Quel sac à dos pour emmener son reflex en trek ? C’est la question sur laquelle j’ai ruminé ces dernières semaines. Quand on voyage en routard, on laisse le gros sac à l’auberge et on part en journée avec le sac photo. Quand on part sur une petite rando où on dormira tous les soirs à l’hôtel, on se contentera de glisser quelques culottes dans un des compartiments du sac photo, et de prendre de l’eau. Mais quand on part sur un trek en autonomie, qu’on doit transporter sa tente, son duvet, sa nourriture ?
C’est ce que je suis partie faire les deux premières semaines de Juillet pour notre deuxième voyage en Islande : marcher. Nous devions faire la version longue du trek du Laugavegur, le plus célèbre trek d’Islande, six jours entre les sources d’eau chaude du Landmannalaugar et la cascade de Skógar, même si la météo en a décidé autrement (je vous raconte notre voyage en Islande la semaine prochaine !). Ce devaient être six jours sans électricité, à boire l’eau des rivières entre deux refuges, sans ravitaillement possible. Bref, le genre de rando où on évite de se surcharger, et où il est impossible de prendre un gros sac photo avec soi, bien sûr.
Cela a deux incidences pour le voyageur photographe : réduire au maximum son matériel (tout en prévoyant le maximum de batteries pour se rassurer), et trouver une solution pour protéger son matériel qui soit compatible avec de longues marches. Si un fabriquant de sac photo me lit, sachez qu’il y a un marché à prendre en concevant le sac de rando pour voyageur photographe ! Mais en attendant que le sac parfait existe, hé bien il faut bricoler, ou trouver des solutions alternatives.
Adapter sa solution à sa destination et à son style de rando
Hé bien oui, c’est une évidence, selon les lieux où l’on randonne, on n’aura pas les mêmes besoins en matière de sac photo.
Ainsi, si on fait un trek dans un pays où les risques de pluie sont faibles, on peut très bien imaginer se contenter de prendre l’appareil en bandoulière, en le rangeant dans le sac de rando de temps en temps. Certains bricolent même des solutions avec les sangles du sac pour coincer le reflex, de sorte à ce qu’il ne ballotte pas trop d’un côté à l’autre (et n’aille pas se cogner contre un rocher lorsqu’on est en montée, par exemple).
Vous lirez par endroits que porter le reflex sur une seule épaule n’est pas terrible en matière de répartition du poids. C’est bien évidemment vrai, mais la morphologie féminine fait que passer son appareil photo en bandoulière sera toujours plus confortable qu’autour du cou ! Mais si ces messieurs veulent le garder autour du cou, dans la position plus classique du reflex, je n’aurai qu’un conseil : utilisez l’attache pectorale de votre sac pour coincer un peu le reflex, et limiter son mouvement lorsque vous vous penchez : c’est fatigant pour le cou, et on a toujours ce risque d’exploser l’appareil.
Se débrouiller avec ce que l’on a
Mais pour un trek en Islande, impossible de me contenter du reflex en bandoulière : il pleut. Il me fallait donc une solution pour garder l’appareil à portée de main, tout en le protégeant du crachin continuel et d’éventuelles chutes.
Alors personnellement, j’ai choisi de prendre... ma sacoche de vélo, celle que je fixe sur le guidon, habituellement. Je l’ai justement achetée l’année dernière pour partir faire du vélo en Islande, et loger à l’intérieur mon matériel. J’avais alors pris mon reflex (5dII) et deux objectifs. Cette année, je n’en prends qu’un seul, le 16–35, mon chouchou pour les paysages.
Photos prises par Monsieur Oreille au Galaxy Note 2.
La sacoche de vélo, ou sacoche de cintre, c’est pratique pour plein de raisons, mais d’abord, c’est solide. Protéger l’appareil, c’est la première préoccupation, forcément ! Ensuite, ma sacoche, fabriquée par Vaude, peut se passer en bandoulière. Ce n’est pas la solution parfaite, mais si on ne met pas trop de poids dedans, ça peut permettre de ne pas sortir-ranger-sortir-ranger le reflex du sac de rando tous les dix mètres.
Puis il y a deux petits plus : la protection imperméable, toujours appréciable, et les petites poches, pour glisser deux ou trois bricoles, genre la barre de chocolat de première nécessité.
Est-ce que ça vaut le coup d’acheter une sacoche de vélo si vous n’en faites jamais ? Bien sûr que non. C’est ma solution alternative, basée sur ce que j’avais déjà. Mais vous pouvez très bien faire la même chose en recyclant l’un de vos sacs. L’important, c’est que ce soit petit, que ça protège bien le reflex, et que celui-ci reste accessible.
Jadis, j’ai testé des versions où le reflex est entouré dans un pull, et je vous le déconseille fortement : il arrivera toujours un moment où vous allez attraper le pull n’importe comment, et où le reflex va s’écraser par terre... Donc pensez « solution alternative » mais si vraiment vous n’avez rien, optez pour une petite sacoche en magasin de photo !
Autre solution, si vous êtes un peu bricoleur, adaptez un sac étanche (ceux qu’on trouve en magasin de sport : Sea to Summit, etc.) en molletonnant l’intérieur pour protéger le matériel.
Idéalement, pensez à laisser un peu de place dans votre grand sac de rando, où à trouver une astuce pour l’accrocher dessus (là où certains glissent leur duvet, par exemple), car il arrivera surement un moment où la sacoche en bandoulière deviendra gênante, voire dangereuse : lorsque c’est vraiment trop escarpé, un truc qui vient taper dans les cuisses est très agaçant, et peut entraver les mouvements en cas de glissade.
Vu le nombre de sangles disponibles sur les sacs de rando, vous devriez aisément trouver la bonne astuce pour accrocher (bien accrocher !) le sac photo à votre barda !
38 commentaires
Il est vrai que c’est toujours compliqué de trouver comment porter son APN en rando ou trek.
Perso sur les trek de plusieurs jours, j’utilise un petit sac photo que j’accroche à la ceinture ventral de mon sac à dos et en bandoulière au cas ou mais bandoulière relâché.
Pour une sortie d’un jour j’accroche l’appareil autour du cou. J’ai agrandi et cousue les boucles de la sangle afin d’y passer un mousqueton ce qui me permet de l’accrocher au dragonne de poignets comme ça il ne ballotte presque pas.
Le système D, pour l’instant il n’y a que cela que l’on puisse faire, et puis ça serait dommage de se priver de photos aussi magistrales comme celles que tu nous montres ici, donc ça vaut bien la peine de se creuser une peu la cervelle pour trouver quelques techniques de sioux 🙂
Bonjour
J ai passer quelques temps a chercher la solution idéal pour la rando et aussi pour le Trekking.
Si je part en trekking en autonomie je partiré sur cette solution de chez Aarn http://www.aarnfrance.com/topic4/page11.html des Balance pocket.
Après pour les rando 1 a 3 jours nuit en gite j ai mon LOWEPRO Photo Sport 200 AW sachant que je prend au max un 17–50 2,8, un 70–300 et un trepied et quelque filtre cokin
J apprécie dans se sac la poche camel bag qui peux contenier 2l d eau et la poche supérieur d une 15l pour mette pull nourriture et autre
Voila
Effectivement, ayant également fait le trek de Laugavegur, je ne connais que trop bien le petit crachat continu, puis la grosse pluie sévère... Je n’ai pas les même problématiques que toi dans la mesure où j’ai un appareil photo numérique tout petit, mais certaines personnes dans le trek avec moi avait un matériel plus conséquent, et étaient un peu embêtées aussi.
Fan de treck, je ne pars en vacances qu’avec un sac à dos, et j’ai longtemps cherché la solution idéale aussi. L’année dernière pour la Mongolie, je me suis achetée ceci : http://www.ospreypacks.com/fr/product/multi-use_1/talon_8
J’y rentre mon D7000 avec un 10–24 et je peux ranger le 70–300 à la place d’une des 2 gourdes. Il y a pleins de petites poches très pratiques, et la large ceinture ventrale maintient le tout sans bouger. Pour l’étanchéité, j’ai récupérer une housse étanche que j’avais d’un autre sac photo ventral.
C’est la meilleur solution que j’ai trouvé jusqu’à maintenant.
Merci de partager ton expérience ! Je fais souvent des treks, et à chaque fois c’est du bricolage pour essayer de ne pas trop me charger et d’avoir mon matériel photo à portée de main. Je cherche encore le sac idéal, d’autant que je deviens de plus en plus gourmande en matériel photo.
Mais... la raison pour laquelle je poste un petit commentaire ici (je passe souvent comme une voleuse, je sais!) est... ta dernière photo. Aurélie, grand grand coup de coeur pour cette silhouette qui se dégage de ce paysage dantesque ! C’est vraiment l’une de mes photos préférées de ces derniers mois. Et le post-traitement renforce cette magnifique atmosphère. Le vignettage est souvent utilisé de manière systématique, du coup je m’en méfie, mais là c’est juste parfait.
Bonne continuation miss,
NowMadNow
Un sac topload, en bandoulière assez serrée, et mis sur la ceinture du sac (portée assez haute) pour éviter que ça bouge. Possibilité de porter légèrement sur le côté sur le plat, et bien devant sur le ventre en monté ou descente raide, pour pas donner des coups de genou dans le sac photo.
Ca permet pas de prendre plusieurs objectifs (tout du moins avec mon sac topload, et plus gros ça doit pas être pratique).
Mais je vais tester le coup des mousquetons au niveau de la sangle poitrine, ça peut être pas mal.
C’est la solution que j’utilise depuis des années en montagne (rando, via ferrata) avec un sac « topload » et deux mousquetons sur les bretelles du sac à dos pour faire tenir le sac photo devant. On peut en général sécuriser le sac avec le passant traversant des bretelles du sac à dos dans l’encoche généralement présente dans tous les dos des sacs photo.
En via, je prends dans la mesure du possible le compact avec son petit pouch, pour éviter d’avoir trop d’encombrement, mais je l’ai déjà fait avec un sac plus gros et un reflex, ca passe 😉
Est ce que vous pouvez mentionner les modeles de sac toptload que vous utilisez accroché aux sangles du sac à dos.
Ca ne gêne pas trop la visibilité pour voir où on met les pieds.
N’importe quel toploader fera l’affaire.
Mais j’utilise actuellement un vanguard (outlawz il me semble) après avoir longtemps eu un lowepro toploader 75, de mémoire.
Tu attaches ton toploader sur les 2 sangles du sac à dos, ça ne gène pas la vision lors de la rando. Ca fait quand même plus de 20cm devant le torse, on ne voit plus ou on met les pieds ?
Non ca ne gêne pas : dans la vie de tous les jours, tu as besoin de regarder tes pieds quand tu les poses par terre ?
Certes c’est perturbant au début, mais dans le fond ca ne change rien 😉
Sympa d’ouvrir la conversation.
Je fait beaucoup de rando (en norvege) et voici ma solution :
http://dancarrphotography.com/blog/2011/05/22/introducing-the-f-stop-satori-exp-backpack/
F‑Stop Satori Exp backpack
C’est un sac a dos de 62L qui est confortable, plein de poche, mais surtout, il y a un system de boite de rangement.
Perso jai une boite de rangement dans le bas du sac, et mes afaire de rando au dessus.
Il y a une ouverture a larriere qui permet de sortir le materiel photo sans souci.
Il est bien proteger avec un arceau.
Il a la taille qui passe en cabine d’avion (plusieur fois tester avec beaucoup de materiel photo dedans)
Le trepied sacroche nimporte ou...(au dessus, sur les cotes, en dessous...deriere..)
Cest possible de lacheter depuis leurs website, avec 5$ de frais de livraison en europe (il me semble).
Il faut juste faire atention a pas trop le charger, cela devient vite lourd !!!
Je rempli la moitier de la capacite principale avec un bloc, et dedans il y a :
Canon 5d mkIII + canon 50mm + zeiss 28mm + canon 70–200mm f4L + flash + accessoires...
avec un de ces trois objectif monte au choix...
je peux rajouter a sa une tente, un trepied, un camelback, des habit, la nouriture et le sac de couchage !!
j aime beaucoup cette solution merci de l info
hé bien merci pour l’info ! Je ne connaissais pas du tout ce modèle, et je vais tacher de me le procurer, même si, visiblement, ce n’est pas simple en France !
Alors tu as craqué pour les sacs F‑stop. Si c’est le cas, peux tu nous faire un retour d’experience et nous dire ce que tu as choisi. J trouve cette solution tres interessante.
le 62l passe en format cabine ? C’est etonnant car les dimensions données sur le site sont bien supérieures aux 55X40X25 du format cabine. J’hésite entre le satori et le loka qui serait plus sac à la journée il me semble ce que je fais essentiellement. Pour info : ça vaut vraiment le prix que ça coute ? car c’est assez cher tout de meme comparé à des bons sacs de rando classiques
Je n’y connais rien en rando ou en treck mais tu as raison de prendre soin de ton apn car les photos sont sublimes ^^
COmme dit plus haut en réponse à Florian, la solution à laquelle je me tiens depuis plusieurs années en montagne après avoir testé pas mal de choses différentes est « simplissime » :
– 2 mousquetons sur les bretelles du sac à dos « classique » de rando / trek / via-ferrata / ...
– j’enlève la sangle de mon sac photo (un de type « topload » pas trop gros de préfèrence) et je boucle les mousquetons sur les anneaux du sac photo une fois que le sac de rando est sur mes épaules
– la sangle qui relie les bretelles du sac à dos peut servir à « sécuriser » le sac photo, car il y a souvent un passant derrière les sacs photo
L’avantage, c’est qu’en plus d’avoir le matos photo à portée de main (et d’yeux, si jamais tu dois te méfier de voleurs), il peut être très rapidement sécurisé dans un sac photo conçu pour cela. On peut même se servir du dessus du sac pour « reposer » le matériel (et les bras / épaules) 😉
En plus, ca ballotte pas au niveau des jambes, contrairement aux systèmes à la ceinture, et en rando c’est quand même bien pratique.
Les seuls inconvénients que je vois à ce système c’est :
1 – on ne voit pas où on pose le pied ; c’est perturbant la première demi-heure, et après ca va tout seul
2 – ca tient chaud... (bon ca peut être un avantage s’il fait froid remarque 😉 )
Les commentaires sont aussi instructifs sur le matériel et les techniques de chacun... c’est nullement pour dévaloriser l’article, ils le confirment même ! 😉
Je crois que c’est ce qu’on peut souhaiter de mieux à un blogueur : des supers lecteurs qui laissent des commentaires qui apportent des infos et complètent l’article ! 🙂
Bonjour
Ce que je vais ajouter ne résout pas le problème posé ici, ceci dit :
je crois savoir qu’avec la montée en gamme des petits appareils numériques,
les photographes même exigeants combinent de plus en plus un bon réflexe et un petit appareil qu’ils dégainent de leur poche pour des photos moins... comment dire...importantes à leurs yeux.
Lowepro a 2–3 sacs speciaux pour les longs treks avec acces rapide à l’appareil.
Bonjour,
je pratique bon nombre de trek/rando/alpinisme/ski rando etc.
Je me suis dernièrement fixé sur le port en continue du réflex sur moi, pour shooter rapidement, sur le fait et éviter les manoeuvres de sac etc.
J’ai donc adopté la sangle en bandoulière absolument géniale de BlackRapid RS7 et un mini-sac de qualité excellente : Crumpler banania, dans lequel je range le reflex quand il n’est pas sur moi et que je mets alors dans le sac à dos.
Mais dorénavant je le garde sur moi tout le temps.
J’ai encore fait une course d’alpinisme ce week-end avec la corde autour du cou, le sac sur le dos, baudrier etc, je peux dégainer le réflex en 2 sec.
De toute façon il n’y a rien de parfait, à chacun de trouver ça façon, mais voila la mienne !
Bonjour Rom.
Je pensais exactement à adopter la même solution que toi : une bonne sangle en bandoulière et un compartiment protecteur à mettre dans le sac de rando. J’avais juste un doute sur le fait d’avoir 2 sangles sur une même épaule : celle du sac à dos et celle de la courroie, ça ne gène pas ? Laquelle tu mets au dessus de l’autre ? Merci pour ces commentaires et à ce blog très instructifs
Franchement, l’imagination et la débrouillardise des randonneurs chevronnés pour détourner l’usage des objets pour s’en servir en escapade m’épatera toujours ! ;D
Le petit commentaire sur la morphologie féminine m’a fait sourire... toujours un vrai problème pour moi en ballade. ;D Et franchement, porter l’appareil autour du coup fait un mal de chien après une heure... alors que je n’ai qu’un reflex compact (je n’imagne pas avec un full reflex).
BlackRapid met en vente une sangle pour morphologie féminine, mieux adapté pour les seins et donc meilleur confort. A voir !
J’y vais de mon petit lien aussi : en anglais mais la vidéo est suffisament claire. ça reprend le principe de la « banane » ET de la poche « à duvet » en bas du sac à dos.
http://www.kickstarter.com/projects/134466492/rotation180-photo-backpack
Après le volume du sac à dos en lui-même est peut-être un peu juste pour un trek en autonomie de 5 jours, tu avais l’air sacrément chargée pour le coup.
(PS : ton lien amazon sea to summit est mort)
Perso, je suis soumis aux mêmes problèmes que toi, et pas seulement pour les treks : les mariages ou les concerts présentent les mêmes problématiques, à savoir, accéder rapidement à son matériel, tout en le gardant de manière sécurisée.
Ce que je me suis pris maintenant, même si j’ai un peu l’air con, c’est un ensemble de harnais, ceinture, fixations et petits sacs,. J’arrive à peu près à camoufler ça sous le costard ou la veste, ou du moins a ne pas rendre trop voyant tout le matos, ce qui est pas mal quand tu es en voyage dans des pays qui pratique allègrement le pickpocket.
Pour le harnais et la ceinture : j’ai pris le système Vanguard ICS.
J’ai trouvé une occaz pour le tout à genre 50 euros donc ...
J’utilise le système de fixation PeakDesign Capture : de cette manière je peux accrocher au harnais ou à la ceinture ou n’importe où ailleurs avec un système quick release mes appareils, et en plus, vu que c’est du ARCA, je peux directement le mettre sur mon trépied.
J’ai récupéré plusieurs vieux petits sacs photos que je fixe tout autour de la ceinture pour mettre soit mes reflex soit des optiques soit des flashs soit des accessoires.
J’ai opté pour le pari (un peu fou j’avoue) de un objectif = un reflex, mais en ayant que des vieux reflex payés genre 200 euros sur ebay ( qui ont une nouvelle vie grâce à « Magic Lantern »), donc je peux ainsi facilement et très rapidement switché d’une optique à l’autre.
On sent pas trop le poids vu que c’est uniformément réparti avec le harnais & ceinture, et de plus, je peux quand même avoir un sac à dos avec ce système là, que je peux utiliser à ce moment là uniquement pour mes affaires non photo.
J’ai l’impression à te lire que le bricolage et le système D sont de loin la meilleure solution ! Dommage qu’un fabricant ne se soit pas encore penché sérieusement sur le problème... à mois qu’ils l’aient fait mais que les attentes des voyageurs photographes en la matière soient tellement personnels qu’aucun sac ne réussit à emporter l’adhésion du plus grand nombre...
Bonjour à tous,
Ma solution c’est un petit top load dans le sac et ceci pour ne rater aucune photo sans avoir à porter l’appareil autour du cou :
http://digital-photography-school.com/peak-design-capture-camera-clip-v2-review
Ton voyage à l’air d’avoir été très sympathique. L’Islande à vraiment l’air d’être un beau pays, en tout cas tes photos sont sublimes.
[…] Quel sac à dos pour emmener son reflex en trek ? C’est la question sur laquelle j’ai ruminé ces dernières semaines. Quand on voyage en routard, on laisse le gros sac à l’auberge et on part en journée avec le sac photo. Quand on part sur une petite rando où on dormira tous les soirs à l’hôtel, on se contentera de glisser quelques culottes dans un des compartiments du sac photo, et de prendre de l’eau. Mais quand on part sur un trek en autonomie, qu’on doit transporter sa tente, son duvet, sa nourriture ? […]
[…] Merci à Madame Oreille pour l’image de couverture qui illustre le billet. […]
Les photos sont magnifiques bravo 😉 sa donne vraiment envie de faire ce que vous faites c’est énorme !!!
effectivement je trouve les photos magnifique aussi, des paysages époustouflant, la nature est vraiment parfaite.
Pour les randos à la journée, ou sur plusieurs jours mais avec de bonnes conditions climatiques, il y a une solution se rapprochant de celles évoquées dans les commentaires (les mousquetons) mais avec des crochets développés spécifiquement, et un espèce de support en mousse pouvant contenir une carte de rando, et qui rend le portage plus confortable sur la poitrine.
C’est une solution simple et pas très chère, et c’est fait en France ! Leur site c’est http://www.carrycam.photos
Par contre, c’est sûrement à compiler avec une solution en sac sur longues distances ou pour les jours de pluie..