon gros coup de cœur est le Thala Beach, un éco-lodge un peu à l’écart de tout. Je pense que j’aurais pu y rester la semaine sans m’ennuyer...
Un hôtel plutôt charmant, à la déco soignée, où tout est très ouvert et aéré, avec une grande piscine et un bon restaurant. Petit détail amusant : chaque client trouve dans sa chambre un ananas frais accompagné d’un ustensile pour le découper en rondelles.
On peut y louer des vélos pour rejoindre le centre ville facilement. A noter qu’il y a des pistes cyclables mais qu’elles ne sont pas éclairées. Il faut donc rentrer avant la nuit.
Un gros hôtel très classique, mais très bien pour les familles (ma fille aurait adoré la piscine avec sa pente douce et son sable). Il a surtout l’avantage d’être l’un des mieux situés : en plein centre, à deux pas de la promenade, du marché de nuit, des roussettes...
Petit détail que j’ai aimé : une pancarte annonce chaque matin la quantité de nourriture gaspillée la veille lors du buffet du petit-déjeuner, par les gens qui remplissent leurs assiettes sans les finir !
D’autres idées de visites
Walkabout Cultural Adventures
Les tours Walkabout sont gérés par Juan, que vous voyez au début de la vidéo. Comme son nom ne l’indique pas, il fait partie de l’ethnie Kuku Yalanji (mais son nom est un hommage au mari philippin de sa grand-mère). Juan organise des visites culturelles autour de Mossman, non loin de Port Douglas. Chaque lieu visité avec lui est l’occasion d’en apprendre plus sur la culture aborigène, et il est aussi passionné qu’intarissable.
Son site.
Les visites se font exclusivement en petit groupe. Il nous a ainsi emmenés sur la plage pour apprendre à ramasser les coquillages (toute une technique avec les pieds !), nous a proposé une initiation au lancer de javelot ainsi qu’une dégustation de plats traditionnels, le tout en toute simplicité, sans jamais tomber dans le folklorique. Il nous a beaucoup parlé de sa famille, de ce que les aborigènes ont subi pendant plusieurs décennies. Nous avons terminé la journée dans la forêt, entre baignade dans la rivière Daintree, exploration, et contes traditionnels. Une jolie manière de découvrir comment les aborigènes ont su vivre dans cette nature pas toujours accueillante pendant des millénaires !
Hartley’s Crocodile Adventures
Bon. Je vais être honnête avec vous. Je me suis vraiment demandé si je devais vous parler de ce lieu, ou pas. Et au moment où j’écris ces lignes, j’hésite encore.
Ce qui me pousse à en parler, c’est le fait que je sais que ça plaira à de nombreux enfants, tout d’abord, et ensuite, tous les gens que j’ai croisés au Queensland m’ont parlé de Hartley’s Crocodile Adventures avec des étoiles dans les yeux. C’est un peu la grosse activité immanquable du North Tropical Queensland.
Ce qui me gêne, c’est que c’est avant tout une ferme de crocodiles. Ce qui veut dire qu’il y a un bâtiment rempli de jeunes crocodiles destinés à finir en ceinture ou en sac, et ce n’est pas forcément le genre d’industrie que j’apprécie, à titre personnel.
L’histoire du lieu est donc plutôt simple : les propriétaires avaient des crocodiles adultes, les reproducteurs, dans un enclos à l’extérieur, et se sont dit qu’ils pouvaient organiser des visites. Et peu à peu, le lieu a grandi, servant de refuge à des animaux recueillis. Tant et si bien qu’aujourd’hui, c’est un endroit parfait pour avoir un aperçu de la faune australienne (en captivité, donc).
En plus des crocodiles, on trouvera des wallabies, des kangourous, des wombats, des koalas, des quolls, des serpents, des rapaces... sans oublier les mythiques kookaburras !
Mon matériel photo et vidéo sur ce voyage
Appareil reflex Canon 6d
Objectif Canon 16 – 35 II avec filtre polarisant // Objectif Tamron 150 – 600
Intervallomètre Phottix // batteries // Trépied Manfrotto Befree carbone
Sac Manfrotto Bumblebee // Filtres LEE
Ce projet est le fruit d’une collaboration avec l’Office de Tourisme du Queensland et Qantas. Je reste libre dans mes choix éditoriaux.
17 commentaires
Comme d’habitude c’est très intéressant et les photos sont superbes !
Une question plus générale sur le matériel : je suppose que le sac bumblebee va en cabine et dans ce cas avez vous un autre sac ? Autrement dit peut on tenter le coup du sac photo + un autre sac « cabine » à l’aéroport (j’ai un voyage aux USA ce printemps ...) ? Merci encore pour tous ces articles !
Bonjour Michel,
Je vous déconseille le deuxième sac en cabine : le bumblebee est déjà gros, et s’il est rempli il peut être très lourd. Le personnel navigant pourrait donc vous demander de choisir un sac.
Personnellement, j’ai donc toujours un bagage en soute (ne serait-ce que pour le trépied), et je glisse dans mon sac photo mes affaires pour le vol.
Je vois souvent des gens avoir valise + sac en cabine, mais il suffit de tomber sur un vol un peu rempli, et ce ne sera pas possible !
Très belles photos, comme à votre habitude !
J’ai suivi vos conseils et investi dans un filtre polarisant pour mes prochaines escapades (Laponie & Amsterdam les 15j à venir). Merci pour ces billets, ces images et ces plaisirs d’ailleurs dont on se lasse jamais.
merci à vous 🙂
Ah l’Australie.. elle me manque déjà !!
J’ai également vraiment adoré Cairns (qui est ma deuxième ville préférée après Sydney). C’est tellement charmants ! Lorsque j’y suis allée la première fois, il y avait des sortes de lanternes accrochées dans les arbres sur l’esplanade, c’était tellement beau. Et puis toutes les lumières colorés également sur les arbres et le lagon, sublime!! Et Daintree.. j’ai parcouru toute l’Australie et c’est l’un de mes endroits favoris d’où je suis tombée amoureuse. Les plages de Cape Tribulation et Cow bay beach sont absolument magnifiques et paradisiaques, et ces couleurs partout..
As-tu eu la chance de voir des casoars ? :). Pour ma part, je n’en ai pas vu dans Daintree (malgré les nombreux panneaux), mais j’ai eu la chance d’en voir cinq (dont trois bébés) sur Etty Bay Beach !
En tout cas, très bon article comme toujours 🙂
Je craque sur le petit wallaby. Enfin, entre autre, vu toutes les merveilles que tu partages !
Super photos
Quel superbe guide ! On a envie de boucler sa valise tout de suite 🙂
Belle réalisation cette vidéo ! C’est exactement le genre de choses qui me plait et que j’aimerais faire à mon tour (et qu’on ne voit pas tant que ça dans le blogging voyage francophone). Hâte de voir celle du Groëland 🙂
J’ai une question sur le Queensland (que je vais peut-être avoir la chance de visiter à l’occasion d’un séjour pro hourraaa), est-il facile de voir les casoars ?
Loved taking you out and about through Kuku Yalanji country... Love seeing what you have captured, thank you for sharing
Photos magnifiques <3
Un récit de voyage comme on les aime.
Incroyable immersion dans la région ! Le close up sur les chauve souris est juste incroyable ! Et cet oiseau aux airs préhistoriques, vraiment je n’avais aucune idée qu’il existait. La nature est toujours surprenante.
Les images sont magnifiques et la vidéo une pure merveille !
Bravo pour ce super article qui donne envie d’acheter ses prochains billets d’avion 😉
Tes images sont toujours dingues !
Ah, le casoar, j’en ai vu un au Brésil (dans un parc, évidemment), il était loin d’être aussi coloré.
L’Australie, à mon avis, c’est là qu’on peut voir le plus de faune, et pas forcément quand on le choisit (mais je me fais peut être un film?)!
Cet article est sublime ! Le texte, Les photos... quel merveilleux voyage ! Merci !
Je trouve que cet article est très intéressant, j’ai pris beaucoup de plaisir à le lire. Les paysages et les animaux sont tout simplement incroyables. Je rêve de découvrir Queensland.
AAAH donc tu y es allée aussi à Port Douglas ! J’ai pas fait Cairs en revanche, mais j’ai adoré le Nord. On a eu la chance comme toi de voir un casoar, au cours d’une randonnée, c’était Jurassik Park, vraiment ! Et puis des wallaby aussi au Basin. J’ai fait comme toi la Skyline, c’était incroyable ! Par contre, pour la barrière de corail, nous avons choisi Quicksilver, et j’avoue que c’était un service de grande qualité qui valait ce prix. Bref, le Nord a été une révélation pour moi. Mossman Gorge et la Daintree Forest, quelle poésie, et quelle nature dangereuse ! J’ai adoré !