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Le Grand-Bornand en famille

par Madame Oreille

Le Grand-Bor­nand c’est 2000 habi­tants et autant de vaches, dans un petit coin de Haute-Savoie. C’est aus­si un chouette endroit pour une échap­pée esti­vale à la mon­tagne, en famille !

Début juillet, Petite Oreille et moi décou­vrions le Grand-Bor­nand, cette petite sta­tion des Alpes qui a la par­ti­cu­la­ri­té d’a­voir gar­dé nombre de ses vieux cha­lets en bois (et qui a donc un charme fou).

À l’é­poque de ce séjour au Grand-Bor­nand, ma fille avait 3 ans et demi. Un âge où les longues ran­don­nées ne sont pas pos­sibles sans por­tage, mais où les enfants peuvent déjà pro­fi­ter de pro­me­nades et de nom­breux acti­vi­tés pour le don­ner le goût de la montagne !

Séjour au Grand-Bornand

Note préa­lable : toutes ces acti­vi­tés ont été faites sur plu­sieurs jours, et ne sont réunies sur un seul jour que pour les besoins de l’ar­ticle ! Ne repro­dui­sez pas cela chez vous et pre­nez le temps de savou­rer les lieux !

7h : petit déjeuner à l’hôtel

Grand-Bornand

Regar­der le soleil se lever sur la chaîne des Ara­vis est un joli spec­tacle pour le petit déjeu­ner. Nous man­geons sur la ter­rasse du cha­let. Un verre de lait chaud, une part de gâteau de Savoie pour Petite Oreille, une part de tarte aux myr­tilles pour moi. On est bien, là !

On étend les cloches des vaches au loin. Nous sommes au début de l’é­té et les bovi­dés ont rejoint les alpages. Plus tard, nous irons les voir de près.

Marie-Chris­tine, la pro­prié­taire, nous raconte l’his­toire du lieu. Le cha­let, vieux de plus de 300 ans, appar­te­nait à sa belle-famille. Lors­qu’est venue l’i­dée de trans­for­mer l’an­cienne ferme en hôtel, Marie-Chris­tine et son conjoint ont choi­si de conser­ver l’âme mon­ta­gnarde. Les 9 chambres sont donc toutes dif­fé­rentes et portent cha­cune le nom d’un vieil outil : la râs­sé, la baratte, la trosse, la gar­rire, le croëzet...

Ces usten­siles donnent éga­le­ment le ton de la déco­ra­tion de chaque chambre. Ain­si, nous dor­mions dans la chambre nom­mée la râs­sé et une grande scie à bois, d’é­poque, trô­nais à côté de mon lit (râs­sé dési­gnant cette scie, en patois). De quoi plon­ger direc­te­ment dans l’ambiance.

L’hô­tel est plein de charme et vous don­ne­rait presque l’im­pres­sion d’être en chambre d’hôtes avec son ambiance fami­liale. Il se trouve un peu à l’é­cart du centre ville, au calme (c’est le cha­let de gauche sur la pho­to ci-dessous).

Où dor­mir au Grand Bor­nand : le Chalet-hôtel 

Les Fermes de Pierre & Anna
4681 Route de la Val­lée du Bouchet
74450 Le Grand-Bornand
Voir les tarifs

Comp­tez entre 100 et 150€ la nuit pour 2 per­sonnes avec petit déjeu­ner selon les dates.

hôtel de charme au Grand-Bornand

Grand-Bornand

Grand-Bornand

Grand-Bornand

8h : le marché du mercredi

Après une petite marche autour de l’hô­tel à admi­rer les cha­lets et les toi­tures tout en bois (les fameux tavaillons et ancelles, les tuiles typiques locales), nous rejoi­gnons le centre-ville. Tous les mer­cre­dis, c’est le mar­ché, et c’est l’oc­ca­sion pour nous de faire les pro­vi­sions pour le pique-nique du midi !

Ici, on trouve tous les pro­duits tra­di­tion­nels et beau­coup de pro­duc­teurs locaux, bien sûr. Nous optons pour de la tomme de Savoie à dégus­ter avec du pain frais.

marché du Grand-Bornand

église du Grand-Bornand un jour de marché

9h : randonnée en famille

Le Grand-Bor­nand, c’est for­cé­ment le para­dis pour les ran­don­neurs : des lacs, des cols, des som­mets, et des petits sen­tiers qui sillonnent les alpages pour accé­der aux plus beaux points de vue.

Grand-Bornand

C’est Jean-Marc qui nous accom­pagne. Guide de mon­tagne, il emmène des ran­don­neurs par­tout dans le monde mais réside au Grand-Bor­nand et connaît le coin comme sa poche.

Bien que prendre un guide ne soit pas néces­saire sur les sen­tiers que l’ont trouve ici, sur­tout pour une pro­me­nade en famille, c’est inté­res­sant de che­mi­ner avec quel­qu’un qui par­tage des anec­dotes sur le coin, explique tout, connaît les fleurs et repère la faune.

Jean-Marc nous emmène du Chi­naillon (un joli quar­tier du Grand-Bor­nand) au pied de l’Ai­guille Verte. Un joli déni­ve­lé posi­tif de plus de 500m pour Petite Oreille, qui nous per­met­tra d’ob­ser­ver des mar­mottes, des bou­que­tins, des cha­mois, et le Mont Blanc ! (si vous regar­dez bien, vous le ver­rez sur les pho­tos, cou­vert de neige, der­rière la chaîne des Aravis)

Randonnée depuis le Chinaillon avec vue sur le mont blanc

Randonnée autour du Grand-Bornand

Rando au Grand-Bornand

J’é­tais assez sur­prise de voir les mar­mottes, et sur­tout de les voir d’aus­si près. (Si vous regar­dez bien la pho­to ci-des­sous, vous voyez à quel point Petite Oreille est proche de la mar­motte, petit point beige en haut à gauche !) Les mar­mottes sont des ani­maux assez crain­tifs, et il est tou­jours com­pli­qué de les appro­cher. Jean-Marc m’a confié que la den­si­té en ani­maux sau­vages autour du Grand-Bor­nand, et la faci­li­té à les obser­ver, le sur­prend tou­jours aus­si. Il voit des cha­mois ou des bou­que­tins à chaque randonnée !

Rando en famille au Grand-Bornand

Marmotte aperçue pendant la rando Grand-Bornand

Rando au Grand-Bornand

Le mont blanc depuis le Grand-Bornand

Rando en famille au Grand-Bornand

Bouquetin aperçu pendant une randonnée au Grand-Bornand

13h : visite de la ferme du Jalouvre

Notre ran­don­née se ter­mine au pied du Jalouvre, une grosse mon­tagne cou­verte de voies d’es­ca­lades. C’est ici que nous ren­con­trons Karine, qui pro­duit en famille le seul reblo­chon bio de la région. Son mari s’oc­cupe des vaches, son fils donne un coup de main pen­dant les vacances, et elle s’oc­cupe de la fabri­ca­tion des fromages.

Visi­ter la ferme du Jalouvre
Michel et Karine Fournier-Bidoz
240 che­min du Saugy
74450 Le Grand-Bornand
Télé­phone : 06 70 20 68 69 ou 06 23 60 57 62 (les pré­ve­nir avant !)

Ferme du Jalouvre

Productrice de fromages en Haute-Savoie

Au Grand-Bor­nand comme par­tout en Haute-Savoie, les éle­veurs et pro­duc­teurs-fer­miers ont deux exploi­ta­tions : une proche des alpages pour l’é­té, et une plus basse pour l’hi­ver afin de ne pas être ense­ve­lis sous la neige. Il est visi­ble­ment tout à fait cou­rant qu’il y ait de la neige jus­qu’au toit des fermes d’al­pages, les ren­dant inac­ces­sibles pen­dant plus de la moi­tié de l’an­née ! Karine et sa famille démé­nagent donc deux fois par an.

Reblochon, fromages de Savoie

Karine pré­sente ses vaches pré­fé­rées à Petite Oreille, tou­jours heu­reuse de cares­ser un ani­mal. Elle a deux races de vaches : des Abon­dances et des Mont­bé­liardes. Et deux fois par jour, toutes passent à la traite. À par­tir du lait cru ain­si obte­nu, Karine pré­pare les fro­mages qu’il fau­dra ensuite affi­ner sur les planches en bois traditionnelles.

Le saviez-vous : la tar­ti­flette n’a rien de traditionnelle !

La tar­ti­flette, qu’on ima­gine comme le plat de réfé­rence dans les mon­tagnes savoyardes, est en réa­li­té une inven­tion récente : une idée ingé­nieuse trou­vée dans les années 1980 pour popu­la­ri­ser le reblo­chon et en aug­men­ter les ventes. Le concept est tel­le­ment bien pen­sé que la tar­ti­flette s’est rapi­de­ment impo­sée comme un plat authen­tique et tra­di­tion­nel, pro­po­sé dans tous les res­tau­rants de Savoie.

La tar­ti­flette s’ins­pire tout de même d’un plat local nom­mé péla, du nom patois de la poêle dans laquelle on le pré­pare. On y retrouve les pommes de terre, les oignons et le fro­mage fondu.

Au Grand-Bor­nand et dans quelques autres com­munes de la région vous trou­ve­rez éga­le­ment la cro­zi­flette, une variante de la tar­ti­flette où les cro­zets, des petites pâtes car­rées, rem­placent les pommes de terre.

Ferme du Jalouvre

Ferme du Jalouvre, Grand-Bornand

14h repos à la piscine

La pis­cine, ce n’est pas for­cé­ment mon acti­vi­té favo­rite lorsque je séjourne à la mon­tagne. Pour­tant, celle du Grand-Bor­nand vaut le détour (et je vous conseille d’y pas­ser la journée).

La pre­mière rai­son d’al­ler à la pis­cine du Grand-Bor­nand, c’est le cadre : les bas­sins se trouvent en exté­rieur, en centre-ville, avec vue sur les mon­tagnes. C’est donc bou­gre­ment agréable !

La deuxième rai­son, c’est qu’elle est adap­tée aux familles : on y trouve trois bas­sins dif­fé­rents ain­si qu’un grand tob­bo­gan. Les tout-petits ont accès à une grande patau­geoire avec des jeux. Les nageurs qui veulent s’entraîner ont pour eux un bas­sin dédié avec des lignes réser­vées à la nata­tion. Et au milieu un grand bas­sin ludique, dont la pro­fon­deur est pro­gres­sive, est par­fait pour les enfants et ceux qui veulent juste pro­fi­ter de l’eau.
Enfin, un grand tobog­gan offre quelques sen­sa­tions fortes avant d’atterrir dans un mini bas­sin, en toute sécu­ri­té. Petite Oreille a fait plu­sieurs tours (sur mes genoux), riant à gorge déployée pen­dant toute la descente !

La troi­sième rai­son, c’est qu’i­ci tout est fait pour qu’on puisse res­ter toute la jour­née : la pis­cine a un petit res­tau­rant (snack) et de nom­breux espaces verts sur les­quels pique-niquer. Il y a éga­le­ment des para­sols sous les­quels se pro­té­ger pour quelques minutes de repos.

Piscine du Grand-Bornand

Piscine du Grand-Bornand

Piscine du Grand-Bornand

Piscine du Grand-Bornand

Ci-des­sus : la patau­geoire à gauche, puis deux vues du bas­sin loi­sirs dans lequel Petite Oreille a pas­sé tout son temps !

Pis­cine du Grand-Bornand

189 route du Borne
74450 Le Grand-Bor­nand

La pis­cine n’est ouverte qu’en été (fin mai / début septembre).

Entrée adulte : 5.60 €
Entrée enfant : 4.50 €
Gra­tuit pour les enfants de moins de 5 ans.
Réduc­tion pour les déten­teurs de la carte d’hôte (qu’on vous donne dès que vous logez dans un des héber­ge­ments de la ville) : adulte 4.60 €, enfant 3.90 €

15h : montée au mont Lachat

Le Mont Lachat, plan­té au milieu de la val­lée, domine le Grand-Bor­nand du haut de ses 2050m. Au som­met, on pro­fite de jolies vue sur les Ara­vis. On peut y mon­ter à pied si on a le temps et la moti­va­tion, ou emprun­ter les télé-cabines du Rosay. Celles-ci ont une petite par­ti­cu­la­ri­té : elles sont toutes dif­fé­rentes et racontent l’his­toire de la sta­tion. À par­tir d’ar­chives pho­tos, Pierre Amou­dry, aidé de son col­lec­tif d’ar­tistes, Doka Pro­duc­tions, a déco­ré les cabines en noir et blanc. On y voit des skieurs, bien sûr, des mou­tons, des scènes de la vie quo­ti­diennes depuis les années 50 ou 60.

Ce même col­lec­tif d’ar­tistes est aus­si à l’o­ri­gine des fresques de vaches qu’on aper­çoit par­tout dans le centre ville, don­nant au Grand-Bor­nand des airs modernes entre deux cha­lets en bois bicen­te­naires. Tous ont gran­di ici, dans les mon­tagnes, et y vivent aujourd’­hui encore, ame­nant une dose de dyna­misme et d’o­ri­gi­na­li­té dans la région.

Télécabines décorées du Grand-Bornand

Télécabines du Mont Lachat

Après les cabines, il faut pour­suivre l’as­cen­sion en télé­siège. Les pieds dans le vide, plu­sieurs mètre au-des­sus du sol, c’est for­cé­ment impres­sion­nant. Très rigo­lo pour Petite Oreille, très stres­sant pour moi. Mais on est récom­pen­sé, au som­met, par la vue à 360° sur les Ara­vis et le mas­sif des Bornes. On tend l’o­reille pour écou­ter les cloches des vaches. On observe les rapaces qui tour­noient au des­sus des montagnes.

Panorama depuis le Mont Lachat au Grand-Bornand

17h : promenade en ville

Le travail du bourrelier : fabriquer les collier des clarines pour les vaches

En ville, nous mar­chons de pein­ture de vache en sculp­ture de vache (pro­cu­rez-vous la carte du par­cours de l’Art Vache à l’Of­fice de Tou­risme !) jus­qu’à la bou­tique de Didier Per­rillat, maître arti­san bour­re­lier. Ici, Michelle, qui tra­vaille avec lui, nous explique com­ment elle tra­vaille le cuir pour fabri­quer les célèbres col­liers à cloche des vaches. Dans l’a­te­lier, on ne trouve que des outils d’é­poque et du cuir fran­çais : tout est fait dans la tradition.
Michelle était secré­taire médi­cale, elle avait envie de se recon­ver­tir. Un peu par hasard, Didier cher­chait a embau­cher, et l’i­dée de deve­nir bour­re­lière a ger­mé. Elle en parle avec des étoiles dans les yeux. Son geste est minu­tieux, pré­cis. En quelques secondes, elle fixe les rivets au futur col­lier de Phi­lippe le tau­reau (ne me deman­dez pas qui appelle son tau­reau Phi­lippe). Le col­lier est fini, décoré.

Petite Oreille s’a­muse à tes­ter les cloches de toutes les tailles. Je lui en achète, une, bien sûr (je dois être un peu maso). Le son typique donne ins­tan­ta­né­ment l’im­pres­sion d’être dans les montagnes.

Fabrication d'un collier à cloche pour vache par un artisan bourrelier

Artisan bourrelier explique son travail à un enfant

18h Cours de golf

Je n’au­rais jamais cru que Petite Oreille s’a­muse autant en fai­sant du golf. L’hô­tel don­nait sur le golf du Grand-Bor­nand, un petit golf de 9 trous assez connu qui doit sans doute son suc­cès au cadre : entou­ré par les mon­tagnes, avec vue sur la Pointe Per­cée, des espaces verts ména­gés autour et la rivière qui coule au fond. L’hi­ver, le golf se trans­forme en piste de ski de fond.
Jim­my, l’un des profs de golf, lui donne une petite ini­tia­tion : quelques trous pour com­prendre le prin­cipe, apprendre à se pla­cer, puis une longue ses­sion avec un put­ter spé­cial enfant pour essayer d’en­voyer la balle le plus loin pos­sible, parce que taper et entendre le poc, c’est quand même trop cool.

Golf du Grand Bornand
Le Rocher Blanc
4538 route de la val­lée du Bouchet
74450 Le Grand-Bornand
Autour de nous, voya­geurs-gol­feurs et habi­tués des lieux encou­ragent Petite Oreille, plai­santent, lui sou­rient, ce qui rend l’ac­ti­vi­té très conviviale !

Ma fille apprend le golf au Grand-Bornand

Initiation au golf pour enfant au Grand-Bornand

Golf au Grand-Bornand

19h : apéro à l »&

L’Esperluette c’est une paren­thèse. Le bis­trot éphé­mère s’ins­talle sur les pistes en hiver et opte pour une ambiance cham­pêtre au bord de la rivière, en été. Des plats simples et goû­teux, un petit cha­let-cui­sine, quelques tables, une jolie vue, l’Es­per­luette est un concept déve­lop­pé par un col­lec­tif de jeunes artistes locaux : les mêmes qui sont à l’o­ri­gine de nom­breuses fresques de street art dans le centre ville ou des déco­ra­tions des cabines !

Où man­ger au Grand-Bor­nand : l’Esperluette

Pour des infor­ma­tions en temps réels, regar­dez leur page Face­book.

Diner à l'&

Apéro au restaurant éphémère du Grand-Bornand

Soirée à l'&

Repas au bar-restaurant éphémère l'esperluette

20h : dîner au col des Annes

Beignets de pomme de terre, spécialité culinaire locale

Au res­tau­rant la Che­mi­née, on mange les grands clas­siques savoyards, et notam­ment les bei­gnets de pomme de terre, et l’indétrônable tartiflette.

Où man­ger au Grand-Bor­nand : la Cheminée 
6870, Route du Col des Annes
74450 Le Grand-Bornand

La nour­ri­ture est très bonne, certes, mais on vient sur­tout ici pour la vue qui est sans conteste par­mi les plus belle de la région.

Pen­dant qu’on entame le repas, les vaches rentrent à l’é­table. Concer­to pour cla­rines en sol majeur. L’har­mo­nie dif­fère d’un trou­peau à l’autre, selon la forme des cloches, leur taille.

Au loin, j’ob­serve la petite cha­pelle de la Duche, par­ti­cu­liè­re­ment pho­to­gé­nique. C’est la plus ancienne du Grand-Bor­nand. Le cou­cher de soleil nous offre un pano­ra­ma sai­sis­sant. La lumière rasante fait res­sor­tir les reliefs bruts des Ara­vis. Le spec­tacle est magique.

Grand-Bornand

Chapelle de la duche au col des Annes

Chapelle de la duche au col des Annes

Les yeux dans les yeux avec une vache

col des Annes au Grand-Bornand

Ma fille se promène dans les alpages au Col des Annes

Troupeau dans les alpages du Grand-Bornand

Derniers rayons sur les montagnes

Vache dans les alpages, Grand-Bornand

Fleurs des Alpes

Panorama depuis le Col de Annes

Coucher de soleil sur le Grand-Bornand

Troupeau de vaches en alpage au col des Annes


Ce séjour a été réa­li­sé en par­te­na­riat avec l’Office de Tou­risme du Grand-Bor­nand.

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20 commentaires

Stephane 30 juillet 2018 - 9:56

Wahouu, ça donne vrai­ment envie !!

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Madame Oreille 30 juillet 2018 - 13:27

Tant mieux 😉

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Jordan C. 30 juillet 2018 - 10:57

Pho­tos et articles tou­jours excel­lents et ins­pi­rants ! Je suis plus que fan 🙂

Tu ne nous dis plus quel maté­riel tu uti­lises à la fin de tes articles ?

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Madame Oreille 30 juillet 2018 - 13:27

Mer­ci beau­coup Jor­dan ! C’est vrai que je ne prends plus le temps de prendre mon sac en pho­to à chaque séjour. Mais si ça vous inté­resse, je peux recom­men­cer à le faire !

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Jordan C. 30 juillet 2018 - 13:33

Ouii ! Notam­ment pour l’ob­jec­tif de la 5e pho­to (le bou­que­tin), et le boî­tier uti­li­sé tout le long 🙂

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Ornella 30 juillet 2018 - 12:24

Grosse révé­la­tion pour la tar­ti­flette ! Je ne savais pas ! ^^ Tes pho­tos sont superbes comme d’habitude !

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Madame Oreille 30 juillet 2018 - 13:26

Mer­ci Ornel­la ! (tu pour­ras briller en socié­té l’hi­ver pro­chain, en expli­quant l’o­ri­gine de la tartiflette !)

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Amélie 30 juillet 2018 - 14:06

Ah le Grand bor­nand, on ne s’en lasse pas ! Habi­tant Anne­cy, j’y vais été comme hiver et j’a­dore cet endroit « hors du temps »

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Madame Oreille 19 août 2018 - 10:51

T’as de la chance 😉

(je n’ai tou­jours pas visi­té Anne­cy, à chaque fois je ne fais que pas­ser en vitesse. ça a l’air tel­le­ment beau !)

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Béné no Fukuoka ! 31 juillet 2018 - 2:45

Quand j’é­tais ado j’al­lais tous les hivers au Grand Bor­nand. On louait un cha­let à l’en­trée du vil­lage, j’en ai de très bons souvenirs

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Madame Oreille 19 août 2018 - 10:49

Faut y retour­ner en été pour voir les pay­sages autre­ment, tout verts !

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Vadrouille et Tambouille 31 juillet 2018 - 8:03

Super article ! Ca donne tel­le­ment envie d’al­ler ran­don­ner dans cette région ... Merci

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Madame Oreille 19 août 2018 - 10:48

Mer­ci à toi 🙂

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Sunwhere 31 juillet 2018 - 13:28

Que c’est joli ! Il fau­drait vrai­ment que j’y retourne. J’ai un tas de pho­tos de quand j’é­tais petite mais peu de sou­ve­nirs. C’est vrai­ment beau en tout cas, et ça je m’en souviens 🙂

Julie

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Madame Oreille 19 août 2018 - 10:43

Les mon­tagnes n’ont pas dû chan­ger beau­coup, mais le vil­lage un peu quand même 😉

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benoit Valerie 31 juillet 2018 - 19:59

mon endroit pré­fé­ré pour mes vacances !
A très bientôt

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Madame Oreille 19 août 2018 - 10:42

Ah oui ?
Pour l’é­té ou pour l’hiver ?

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Gondawa 9 août 2018 - 13:55

Bon­jour ! J’a­dore vos articles et vos pho­tos ! C’est vrai­ment très beau!! Mer­ci pour le par­tage ! Com­bien de km fait la ran­don­née que vous avez fais le matin avec Petite Oreille ? Et quel âge a‑t-elle déjà ?

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Elodie 18 août 2018 - 21:40

Bon­jour,

Je me pose la même ques­tion... avez vous trouvé ?

Mer­ci

Répondre
Madame Oreille 19 août 2018 - 10:41

Bon­jour !

Petite Oreille a 3 ans et demi.
Sur la ran­don­née, il faut plus comp­ter en déni­ve­lé qu’en kilo­mètres : 500m D+ et après de la des­cente tranquille !

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