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Golden Hours : comment profiter des heures dorées pour sublimer vos photos

par Madame Oreille

Les Gol­den Hours sont bien connues des pho­to­graphes. Et pour cause, ces heures dorées sont magiques : elles per­mettent de subli­mer n’im­porte quelle scène. Les lumières y sont douces et cha­toyantes, les cou­leurs sont vives.

[sg_popup id=« 24730 » event=« inhe­rit »][/sg_popup] Dans cet article, je vais donc vous expli­quer com­ment pro­fi­ter au maxi­mum des Gol­den Hours.

C’est quoi, les golden hours ?

Les gol­den hours, ce sont ces ins­tants qui suivent ou pré­cèdent les levers et cou­chers de soleil. Si vous êtes déjà arri­vés en avance pour pho­to­gra­phier un cou­cher de soleil, vous avez sans doute remar­qué que la lumière y était magni­fique. Pen­dant les gol­den hours, les cou­leurs sont belles, les contrastes aussi.
Beau­coup de pho­to­graphes spé­cia­li­sés dans le pay­sages se concentrent qua­si-exclu­si­ve­ment sur les gol­den hours, pour valo­ri­ser les lieux au mieux.

Pourquoi photographier pendant les golden hours ?

La lumière. C’est l’ingrédient le plus impor­tant en pho­to­gra­phie. En exté­rieur, impos­sible de tri­cher, impos­sible d’in­ven­ter une belle lumière sur Pho­to­shop. C’est la lumière qui va subli­mer un beau pay­sage, ou non.
La lumière des gol­den hours est magique. Elle caresse les pay­sages, les enve­loppe dans une ambiance éthé­rée. En por­trait, elle rend les gens beaux.

La différence entre photographier en pleine journée, et photographier pendant les golden hours

Voi­ci deux pho­tos prises en pleine jour­née (dans la Loire et au Sri Lan­ka), puis deux images prises pen­dant les gol­den hours : avant le cou­cher du soleil au Sri Lan­ka, et après le lever du soleil dans la Forêt-Noire.

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Les images parlent d’elles-mêmes, non ? D’un côté, vous avez des images plates, sans relief, et de l’autre, vous avez des pho­tos bien plus agréables à l’œil.

Une lumière chaude

La lumière de début et de fin de jour­née est plus chaude qu’en milieu de jour­née. Une pho­to prise pen­dant les gol­den hours se recon­nait tout de suite à ses teintes oran­gées (ou rosées).

La lumière émise par le soleil ne change pas, en réa­li­té. C’est lié à la hau­teur du soleil par rap­port à l’en­droit de la terre où on se trouve. Lorsque le soleil est bas, les rayons sont « fil­trés » et les teintes chaudes res­sortent. Je ne vais pas ren­trer plus en détails là-dedans, ce qu’il faut rete­nir, c’est juste que la lumière est plus chaude pen­dant les gol­den hours !

Note : on qua­li­fie les lumières jaunes/orange de chaude, et les lumières bleu­tées de froides.

Une lumière douce

Pour les mêmes rai­sons d’in­cli­nai­son et de lumière fil­trée, la lumière est beau­coup plus douce pen­dant les gol­den hours. Les ombres sont éti­rées, beau­coup moins mar­quées. Cela se remarque par­ti­cu­liè­re­ment sur les reliefs, les bâti­ments ou même les visages : les par­ties dans l’ombres se sont pas tota­le­ment noires, comme cela pour­rait être le cas en pleine journée.

Lumière est dure ou douce ? Ça veut dire quoi ? Pour résu­mer, vous l’au­rez com­pris, il faut regar­der les ombres. Si la tran­si­tion entre une zone éclai­rée et une ombre est nette, alors on parle de lumière dure. Si la tran­si­tion est floue, comme un dégra­dé, alors elle est douce.

Du coup, l’in­té­rêt des gol­den hours n’est pas seule­ment dans les jeux de cou­chers de soleil et autres ombres chi­noises, mais sur­tout dans la poten­tielle mise en valeur de tous les sujets pos­sibles et ima­gi­nables : por­traits, archi­tec­tures, paysages...

Voi­ci, ci-des­sous, deux portraits.
Le pre­mier, dans un train au Sri Lan­ka, est pris en pleine jour­née. Les ombres sont très mar­quées, tant sur le visage que dans le train ou à l’ex­té­rieur. Nous sommes en début d’a­près-midi, et à cette heure-là, le soleil est alors à son point le plus haut dans le ciel. La lumière n’est pas fran­che­ment du côté du photographe.
Le second por­trait est prise dans une ferme japo­naise en fin d’a­près-midi. 
Les ombres très éti­rées, beau­coup plus douces : regar­dez par exemple sur le front du petit garçon.

train jaffna

En pho­to­gra­phie de voyage, il ne s’a­git pas de dire qu’il y a une solu­tion meilleure qu’une autre, mais de tirer le meilleur d’une situa­tion. Il est tou­jours pos­sible de prendre des pho­tos, pay­sages ou por­traits, en pleine jour­née, mais il faut savoir com­ment et com­prendre com­ment la lumière va influen­cer le ren­du d’une image.

Des couleurs vives

Les gol­den hours ne se limitent pas aux levers et cou­chers de soleil : elles dési­gnent aus­si les minutes avant et après. Nul besoin d’un ciel en feu et d’un soleil tou­chant l’ho­ri­zon pour pro­fi­ter des gol­den hours, au contraire.

Les deux exemples qui suivent ont été pris en fin de jour­née, dans l’heure dorée qui pré­cède le cou­cher de soleil. La lumière n’est pas encore tota­le­ment orange, même si elle est déjà un peu chaude. Les ombres com­mencent à s’é­ti­rer. Et ces contrastes et lumières font res­sor­tir les cou­leurs. Les zones claires ne sont pas trop blanches. Les zones sombres ne sont pas trop noires. Et les cou­leurs sont beau­coup plus vives.

Ces pho­tos ont été prises à Mada­gas­car et à l’île Mau­rice.

Comment connaître les horaires des golden hours ?

Il ne s’a­git pas, à pro­pre­ment par­ler, d’une heure pré­cise : selon les lieux et les mois, la durée des gol­den hours varie.

Pour pré­voir les gol­den hours, il faut connaître les heures des levers et cou­chers de soleil. Vous pou­vez donc vous conten­tez de regar­der les infos des sites météo­ro­lo­giques, mais je vous conseille plu­tôt d’u­ti­li­ser des sites et appli­ca­tions mobiles dédiés aux photographes.

  • The Pho­to­gra­pher’s Ephe­me­ris (TPE) : existe en appli­ca­tion mobile (Android et iOS) ain­si qu’en web app, constul­table depuis n’im­porte quel navi­ga­teur internet.
  • Plan­tIt : l’ap­pli­ca­tion que j’ai ins­tal­lée sur mon smart­phone, existe en ver­sion gra­tuite, et en ver­sion com­plète. (La ver­sion gra­tuite suf­fit pour les gol­den hours)
  • Gol­den Hour Cal­cu­la­tor : le pre­mier site du genre n’est mal­heu­reu­se­ment plus en ligne, mais je le cite tout de même dans cette liste, pour les ser­vices ren­dus à tous les pho­to­graphes pen­dant de nom­breuses années !

Ces sites et appli­ca­tions fonc­tionnent de la même manière. C’est assez simple : vous poin­tez la carte sur l’en­droit où vous êtes/voulez aller. Vous choi­sis­sez la date. Et il ne reste plus qu’à lire les infor­ma­tions données !
Grâce aux cartes et aux courbes, vous pou­vez pré­voir où le soleil se cou­che­ra et se lève­ra. Cela vous per­met de savoir s’il vaut mieux pho­to­gra­phier un lieu avec les gol­den hours du matin ou du soir, selon le ren­du que vous voulez.

Vaut-il mieux choisir le soir ou le matin ?

Les gol­den hours sont-elles plus belles le soir ou le matin ? C’est très variable. Les cou­leurs et lumières des gol­den hours dépendent de beau­coup de para­mètres : lati­tude, sai­son, météo. Un ciel très nua­geux peut s’embraser comme res­ter tout gris, il suf­fit que le bon rayon perce au bon moment. Il est donc dif­fi­cile de dire si le matin sera plus joli que le soir.

De manière géné­rale, les gol­den hours mati­nales seront plus roses et les gol­den hours du soir seront plus oran­gées, à l’i­mage des levers et cou­chers de soleil.

Voi­ci le Taj Mahal, en Inde, pho­to­gra­phié au lever du soleil d’un côté, et au cou­cher du soleil, de l’autre :

Si la lumière est douce dans les deux cas, on remarque que sa tem­pé­ra­ture est dif­fé­rente entre les deux pho­tos. Choi­sir le matin ou le soir dépen­dra donc entiè­re­ment des goûts et des lieux. (Puisque cer­tains pay­sages ne se prê­te­ront pas aux pho­tos à toutes heures de la jour­née, notam­ment lors­qu’ils se trouvent dans des lieux encais­sés en mon­tagne, par exemple)

Comment photographier les golden hours ?

Les réglages

Si vous êtes un peu per­du dans les notions comme l’ou­ver­ture, l’ex­po­si­tion ou la vitesse, n’hé­si­tez pas à consul­ter cet article, dédié aux bases de la pho­to­gra­phie.

La balance des blancs

La balance des blancs va défi­nir les tona­li­tés de votre image. Je vous conseille de shoo­ter en for­mat RAW et de lais­ser la balance des blancs en auto­ma­tique. Ain­si, vous pou­vez vous concen­trer sur les réglages liés à l’ex­po­si­tion et sur le cadrage. Vous affi­ne­rez ensuite la balance des blancs au post-trai­te­ment, sur votre ordi­na­teur. C’est là que vous pour­rez déci­der de rendre l’i­mage plus ou moins chaude, et d’a­voir des tons qui tirent sur le vert, ou sur le rose.

Il faut savoir que les appa­reils mesurent la lumière de sorte à pro­duire des pho­tos neutres : il est pro­bable que le ciel flam­boyant soit moins colo­ré sur votre image qu’il ne l’é­tait dans la réa­li­té. N’hé­si­tez donc pas à modi­fier la balance des blancs lors de vos développement !

L’exposition

L’ex­po­si­tion peut être un outil créatif.
Sur votre appa­reil, vous pou­vez choi­sir le mode de mesure de l’ex­po­si­tion, et donc d’ex­po­ser cor­rec­te­ment soit le ciel, soit le sol, par exemple.
Vous pou­vez éga­le­ment effec­tuer une cor­rec­tion d’ex­po­si­tion pour choi­sir de sous-expo­ser ou sur-expo­ser votre photo.

Les deux méthodes don­ne­ront des résul­tats simi­laires, libre à vous de choi­sir ce qui vous semble conve­nir selon la situa­tion et vos goûts.
Ci-des­sous, voi­ci trois exemples d’ex­po­si­tions différentes.

La sur-expo­si­tion per­met de gar­der du détails sur les mai­sons tout en ren­for­çant le flare, rond et dif­fus, comme sur la pre­mière image.
Sur l’i­mage cen­trale, l’ex­po­si­tion est au milieu, « nor­male » : on voit autant les cou­leurs du ciel que les bateaux.
Enfin, la troi­sième image, la sous-expo­si­tion per­met de satu­rer le ciel, tout en tra­dui­sant l’am­biance fin de journée.

Jouer avec le soleil et l’intégrant dans ses compositions

Le soleil rasant peut per­mettre des com­po­si­tions qui l’in­tègre. Le soleil devient alors un élé­ment gra­phique à part entière dans la com­po­si­tion, avec lequel il faut jouer.
Pour rap­pel, plus le dia­phragme est fer­mé (plus l’ou­ver­ture est petite), plus l’é­toile est des­si­née (lire l’ar­ticle dédié au fait d’in­té­grer le soleil dans ses pho­tos).

Selon la hau­teur et la lumi­no­si­té du soleil, vous pou­vez alors faire deux types de pho­to­gra­phies : des pho­tos assez clas­siques comme c’est le cas ci-des­sus, ou des pho­tos qui jouent avec la sous-expo­si­tion pour créer des ombres chi­noises. Le sujet pla­cé entre le soleil et l’ap­pa­reil pho­to se retrouve à contre-jour.

Placer le soleil derrière le sujet

Les lumières douces illu­mi­nant le sujet par l’ar­rière peuvent être très inté­res­santes à exploi­ter dans le cas du por­trait. Au lieu sous-expo­ser l’i­mage, il faut alors faire la mesure de l’ex­po­si­tion sur le visage (ou sur-expo­ser). On risque fort de perdre les cou­leurs du ciel mais on obtien­dra un halo lumi­neux doré autour du sujet, à la manière des rim lights en stu­dio (éclai­rage par l’arrière).

Ci-des­sous, deux images prises pen­dant les gol­den hours du soir : la pre­mière est un por­trait d’un jeune homme en Azer­baïd­jan, la deuxième repré­sente un mara­bout au Kenya. L’oi­seau est pho­to­gra­phié à la manière des ombres chi­noises tan­dis que l’A­zer­baïd­ja­nais est bien visible est recon­nais­sable, avec la lumière qui borde son visage qui le découpe de l’ar­rière plan.

Cet effet de halo peut éga­le­ment être obte­nu lorsque le soleil n’est pas tota­le­ment der­rière le sujet. Le lumière dorée ne borde alors qu’une par­tie du per­son­nage. C’est le cas sur le ber­ger, ci-dessous :

Jouer avec la lumière en plaçant le sujet face au soleil

Lorsque le sujet est pla­cé face au soleil, c’est la lumière chaude et douce des gol­den hours qui l’é­claire en direct. C’est une lumière très valo­ri­sante pour les por­traits, mais aus­si pour les ani­maux. Les cou­leurs du ciel res­tent vives, les ombres sou­lignent les formes en douceur.

Chercher les reflets

Pho­to­gra­phier la mer ou un lac pen­dant les gol­den hours per­met de jouer avec les reflets (voir l’ar­ticle sur le filtre pola­ri­sant). Ces miroirs natu­rels per­mettent de dou­bler le ciel, et de don­ner plus de pré­sence aux cou­leurs de celui-ci.


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17 commentaires

Elyes 9 mai 2011 - 15:30

Mer­ci pour ces infos, je n’a­vais jamais fait atten­tion à ce genre de « détail » n’é­tant pas un pho­to­graphe ou quel­qu’un de pas­sion­né de photos.

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Oreille 9 mai 2011 - 17:51

Oh, je pense que notre ins­tinct natu­rel est plu­tôt bon là-des­sus. On se rend vite compte que les pho­tos prises tôt le matin ou en fin d’a­près-midi sont plus sym­pas (au niveau de la lumière) que celles faites à midi, même sans ana­ly­ser le pour­quoi du comment

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Mademoiselle S - La vie de Brioche 10 mai 2011 - 15:50

Voi­là qui éclaire ma lan­terne. J’a­vais en effet remar­qué l’é­té der­nier en Tou­raine que les châ­teaux étaient plus beaux pho­to­gra­phiés à la fin de la jour­née ... comme je pro­jette de par­tir à Bali cet été, je vais essayer de faire de beaux cli­chés. Ce sera mon pre­mier voyage en Asie, et j’ai super hâte.
😀

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Oreille 10 mai 2011 - 16:09

Ah, Bali, ça doit être magnifique !
(je me retiens de faire des vannes sur le fait que tu serais mieux en Vendée...)
Par contre, selon la sai­son et les régions, en Asie, les mati­nées peuvent être déce­vantes niveau lumière : vive la brume mati­nale ! Cela dit, on peut aus­si en tirer parti !
Par contre, le soir, tu auras de ombres par­faites sur les rizières, bien vertes en été, pour avoir du relief.

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Mademoiselle S - La vie de Brioche 10 mai 2011 - 16:29

😀
Je note le conseil sur la lumière du couchant ...
Euh la Ven­dée ça peut avoir son charme ... mais là bizar­re­ment je vote pour Bali.
J’ai lu quelques guides de voyage, et visi­té quelques sites avec des pho­tos superbes.

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Oreille 11 mai 2011 - 10:18

Hé bien j’es­père que tu feras de belles pho­tos également !
PUB : peut-être même qu’a­vant de par­tir, tu liras d’autres bons conseils ici 😀

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tewoz 11 mai 2011 - 10:44

Je ne connais­sais pas ce site !
Mais je confirme, pour avoir de belles pho­tos, la lumière est pri­mor­diale, et les lumières de début et de fin de jour­née sont les plus belles.
Ega­le­ment, en géné­ral juste après la pluie, la lumière est par­faite, et les flaques per­mettent des reflets sympas.

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Oreille 11 mai 2011 - 10:52

Com­plè­te­ment !
D’ailleurs, deux exemples :
– Dans les Experts Mia­mi (série dont je ne com­prends pas le suc­cès mais où la lumière est ultra tra­vaillée) le sol est constam­ment mouillé, alors qu’il y a un grand soleil...
– Si on veut faire de belles pho­tos en Tan­za­nie, le meilleur moment c’est jus­te­ment la période des pluies, pour ces fameuses éclair­cies où la lumière est si particulière.

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Sandro 14 mai 2011 - 17:16

Ah ben voi­là ! C’est main­te­nant que j’ap­prends qu’il y a un site pour ça... Ça fait 5 ans que j’me pointe au petit matin, ou en fin d’a­près-midi à attendre des plombes que la lumière convienne, t’au­rais pu faire cet article plus tôt, non ? 😉

Bon j’ar­rête de me plaindre, et puis main­te­nant je sais, merci !

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lemerou 15 mai 2011 - 10:41

Excel­lente ini­tia­tive que ce site !
Tout à fait d’ac­cord : les plus belles lumières sont tôt le matin et en fin d’a­près midi...
Dif­fi­cile de récu­pé­rer des pho­tos prises entre 11H et 15h en général...

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Oreille 15 mai 2011 - 15:29

San­dro : je suis éton­née que ce site ne sois pas plus connu, parce qu’il est vrai­ment super pratique !

Leme­rou : bah, de toute façon, à cette heure on fait la sieste 😉

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fabrice 16 mai 2011 - 17:16

Tiens, je me deman­dais il y a peu com­ment connaitre en avance ces heures:-) Ca tombe bien:-)

Le top, ce serait qu’il puisse dire si le temps est nua­geux ou pas:-)
Non, c’est pas mal ce petite site !

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Oreille 16 mai 2011 - 18:01

Bah après tu peux taper « nom de la ville » + météo sur google, quand même 😉
Y’a peut-être un concept à lan­cer en cou­plant les deux... Genre il te pré­vien­drait qu’à telle sai­son tu risques d’a­voir un brouillard pas pos­sible le matin et de la pluie toute la journée...

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fabrice 16 mai 2011 - 19:03

C’est vrai, hou­la, je deviens fai­néant moi:-)

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Alexis - Objectif Voyage 9 juin 2011 - 9:40

Excellent ce site ! Je ne connais­sais pas non plus l’as­tuce des ombres pour éva­luer la lumière. Mer­ci beaucoup 🙂

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Oreille 9 juin 2011 - 16:55

Les ombres, c’est le meilleur moyen de « visua­li­ser » la lumière. D’ailleurs, si tu veux décor­ti­quer une pho­to stu­dio, c’est avec les ombres que c’est le plus simple : elles te donnent le nombre de sources, leurs direc­tions, s’il y a eu un dif­fu­seur ou si au contraire le flash était nu, etc.

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Conseils et astuces pour vos photos à l'île de la Reunion 26 février 2014 - 22:23

[…] La lumière est vrai­ment belle en fin de jour­née à l’ile de la Reu­nion, mais pour la Gol­den Hour (heures dorées), je vous conseille de vous bala­der sur la côte Ouest / Sud (par exemple sur la […]

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