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See you later aligator

par Madame Oreille

Mia­mi, c’est fini. Nous allons prendre le train pour Washing­ton (une petite ving­taine d’heures). Alors avant de par­tir, tant que ma mémoire est fraiche, petit car­net pratique.

Mia­mi est une ville cos­mo­po­lite. Mais genre vrai­ment. J’ai com­man­dé une piz­za en ita­lien et des sand­wichs en espa­gnol (ouais, je parle plein de langues quand il s’a­git de man­ger). De manière géné­rale, l’es­pa­gnol sera utile par­tout, les com­mu­nau­tés his­pa­no­phones étant très pré­sentes (cubains, etc.). Les pan­neaux sont pra­ti­que­ment tous en anglais et en espa­gnol, et il n’est pas rare de croi­ser des gens qui ne parlent pra­ti­que­ment pas anglais !

Cir­cu­ler à Mia­mi est assez facile. Il y a un métro aérien gra­tuit en régu­lier, et des bus payants pour les­quels on peut prendre une carte jour­na­lière. S’en pas­ser est un peu com­pli­qué, les dis­tances étant très impor­tantes. A titre d’exemple, on a mis presque deux heures à aller du nord de Down­town à Mia­mi Beach en pas­sant par Veni­tian Islands, et la pro­me­nade ne pré­sente pas vrai­ment de points d’intérêts.

Pour l’hô­tel, nous avions pris le Lea­ming­ton, situé à Down­town. Je ne sais pas si on aurait pu trou­ver mieux ou moins cher, mais ça fait un peu mal aux fesses. On est loin des prix de l’A­sie. Clim (enfin boîte qui fait du bruit et balance de l’air froid), télé (sans télé­com­mande, mais c’est impos­sible de regar­der quoi que ce soit tant c’est entre­cou­pé par les publi­ci­tés), petit-déjeu­ner (du pain, de la confi­ture et du café) et la proxi­mi­té des trans­ports. Très grande proxi­mi­té, puisque que le métro pas­sait à trois mètres de notre chambre. Et si les fenêtres ne s’ouvrent pas, l’i­so­la­tion n’est pas fran­che­ment géniale pour autant !

Aller à l’hô­tel, selon le Belge :

L’hô­tel se trouve au croi­se­ment de la NE 1st Street et de la NE 3rd Ave­nue. Sur le coin d’en face, une café­ta­ria ouverte H24.

Après la douane, à l’aé­ro­port, il faut suivre les pan­neaux « Ground Trans­por­ta­tion » pour y retrou­ver le Metro­Bus (mais aus­si des taxis, si on pré­fère). La sta­tion est juste à côté, il suf­fit de lon­ger sur 10m sur la gauche. L’ac­cueil est sym­pa­thique et le pré­po­sé aux ren­sei­gne­ments aide même à prendre le ticket qui coûte 2$ par personne.

Il faut donc prendre le bus « J » qui par­coure l’in­fi­nis­sable NW 36th Street en croi­sant toutes les ave­nues jus­qu’à arri­ver à la NW 12th Ave­nue où l’on trouve le Metro­Rail ; c’est un métro aérien très agréable, même à la nuit tom­bée mal­gré les appré­hen­sions. Nor­ma­le­ment, il suf­fit de rajou­ter 1$ par carte de bus pour pou­voir pas­ser, mais la machine n’est pas tou­jours de bonne humeur ; il faut donc gar­der en tête que, là encore, ça coûte 2$ par personne.

Il faut emprun­ter cette sorte de RER, avec WiFi gra­tuit (réseau « MDT Free WiFi » sans mot de passe) jus­qu’au Govern­ment Cen­ter. De là, c’est le Metro­Loop qu’il fau­dra prendre jus­qu’à l’ar­rêt « 1st Street ». Rapide et fré­quente, cette petite navette auto­ma­tique (sans conduc­teur) passe en hau­teur entre les bâti­ments du Down­town et même par­fois à travers.

Des­cen­dez les esca­liers qui sont sur la droite en sor­tant de la navette, et vous êtes dans la bonne rue. Il suf­fit d’al­ler vers la gauche jus­qu’au numé­ro 307 en pas­sant devant la café­ta­ria et vous y êtes.

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