Une semaine en famille aux Orres pour apprendre à skier avec ma fille, c’était notre défi de cet hiver !
En janvier, j’ai passé une semaine aux Orres avec ma fille de 4 ans. C’est une station familiale, à taille humaine, située pas très loin de Gap, dans les Hautes-Alpes. Depuis les pistes, la vue, ouverte sur la vallée, est splendide. On devine le lac de Serre-Ponçon en contrebas, au pied du massif des Écrins.
Débuter en ski
Ouais, bon, ben, faut y aller maintenant.
Je crois que c’est à peu de chose près ce qui a dû me traverser l’esprit lorsque je me suis retrouvée en haut de ma première piste, ce matin-là. C’était mon premier cours. Une heure auparavant, je n’étais jamais montée sur des skis. J’aurais toujours pu déchausser et redescendre en marchant avec ces horribles chaussures de ski qui nous donnent une démarche de rappeur des années 90. Mais je me suis surprise à me lancer, à réussir à descendre en slalomant tel un serpent pataud et fourbu. J’ai fini cette première leçon de ski avec le sourire, et sans rien de cassé. Pire, non seulement je ne suis pas tombée, mais en plus j’ai pris du plaisir à la descendre, cette piste.
Alors plusieurs jours durant, j’ai suivi des cours de ski, tandis que ma fille de 4 ans en suivait elle aussi, de son côté. Le domaine des Orres s’y prête bien, avec, certes, quelques pistes rouges sur les hauteurs de la station, mais aussi plusieurs parcours dédiés aux débutants et aux familles.
Petite Oreille chez les Piou-Piou : apprendre à skier pour les enfants
Le matin, Petite Oreille allait au Club Piou-Piou de l’ESF (ils appellent aussi ça le Jardin des Neiges). Avec des moniteurs de ski et des animatrices, elle a suivi des cours de ski, entourée d’autres enfants de son âge.
En arrivant, ils enfilent une petite chasuble correspondant à leur niveau. Certains, plus avancés, sortiront sur les pistes pendant que les plus jeunes (ou les moins aguerris) pratiqueront tranquillement dans un espace protégé et aménagé où ils ont leur tapis de remontée et des boudins gonflables pour amortir les arrivées dont le freinage n’est pas trop maîtrisé. Au fil de la semaine, les exercices évoluent, toujours de façon ludique : il faudra, par exemple, slalomer entre les « chapeaux de sorcière » ou passer sous des tunnels. Et dès que les enfants sont assez à l’aise sur leurs skis, hop, ils sortent sur les pistes en petits groupes !
Vous trouverez tous les détails sur le site de l’ESF des Orres.
Les cours collectifs sont accessibles à partir de 3 ans. Selon les dates, il faut compter entre 90€ et 120€ pour une série de 5 cours collectifs de 2h. Cela comprend un petit goûter, mais ça n’inclut pas le forfait de remontées mécaniques (dont l’enfant aura besoin dès qu’il ira sur les pistes) ni le matériel. Notez que le forfait est gratuit pour les enfants de moins de 5 ans.
L’ESF fonctionne avec un système de niveaux, valables dans toute la France. Ils sont identiques d’une station à l’autre. À la fin de la semaine, les enfants ont donc la possibilité de valider leur niveau et de repartir avec une petite médaille et un petit papier officiel à présenter la prochaine fois qu’ils prendront un cours. Aux Orres, ils proposent en plus des niveaux classiques, des médailles intermédiaires, qui permettent aux plus jeunes de ne pas repartir déçus. Ah, le sourire de Petite Oreille quand elle est arrivée avec son pin’s de marmotte, toute fière de m’annoncer qu’elle était allée sur les pistes et qu’elle avait eu sa médaille !
Apprendre à skier en tant qu’adulte débutant
De mon côté, j’ai rejoint un cours en groupe destiné aux adultes, également encadré par l’École du Ski Français. Il est possible de suivre ce cours à la carte ou à la semaine, selon les parcours et les envies de chacun. Les participants ne se connaissaient pas avant de venir, mais tous étaient motivés !
Nous étions entre 6 et 8 adultes autour de notre professeur, JS, un joyeux luron, calme et pédagogue. Il y avait Linda, qui n’avait jamais skié de sa vie mais était bien décidée à apprendre. Sa fille de 5 ans suivait en parallèle un cours en groupe pour les enfants et faisait de grands signes à sa mère à chaque fois qu’elle la dépassait sur les pistes. L’après-midi, la mère et la fille rejoignaient le père, bon skieur, pour descendre quelques pistes vertes en famille.
Il y avait également Murielle, venue en solitaire pour reprendre le ski après 15 ans sans pratique. Elle n’était pas rassurée par les pentes ni la vitesse ; le cours était un bon moyen de « remettre le pied au ski ». Samantha, elle, venait à un cours sur deux pour alterner apprentissage et pratique par elle-même.
La troisième maman du groupe, Adèle, n’avait pas mis sa fille de 3 ans chez les Piou-Piou : le papa pensait pouvoir apprendre à skier à sa fille lui-même. Ce fut un échec cuisant, la petite Emma n’a pas voulu monter les skis de toute la semaine. L’année prochaine, Adèle continuera les cours pour adultes le matin, pendant que sa fille ira au club enfants de l’ESF !
Car être bon skieur ne suffit pas pour être prof de ski. C’est un peu comme la photo : on peut être le meilleur photographe du monde, mais ne pas savoir expliquer les bases de la photo à un novice !
L’ESF (aka École du ski français) c’est donc une structure qui regroupe des profs de ski indépendants, tous diplômés, qui ont l’habitude de donner des cours (puisque c’est un peu leur job !). Ils savent donc parfaitement ce qu’il faut dire aux apprentis skieurs et à quelle vitesse les faire progresser.
En tant qu’adulte qui n’avait jamais skié, j’ai été épatée de me retrouver à descendre une piste seule après une heure de cours. Le prof avait réussi à me mettre en confiance et à me donner les bons conseils. Et tout au long de la semaine, les conseils personnalisés qu’il a su me donner m’ont permis de progresser, tranquillement. JS avait l’œil pour repérer ce que je pouvais rater, et savait m’expliquer comment positionner mes skis à tel ou tel moment : fléchir plus, appuyer sur telle jambe, etc.
Vous trouverez tous les détails sur le site de l’ESF des Orres.
Contrairement aux enfants, les adultes n’ont pas droit au petit goûter, et ne se voient pas proposer de médaille de Sifflote la marmotte ! Par contre, il est nécessaire d’arriver avec son matériel ainsi que son forfait de remontées mécaniques. Il faut compter entre 88€ et 144€ pour 5 jours de cours de 2h ou 2h30, selon les dates.
La progression est hyper rapide au début, ce qui rend l’apprentissage agréable, puis c’est un peu plus laborieux. Oui, parce que pour passer de Jean-Claude Dusse qui zigzague en chasse-neige à 2km/h à Tessa Worley, il y a un petit peu de travail. Et c’est là que le prof est important afin de comprendre comment se positionner sur la piste.
Pour vraiment apprendre, il faut aussi de la persévérance et de la constance : skier tous les jours pendant une semaine, voire rechausser les skis après la leçon. Comme tous les sports de glisse, le ski fait appel à une sorte de mémoire musculaire : avec de la pratique, tout devient automatique, et le corps exécute tout seul les mouvements sans que nous ayons besoin de nous concentrer sur les actions à effectuer dans l’ordre. Bref, il faudra que je consacre une nouvelle semaine au ski l’année prochaine si je veux un jour pouvoir faire des randonnées à ski avec ma fille !
Que faire aux Orres, après le ski ?
Petite Oreille et moi skiions tous les matins, chacune de notre côté. Alors l’après-midi, nous passions du temps ensemble, bien sûr. Aux Orres, il n’y a que l’embarras du choix quant aux activités à pratiquer en dehors du ski.
Une balade en traîneau à chiens
En hiver, la promenade en traîneau, c’est devenu un classique, même dans des contrées comme les Hautes-Alpes, pourtant éloignées de la Laponie. Et pour tous les âges, c’est toujours une super expérience. Petite Oreille adore quand le traîneau file à toute allure, mais aussi et surtout quand, après la sortie avec le traîneau, elle peut aller caresser chaque chien.
Et ici, les chiens, ce sont de grosses peluches. Fabrice, le musher de Tatonka Adventures, a réuni sa meute de huskys, principalement sibériens, en les récupérant dans des refuges. Tous ont des histoires assez tristes. Certains de ses huskys ont appartenu à des propriétaires qui n’étaient pas conscients des réels besoins de ces chiens. D’autres viennent de mushers pratiquant la compétition, qui abandonnent les chiens pas assez performants à leur goût. Certains ont, avant d’être adoptés par Fabrice, enchaîné les foyers sans jamais trouver la bonne famille. En plus d’être une super expérience, cette promenade est donc aussi l’occasion de soutenir une belle initiative.
La luge sur rail : l’Orrian Express
Non, le jeu de mots du nom de l’activité n’est pas de moi !
Le concept de la luge sur rail, c’est de retrouver des sensations de vitesse sur un parcours défini, avec ses vrilles et ses tourbillons. Et le point le plus important, c’est qu’ici, nul besoin de tirer la luge sur 200m, à pied, avant de pouvoir profiter de la descente : on s’assoit, et la luge grimpe toute seule, tirée par un filin. Pour la descente, par contre, il faut enclencher les leviers : on peut donc aisément contrôler la vitesse.
La descente coûte 4€ mais est très rapide. Je vous conseille donc de prendre l’option tickets groupés pour le faire plusieurs fois. (Petite Oreille l’a fait 3 fois, mais aurait pu continuer !)
Une descente en Snake Gliss
La luge, ça ne bouge pas assez pour vous ? Essayez le Snake Gliss ! Imaginez une série de luges attachées les unes aux autres pour former une grande chenille articulée. À l’avant, le pilote gère les tournants, les slaloms, les sauts. À l’arrière, le moindre mouvement est décuplé, au point que le dernier maillon peut se voir éjecté s’il ne tient pas solidement sa monture !
Le rendez-vous est donné sur le front de neige, en bas des pistes, juste avant la fermeture des télésièges. Nous retrouvons là d’autres familles, nos compagnons pour cette aventures, ainsi que le pilote. Tout le monde enfile casques et gants avant d’emprunter les remontées. Nous survolons les derniers skieurs qui rentrent se mettre au chaud.
En haut, le pilote installe son serpent des neiges. Chaque luge est vissée aux autres pour être solidaire mais mobile. Les enfants les plus jeunes prennent place à l’avant. Les adultes s’installent à l’arrière, là où ça bougera le plus. La descente se fera en plusieurs étapes, afin que chacun puisse essayer une autre place, à sa convenance.
Je visse Petite Oreille entre mes jambes et c’est parti ! La curieuse embarcation dévale la piste vide de tout skieur, serpente dans les descentes, cherche les bosses. Ça penche, ça tourne, ça secoue. Et les enfants rient aux éclats jusqu’en bas ! (Et les adultes aussi, bien sûr)
Rendez-vous 15minutes avant la fermeture des pistes, sur le front de neige 1650m. Deux parcours possibles : « découverte » à 12€ ou « sensation » à 16€ (à partir de 8 ans).
Toutes les infos sur le site web de l’Office de Tourisme.
Une après-midi à la patinoire
Ce qui surprend en entrant dans la patinoire, c’est la lumière qui inonde le lieu et le panorama qu’on y découvre grâce à une grande baie vitrée donnant sur la station et les montagnes.
Petite Oreille et moi nous y sommes rendues en milieu d’après-midi. Comme il faisait beau, la patinoire était quasiment vide. C’était parfait pour apprendre ! À disposition des enfants comme des adultes, des animaux en plastique et autres structures destinés à permettre une certaine stabilité sur la glace.
Petite Oreille est déjà allée plusieurs fois dans des patinoires avec moi. Alors, comme à chaque fois, elle s’assoit sur un gros phoque en plastique que je pousse pendant quelques tours de chauffe. Le patin, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas... mais quand on ne patine pas régulièrement, il y a toujours ce petit temps de réapprentissage avant d’être à l’aise.
Rapidement, elle abandonne le phoque pour un renne qu’elle pousse, cette fois. C’est la première fois qu’elle se lance debout, toute seule et toute contente de faire glisser son renne. Petite Oreille enchaîne les tours. Elle s’amuse à pousser le renne loin d’elle pour le rejoindre ensuite, puis à le faire tournoyer. Et voilà ma fille de 4 ans qui m’explique qu’elle vient d’inventer un truc génial : danser avec des patins. Oui oui. Mais on va attendre pour le triple axel, par contre, hein !
La patinoire se trouve aux Orres 1650. Elle est gratuite jusqu’à 4 ans inclus. Tarif enfant jusqu’à 11 ans : 5€. Tarif adulte : 7€.
Les tarifs comprennent l’entrée et la location des patins, et ce pour une durée illimitée (enfin, limitée à la fermeture de la patinoire, bien sûr).
Les rennes, phoques et autres animaux d’apprentissage sont en accès libre.
Bref, c’est pas cher et super sympa !
Plus d’informations ici.
Une promenade en raquettes
Le dernier matin de notre séjour, accompagnée par un guide de l’ESF, je suis allée crapahuter sur les crêtes du domaine des Orres. Le ciel était dégagé, la vue était imprenable sur tous les environs jusqu’au Mont Blanc. Il y a de nombreux parcours à faire en raquettes ici, selon les niveaux et les envies. Pour cette randonnée, je n’étais pas accompagnée de Petite Oreille, mais, en adaptant le parcours, il est tout à fait possible de faire des balades en raquettes en famille.
Je vous laisse juger de la beauté du paysage sur les photos !
Profiter de l’air frais et jouer dans la neige
C’est gratuit, sans horaire fixe, sans lieu de rendez-vous. Et tous les enfants sont heureux de jouer dans la poudreuse. Gardons donc du temps libre entre toutes ces activités !
Une soirée en dameuse
Tout au long de l’hiver, deux équipes se relaient sur les pistes pour passer les dameuses pendant que les skieurs dorment. Nous avons eu la chance de grimper dans la machine de Jeannot pour une promenade au coucher du soleil sur les sommets. Ça fait 23 ans qu’il fait ce métier. Tous les dameurs ont grandi ici. Ils connaissent les pistes des Orres comme leur poche.
De sa main gauche, Jeannot gère les chenilles tandis que sa main droite est dédiée à la pelle avant. Pivoter à droite, baisser, refermer d’un côté, tourner à gauche : les combinaisons sur le joystick sont plus complexes qu’une partie de Street Fighter. Jeannot nous explique qu’il faut 3 hivers à un dameur pour être vraiment autonome dans sa machine. C’est un métier difficile et fatigant. Il passe ses nuits seul dans sa dameuse. Le contact radio est permanent avec les autres dameurs et les techniciens de la station qui interviennent, eux aussi, de nuit.
Jeannot aime son métier. Il a les pistes pour lui seul, dans sa dameuse. Et la machine a de quoi impressionner. Elle monte et descend des pentes à 30° sans sourciller. Derrière la vitre, la pente est vertigineuse. Heureusement, Petite Oreille a mis sa ceinture de sécurité, bien harnachée au fond du siège !
Les dameuses sont toutes équipées de capteurs qui mesurent l’épaisseur de la neige. Les données ainsi collectées vont être analysées pour permettre, dans les années à venir, d’utiliser le moins possible la neige artificielle.
Le tour en dameuse n’est malheureusement pas une activité ouverte à tous : cette soirée nous a été offerte par l’Office de Tourisme.
Toutefois, si vous voulez vivre la même expérience, vous pouvez participer au jeu concours organisé toutes les semaines par l’Office de Tourisme des Orres, en remplissant un bulletin, sur place. Vous pourrez alors découvrir les coulisses de la station : soirée en dameuse, ouverture des pistes, etc.
Les Orres, mini-carnet pratique
La station se divise en deux parties (Les Orres 1650 et Les Orres 1800), elles-mêmes construites au-dessus du village historique. Des navettes gratuites et régulières permettent de relier les différentes parties de la station pendant toute la journée. Un chemin piétonnier, éclairé la nuit, offre une jolie promenade entre Les Orres 1650 et 1800. On rejoint également très facilement les deux stations en ski, ou à pied par les pistes. Le domaine est vaste, mais il y a plein de connections entre les pistes (au point que, en tant que débutante, j’avais parfois du mal à me repérer, trop concentrée sur mes skis !)
Les Orres 1650 date de 1970 et se démarque encore aujourd’hui par une conception particulière : la station est classée au patrimoine du XXème siècle pour son unité architecturale. Tous les bâtiments ont été conçus pour s’imbriquer côte à côte et donner un sentiment d’homogénéité, avec les commerces et les équipements au cœur de la station.
Le style des Orres 1800 est plus récent, avec plus de charme, mais cette seconde partie a, elle aussi, été conçue avec un souci d’unité et de praticité : une station sans voiture, où tout est facilement accessible.
Sur place, vous aurez donc tout ce dont vous pouvez avoir besoin, outre les activités : location de matériel, restaurants, supérette, pharmacie, médecin.
Où dormir
Petite Oreille et moi logions dans la résidence l’Écrin des Orres (vous avez saisi le jeu de mots ?*). Au pied des pistes, nous avions notre petit appartement ainsi qu’un box fermé, au rez-de-chaussée, pour le matériel de ski. Pas de restaurant dans la résidence, mais une piscine, très agréable pour se détendre au chaud, en fin de journée.
Difficile de donner une indication de prix car les tarifs varient beaucoup au cours de la saison et selon la superficie des appartements ou studios, mais la totalité des apprentis skieurs de mon groupe logeait dans cette résidence ! C’est peut-être le hasard, mais c’est sans doute aussi le signe que ce doit être un bon choix !
Lorsqu’on est en famille pour une semaine au ski, la location d’appartement est, je trouve, une option agréable et économique. Ça permet de prendre le petit déjeuner en pyjama, de s’installer comme à la maison, et aussi d’économiser un peu en cuisinant certains repas.
*Les Orres font face au Massif des Écrins
Où manger
Il n’y a que l’embarras du choix, entre les Orres 1650, les Orres 1800, le restaurant d’altitude... et l’appartement !
Nous avons pris tous les petits déjeuners à l’appartement, parce que c’était plus simple (ça me permettait de ne pas réveiller Petite Oreille trop tôt !).
Le restaurant est accessible aux piétons, donc si vous ne skiez pas, montez quand même profiter de la vue !
Comment venir aux Orres
Il n’y a pas de gare aux Orres, mais plusieurs bus et navettes permettent de rejoindre la station depuis les villes voisines.
Venant de Paris, nous avons pris le TGV jusqu’à Grenoble puis le TER jusqu’à Gap avant de terminer en voiture (un bus assure également la liaison).
Des navettes, sur réservation, partent également de la gare d’Embrun (à une douzaine de kilomètres), ainsi que depuis l’aéroport de Marseille et la gare TGV d’Aix-en-Provence.
Ce voyage a été réalisé en collaboration avec l’Office de Tourisme des Orres et l’ADT des Hautes-Alpes.
2 commentaires
Merci pour cet article plus que complet et très bien écrit ! La balade en raquettes sur les crêtes nous tente carrément et la station a l’air d’offrir un max d’activités, ce qui est vraiment pas mal si on veut un peu changer du ski à un moment. Le ski...hum, parlons-en...plus de 15 ans qu’on n’est pas monté dessus alors c’est un peu l’angoisse même si on aimerait bien réessayer ! Bref, tout ça pour dire que la station est dans notre top 5 des stations françaises à tester !
Merci pour ton article très instructif. En effet, c’est la première fois que je vais emmener ma famille en montagne pour pratiquer des sports d’hiver tels que le ski et le snowboard. Je vais suivre tes conseils à la lettre.