Madagascar avec ma fille de deux ans et demi : observation des lémuriens et rencontre avec les malgaches. Mes conseils et anecdotes !
Peut-on aller à Madagascar avec un enfant en bas âge ?
Petite Oreille voyage avec moi depuis qu’elle est née, sur des destinations proches ou lointaines et avec tous les types de confort. J’ai attendu qu’elle ait 2 ans et demi pour l’emmener dans un pays comme Madagascar. J’ai tendance à croire qu’un enfant s’adapte à peu près partout, tant qu’on prend les précautions nécessaires. J’ai donc attendu qu’elle soit en âge de prendre les médicaments nécessaires, et que son système immunitaire soit un minimum développé !
Elle a passé un aussi bon voyage que moi ! La preuve en vidéo :
Petit point santé : vaccins et médicaments
En tant qu’adulte voyageant régulièrement, je ne me charge pas vraiment en médicaments (mais je suis à jour dans mes vaccins !) quand je suis seule. Mon sac ne contient généralement que du paracétamol et quelques pansements. Par contre, pour Petite Oreille, j’ai quand même fait un saut chez la pédiatre, histoire d’être suffisamment prévoyante.
Habituellement, quand je pars avec elle, j’embarque du Doliprane, un flacon d’antiseptique, et c’est à peu près tout. Cette fois-ci, il a fallu rajouter quelques boîtes dans la trousse à pharmacie : Vogalène et Imodium, version pour enfants. Ce sont deux médicaments bien connus des voyageurs en Asie et en Afrique, qu’on prendquand la nourriture locale n’est pas très bien tolérée par notre petit estomac fragile qui n’aime pas qu’on bouscule ses habitudes !
Madagascar n’est pas une destination à risque, mais suppose tout de même de faire attention à deux points : l’eau et les moustiques.
Pour boire, il faudra, bien sûr, privilégier l’eau en bouteille. Petite Oreille a également eu sa première piqûre pour le vaccin de l’hépatite A (il suffira de le refaire une deuxième fois dans les années qui viennent pour qu’elle soit vaccinée à vie).
Quant aux moustiques, s’armer d’un bon anti-moustique est indispensable, tout comme le traitement anti-paludéen. La pédiatre nous a dirigées sur la Malarone, à prendre quotidiennement pendant une période donnée. Dans les premiers jours, j’ai remarqué un changement de comportement chez ma fille (surexcitée, nerveuse...) et surtout, elle a été malade deux matins de suite. J’ai alors commencé à donner la Malarone le soir plutôt qu’au petit déjeuner (je l’ai donnée une fois à midi pour éviter un décalage trop grand, elle est censée être prise à heure fixe) et tout est revenu à la normale. Je ne peux pas affirmer que son comportement et ses vomissements étaient des effets secondaires du médicament, mais d’autres voyageurs m’ont confié préférer prendre la Malarone le soir.
Aller à Madagascar : l’avion
Nous sommes parties avec Corsair, une compagnie française qui dessert Madagascar (Antananarivo) avec une courte escale à La Réunion.
Ce n’était pas le premier long courrier de Petite Oreille, par contre, pour la première fois, nous avons été surclassées ! Direction la classe Grand Large, avec ses grands fauteuils ! Ma fille, elle n’a pas vu la différence, je crois. Elle était juste contente d’être dans un avion ! Par contre, moi, j’ai bien apprécié de pouvoir dormir dans de bonnes conditions !
Ci-dessus : qui de Claudia ou de Petite Oreille est la plus heureuse ?
Notre voyage
Nous sommes parties fin avril pour deux semaines et nous avons rejoint sur place Claudia et Clément, un couple d’amis vlogueurs. Claudia a passé les onze premières années de sa vie à Madagascar, et c’était la première fois qu’elle y retournait. Elle a pu revoir son ancienne maison, rencontrer une partie de sa famille... jetez un œil à leur chaîne YouTube, ça vaut le détour !
Partir avec une agence ?
Il est possible de voyager à Madagascar en indépendant, sans guide. Mais pour profiter au maximum du voyage, nous avons collaboré avec une super agence spécialisée : Jacaranda de Madagascar.
Certes, galérer à trouver le bon taxi-brousse, négocier, attendre qu’il se remplisse, fait aussi partie du voyage (j’ai quelques souvenirs de cet acabit au Mali...) mais avec un enfant en bas âge pour seulement deux semaines, je trouvais confortable de me reposer sur quelqu’un qui connaisse la destination, nous emmène aux bons endroits (ceux susceptibles de nous plaire !).
L’agence a donc conçu pour nous un super itinéraire (qu’il a fallu adapter au fil du voyage, pour faire face à une météo peu clémente rendant impossible l’accès à Sainte Marie), mélangeant de beaux paysages, l’observation des lémuriens, la rencontre avec les malgaches. Un voyage avec une agence mais en toute simplicité, authentique.
Comment est reçu un enfant en bas âge à Madagascar ?
Comme un roi !
Bon, jusqu’à présent, on a toujours été très bien reçu partout, hein. Mais à Madagascar, c’était assez dingue de voir les attroupements autour de Petite Oreille, les gens qui venaient nous voir, qui voulaient la toucher, qui souriaient dès qu’elle disait Salàma. Il faut préciser que peu de touristes viennent avec des enfants en bas âge (pour l’instant !). On attirait donc la sympathie facilement !
Chose étonnante, Petite Oreille passait systématiquement pour plus âgée : à plusieurs reprises, des malgaches ont cru qu’elle avait 6 ou 7 ans... (au lieu de 2 ans et demi)
Il est vrai que les enfants malgaches de son âge paraissaient toujours (beaucoup) plus petits.
Pour illustrer ce point, il faut que je vous raconte une anecdote.
Nous sommes le 1er mai, jour férié, et nous traversons Anstirabe en voiture. Un immense cortège défile dans les rues, si bien que nous sommes obligés de nous arrêter et d’attendre, bloqués au milieu de la manifestation. Des milliers d’écoliers protestent contre le travail des enfants.
La fenêtre est ouverte, Petite Oreille est sur mes genoux, et pendant près d’une heure, elle joue à Miss France (ou à la Reine d’Angleterre, ou au Pape, ou à n’importe quelle vedette qui pratique le bain de foule !). Les malgaches lui touchent la peau (il parait que les bébés blancs sont doux...), alors elle s’amuse à les toucher en retour, provoquant les rires des enfants !
Madagascar avec un enfant : les trajets
Il faut savoir que Madagascar, c’est grand : l’île est plus grande que la France métropolitaine ! Mais le réseau routier est très peu développé, avec des routes en mauvais état. Aussi, à Madagascar, on roule doucement, uniquement de jour, et un trajet de 200km semble durer une éternité, même avec un véhicule privé (alors imaginez avec un taxi-brousse qui ne partira que quand il sera rempli !).
Il faut donc prévoir l’itinéraire en conséquence, pour ne pas passer ses journées dans les trajets...
Nous avons alterné voiture avec chauffeur, bateau et train. Tout s’est toujours très bien passé mais, les trajets en voiture étaient parfois longs pour Petite Oreille car cela supposait de rester assise et immobile (à l’inverse des autres modes de transport où elle aurait pu bouger). J’avais prévu des petits jeux, des livres, mais à mon grand désarroi j’ai aussi dû avoir recours aux dessins animés (merci Netflix pour le mode hors connexion !).
Madagascar avec un enfant : la nourriture
Notre guide connaissait Madagascar sur le bout des doigts, il nous a donc toujours indiqué des endroits où l’on pouvait manger, sans pour autant aller dans des « restaurants à touristes ». Les repas malgaches sont souvent à base de riz, et on y trouve une grande quantité de bananes : ça a été la base de l’alimentation de Petite Oreille pendant le voyage !
Le seul repas qu’elle n’a pas très bien pris fut le petit déjeuner : on ne trouve que rarement du lait de vache. A la place, il lui était proposé du lait de zébu, dont le goût est très prononcé (c’est franchement particulier !). Elle s’est rabattue sur les fruits et les tartines de miel (puisqu’il y a par contre du miel à foison, là-bas !).
Que faire avec un enfant en bas âge à Madagascar ?
Madagascar restera sans doute longtemps dans la mémoire de Petite Oreille comme un lieu où elle s’est beaucoup amusée. Et, pour cause : la destination est parfaite pour les baroudeurs en herbe entre la nature incroyable de l’île rouge, et la culture malgache.
Observer les lémuriens
Les lémuriens, ce sont des animaux qui ressemblent à des singes (mais qui n’en sont pas) et qu’on ne trouve qu’à Madagascar. C’est l’animal à gauche, sur cette photo :
Il en existe plus d’une centaine d’espèces différentes. Selon les régions, les climats, on ne voit donc pas les mêmes lémuriens (sans parler de ceux qui sont nocturnes, rares, timides... !). Du coup, impossible de se lasser de les observer ! Ci-dessous, par exemple, un propithèque et un lémurien bambou :
Tout au long de notre itinéraire, nous avons alterné parcs et réserves privées. Selon les lieux, l’approche peut être totalement différente. Dans les parcs nationaux, il faut tenir ses distances, par exemple, tandis que dans certaines réserves, les visiteurs sont encouragés à avoir des interactions avec les lémuriens. On leur tend alors quelques fruits ou des fleurs, ramassés sur place. Et forcément, pouvoir les approcher de près est génial avec un enfant, même s’il faut lui expliquer que le lémurien est avant tout un animal sauvage.
Les lémuriens sont globalement des animaux très curieux. Ainsi, ce petit maki catta a beau vivre en liberté, il explore régulièrement le hall de cet hôtel ! Petite Oreille l’a suivi partout, tant elle était contente d’enfin voir un maki catta (pour l’anecdote, c’est l’un des premiers animaux dont elle a su dire le nom !), ce lémurien assez emblématique avec sa queue rayée ! Ils ont partagé le goûter, pour le plus grand bonheur. de Petite Oreille. (Enfin, juste la banane ! Hors de question de donner autre chose que des fruits aux lémuriens !)
Un des guides de la réserve tient le bras de Petite Oreille en lui expliquant comment donner son fruit à un sifaka, lors de notre première rencontre avec les lémuriens
Même si les lémuriens attirent les projecteurs, ils ne sont pas, bien sûr, les seuls animaux à Madagascar. Les caméléons ont également eu beaucoup de succès auprès de Petite Oreille, notamment parce que c’était amusant de les chercher ! On a également vu des crocodiles, des oiseaux, [...] et des dizaines de zébus dans les rizières.
Ci-dessous : grenouille tomate, caméléon (ici une espèce minuscule !) et martin pêcheur.
Prendre le temps de rencontrer les malgaches
J’ai passé de longs moments à marcher, simplement, avec Petite Oreille. Les gens venaient vers nous, naturellement, pour demander son nom, son âge, d’où nous venions. Une grande partie des malgaches parlant quelques mots de français, les échanges étaient à la fois faciles et agréables. Quant à Petite Oreille, elle allait vers les autres enfants, jouait, rigolait avec eux. A cet âge, les enfants ne mettent aucune barrière et vont spontanément vers les autres. (Espérons que ça continue !)
Nous avons souvent logé dans des petits villages, dans des hôtels communautaires, ou même directement chez l’habitant. Cette proximité nous a permis d’établir le contact plus facilement, mais aussi d’offrir une certaine liberté à Petite Oreille : il est plus facile de courir jouer avec les autres enfants dans les endroits sans voiture. L’accueil des malgaches restera un de mes meilleurs souvenirs. Ils ont toujours été aux petits soins pour ma fille, et leur bienveillance à son égard était vraiment sincère.
Aller à la messe (!)
Je ne suis pas le genre de personne qui va à la messe. Genre, pas du tout. Alors quand Josielle de Jacaranda nous a suggéré d’aller à la messe du dimanche matin à Antananarivo, j’ai d’abord trouvé l’idée saugrenue. Puis Claudia m’a expliqué qui était le père Pedro, et nous nous sommes retrouvés tous les quatre, avec Petite Oreille et Clément, assis dans un grand hangar au milieu d’une foule incroyable.
C’est un spectacle coloré et chorégraphié, et Petite Oreille a adoré danser et chanter (même si elle chantait une comptine en lingala au lieu des chants religieux malgaches, personne ne s’en est offusqué !). Mais même si l’on y retrouve quelques codes catholiques, les messes du père Pedro racontent bien plus car il est engagé dans la lutte contre la pauvreté à Madagascar depuis plus de quarante ans.
Il a construit un village, sur les hauteurs d’Antananarivo pour permettre aux plus pauvres de vivre dignement. Les habitants collaborent à la construction de leur maison, se voient offrir des emplois rémunérés et ont obligation de scolariser leurs enfants. Ce projet, qui a commencé avec 70 familles, est aujourd’hui titanesque : plus de 300 000 personnes ont bénéficié de l’aide de l’association Akamasoa du père Pedro ! Du coup, on comprend un peu mieux la ferveur autour cet homme...
Bref, non seulement Petite Oreille et moi avons passé un bon moment à assister à une messe mais en plus le projet est vraiment génial, conçu pour permettre à des gens de se reconstruire une vie sur le long terme, sans dépendre des aides d’urgence.
Prendre le train (et s’amuser des péripéties qui vont avec)
Le train à Madagascar est une expérience en soit. On ne le prend pas pour se déplacer. On sait qu’il va être lent, très lent. Mais on découvre la vie autour du train.
Nous grimpons de bon matin dans le train qui rejoint Manakara depuis Fianarantsoa. Un wagon spécial est dédié aux touristes : le train traverse des paysages superbes, il est assez prisé des voyageurs. C’est un vieux wagon suisse, l’itinéraire est encore présent sur les tablettes. J’ai d’ailleurs souri car deux semaines après notre retour de Madagascar, j’ai justement emmené Petite Oreille en Suisse, en train, en passant par la ville que desservait autrefois ce wagon !
Le wagon est vieux, mais pas trop mal conservé. Il date d’une époque où l’on pouvait ouvrir les fenêtres et les portes, et les banquettes sont plutôt confortables. Deux autres wagons sont réservés aux malgaches, ils sont remplis. Mais le plus gros du train est dédié au transport de marchandises.
Le trajet total fait 163km. Mais on ne connait pas l’heure d’arrivée, elle est soumise aux aléas du trajet ! Le train dessert des villages où aucun camion ne peut se rendre : c’est le seul moyen de transport. A chaque arrêt, des dizaines de sacs en tous genres sont déchargés, et d’autres chargés. Sur le quai, la vie bat son plein, les vendeuses accostent les voyageurs en proposant quelques fruits, biscuits, voire des repas complets.
Nous, nous mettrons plus de 17h à parcourir ces 163km...
Mais ce dont on se souviendra, c’est du moment où le train a déraillé. Tout en douceur, sans blessé ni casse. J’étais debout, au fond du train, avec Petite Oreille dans les bras. Nous regardions le paysage défiler doucement alors que le train reculait pour refaire le bon aiguillage. Et tout d’un coup, boum. Tout simple. Et c’est comme ça que nous sommes tous descendus du train pour découvrir comment on remet un wagon sur des rails, au milieu de la forêt, sans grosse machine mais avec beaucoup de débrouillardise (et quelques coups de frayeur qui ont fait que je ne suis pas restée à proximité du wagon qui penchait dangereusement vers la foule et les cheminots).
Non, ceci n’est pas un reste de notre train, heureusement ! Juste un reste de wagon trouvé pendant que nous explorions les alentours, en attendant que notre train reparte.
Quelques photos de plus
Juste pour le plaisir, quelques photos de plus. La variété des paysages malgaches, et Antananarivo.
Ce voyage n’aurait pas pu avoir lieu sans le soutien de l’agence Jacaranda de Madagascar et la compagnie Corsair. Merci à eux !
35 commentaires
Tes photos sont superbes !! C’est un pays qui m’attire beaucoup mais je suis assez réservée vis à vis des gros épisodes de violence ces dernières années sur l’île. As-tu ressenti des soucis de ce genre ? Avec une agence je pense qu’on est tout de même plus en sécurité
Juste fabuleux ! Tes photos sont superbes comme d’habitude, à chaque fois tu me donnes envie de faire un nouveau voyage...Et petite oreille a l’air si calme. Je crois aussi que l’on peut emmener les enfants à peu près n’importe oú, pour peu que l’on s’adapte un peu. Nous ne sommes jamais partis sans eux et nous nous envolons demain pour un road trip dans l’ouest canadien (je croise les doigts pour que la nuit soit belle à Jasper ??⭐️)
Je viens de découvrir ce blog. Que les photos sont belles et surtout la présentation générale du blog. Il donne vraiment envie d’être découvert. Trop mignonne la petite surtout 😀 J’avoue, j’ai craqué !
Super article.. merci pour la balade..
Et chouette expérience pour Petite Oreille 🙂
(Précision : il y a aussi des lémuriens à Mayotte, mais je t’accorde que ce n’est pas loin, géographiquement). Il y a même une « Ile des Makis » (le nom local), sur laquelle je m’étais régalée 🙂
Merci encore pour l’article et les photos... elle en a de la chance ta fille !
C’est pas possible, les photos sont retouchées pour être aussi belles et parfaites !! 🙂 Celle prise avec l’enfant sur le rocher ferait presque penser à la vallée sacrée des Incas 🙂
Superbe récit en tout cas qui donne envie de découvrir Madagascar de plus près !
Ca donné trop envie !! Voyage à programmer prochainement !!
J’aime votre suggestion d’envie de partir
Superbe vidéo.. Panoramas époustoufflants.. et magnifique candeur d’un (des) enfant(s)
Merci beaucoup Gigi ! Vous partez quand, alors ? ?
bonsoir. je pars avec mes enfants 6 ans et 3 ans au mois de juin à madagascar. Pouvez-vous me donner des conseilles avant de partir ? merci
Superbe article. Touchant et tellement parlant à la maman que je suis 🙂
Madame Oreille, photos de voyage, Aurais tu des conseils concernant les vols si nous voulons commencer par les Seychelles puis aller à Rogrigues et Nosy Be ? Vaut-il mieux prendre un AR pour Mahé et ensuite aller dans les autres îles entre l’aller et le retour ou bien prendre un aller pour Mahé puis le retour à partir de Mada, Maurice ou autre île visitée ? Nous partons pour 3 ou 4 mois. Merci pour les conseils ! Pour ce qui concerne Madagascar, j’étais un peu dubitative niveau sécurité... mais Petite oreille m’a quasiment convaincue du contraire <3
Niveau sécurité, faut juste se méfier le soir dans les grandes villes et la nuit sur les routes (c’est pour ça qu’on évite de rouler une fois le soleil couché) mais je ne me suis pas sentie en insécurité plus qu’ailleurs (pas plus qu’a Paris ^^)
Concernant les vols, je ne connais pas très les compagnies du coin, n’étant jamais allée aux Seychelles. Désolée !
ha ben tiens je vais le lire ! <3 nous vivons a la reunion et j’hesite a y aller avec ma fille de 3 ans
C’est la destination de ma fille qui rêve depuis toujours d’aller à « Madame-Gascar »... Un vrai coup de coeur que ce pays à la générosité tellement spontanée où la rencontre rythme le voyage et la nature est Reine. Merci pour ces magnifiques qui expriment toute cette richesse, c’est un peu comme si j’y étais encore hier !
On valide, ça donne vraiment envie de partir ! Hâte de découvrir vos prochaines aventures ✈️
C’est d’une beauté !! J’aime beaucoup les photo 🙂
Encore de superbes photos et un bien bel article ! Cela donne envie d’aller visiter ce beau pays et pourquoi pas avec notre petit bout à peine plus jeune que votre fille et qui adorerait les lémuriens (il a adoré apercevoir les singes au Nicaragua cet été). Voyager avec un enfant c’est différent c’est sûr, on fait tout à un autre rythme mais c’est tellement beau de les voir s’émerveiller devant un paysage, un animal et de voir la facilité à s’amuser avec les autres enfants sans même parler la même langue ! Et puis ça ouvre souvent le dialogue avec les locaux et donne la dimension humaine au voyage au delà des magnifiques paysages. Merci pour ces belles images qui laissent rêveur!!
Superbe photos !! Ca fait longtemps que je ne suis pas allé à Madagascar tu viens d’éveiller en moi une soudaine envie d’achat d’un billet d’avion 🙂
Tes photos sont vraiment incroyables ! J’ai l’impression que tout le monde me parle de Madagascar en ce moment, ça doit être l’univers qui me pousse par là-bas 😉
Très beau film !
j’ai beaucoup aimé l’article et les visites. J’ai fait le Kenya l’été dernier avec deux petits enfants 3/5 ans en utilisant aussi les transports locaux. Ils se sont parfaitement adapté mes loulous.
Avec de telles photos l’album de famille va en jeter ! lol
J’ai souvent voulu visiter Mada, surtout quand j’habitais à la Réunion, mais avec tous les problèmes de sécurité j’ai complétement laissé tomber et c’est dommage à voir les photos ! En deux semaines vous avez vu pas mal de choses ! J’espère que la situation sur l’ile pourra s’améliorer, surtout pour les habitants qui ont l’air d’être des gens très chaleureux et que bientôt les touristes pourront y revenir en nombre !
Salut, quel matériel (boitier + objectif) tu as utilisé pour ce voyage ? Et quel logiciel tu as utilisée pour les retoucher ? Merci
Vos photos sont tout simplement magnifiques. J’ai eu moi aussi l’occasion de visiter Madagascar en 2015 et ça restera un merveilleux souvenir.
La petite s’est bien ammusé à ce qu’on voit sur les photos, qui sont superbes bien sûr. J’apprécie bien ton courage pour emmener un enfant dans un tel voyage, surtout avce le périple du train.
Magnifique article ! Autant les photographies comme l’expérience que tu nous racontes ! En tout cas, quelle belle expérience pour vous deux !
Vraiment génial cet article ! Les photos sont superbes, ça donne envie de découvrir ce pays situé au bout du monde.
En tout cas, merci pour le partage.
Magnifique article, magnifique histoire, superbe photos.
🙂
Merci beaucoup pour ce magnifique article ! et les photos époustouflantes d’humanité !
Madagascar nous a toujours attiré en voyage solo mais avec petit bout je n’y aurais pas pensé, enfin pas à son âge (2 ans).
Ton récit de voyage m’as donné envie de découvrir ce beau pays en famille !!!
Merci infiniment pour ce témoignage et les précédents qui m’ont beaucoup aidés et donnés confiance pour continuer de voyager et partager l’aventure avec notre enfant. Notre premier voyage en famille était au Japon, peut être que le deuxième sera à Madagascar !!
Magnifique, merci !
Superbe cet article ! Nous y allons en Septembre-Octobre nous 🙂
Quelles photos magnifiques !! Tu es une vraie artiste !! Tu es partie avec quel matériel photo sans indiscrétion ?
Très jolie histoire ! J’avais déjà entendue parler de l’agence de Jacaranda par des amis malgaches mais là du coup si j’y retourne bientôt,je vais surement faire appel à leur service 🙂
PS : Tes photos sont magnifiques
Bonjour, franchement à travers ce blog , jai complètement voyagé, je suis moi-même malgache habitant en France, je compte partir avec mon fils Kaïs l’année prochaine ( avec l’accord de la pédiatre) il as que 2 mois pour l’instant. En tout cas merci d’avoir partagé votre expérience. Elle sera très utile pour des gens comme moi.
attention,le malarone est généralement deconseillé si on a normalement le derriere fragile,pour moi a chaque fois que j’y aller,ben a mon retour j’ai du me prescrire 1 mois d’arret de travail par derriere,l’année derniere je ne l’ai pas pris ben pas de prescription d’arret maladie,j’avais un peu malade mais supportable,en 1 semaine j’etais plus malade,donc sa depend ou vous aller,ou vous aller manger et surtout dans les endroit fermé si vous voulez pas vomir et etre cloué au lit pendant 3 jours(je l’ai fait et je savais par apres ou j’etais aller manger)