48h à Rome

Rome, jeu­di 9 Mai.
Au moment où vous lirez ces quelques lignes, je serai déjà repar­tie vers la qua­trième et der­nière étape du mon périple Cigale Vs. Four­mi. Cette visite romaine fut rapide, beau­coup trop. Juste ce qu’il faut pour me don­ner l’eau à la bouche. 48h pour réus­sir à se mettre le plan de la ville en tête, 48h pour bara­goui­ner ce qu’il faut d’i­ta­lien pour s’a­che­ter une glace. C’est le plus frus­trant dans une visite éclair comme celle-ci, c’est que je repars pile quand je com­mence à être à l’aise.
Je ne connais­sais pas Rome, mais j’a­vais déjà visi­té Flo­rence et Venise. J’y retrouve les mêmes attraits, démul­ti­pliés. Se pro­me­ner au hasard des rues et tom­ber sur une sta­tue géante de 5m, décou­vrir des ruines romaines que plus per­sonne ne regarde parce qu’ils s’y sont habi­tués. 2000 ans d’His­toire que l’on côtoie, comme ça, en pleine ville.

Ce n’est pas for­cé­ment une ville très pho­to­gé­nique. Ou plu­tôt, si, ça l’est beau­coup trop. Rome a tel­le­ment été pho­to­gra­phiée, que je n’ai pas vrai­ment été très ins­pi­rée. Mais tant pis pour les pho­tos, quel plai­sir de s’y promener !

Dans les aspects néga­tifs, par­lons tout de même de deux points. Comme à Paris, la majo­ri­té des rues sont dépour­vues d’arbres et avec des petits trot­toirs, ce qui rend pénible la flâ­ne­rie. Entre le manque d’air, d’ombre, et le fait qu’on gêne rapi­de­ment si on s’ar­rête. Quant au deuxième point : les ita­liens ne savent vrai­ment pas conduire, et n’ont aucun res­pect d’un éven­tuel code de la route. C’est encore pire qu’à Paris, pour le coup.

Et, comme à chaque fois, je vous laisse avec quelques pho­tos prises à l’i­Phone : il fau­dra attendre mon retour pour un article plus détaillé et les « vraies » photos.