Vous vous intéressez à la photographie mais les aspects techniques vous paraissent trop abstraits ? Cet article est pour vous ! Trois vidéos d’une minute pour comprendre l’ouverture, la vitesse et apprendre à utiliser ces paramètres pour réussir ses photos.
Apprendre et comprendre
les principes de base de la photographie
La photographie, c’est un art. Mais avant d’être créatif, il faut réussir à maîtriser l’outil (pour mieux s’en détacher). Ouverture, diaphragme, obturateur, exposition, vitesse, 1/500ème, 1/2.8, Bulb, on peut vite être perdu au milieu de ces termes. Pourtant, la photographie n’est pas si compliquée. Il faut surtout comprendre comment fonctionnent quelques principes de base.
Et pour vous aider, voici donc trois vidéos courtes et simples.
Comprendre l’ouverture
L’ouverture, c’est la quantité de lumière qui atteint le capteur. Elle dépend de l’objectif. Quel impact a l’ouverture sur la photo ? Réponse en dans la vidéo !
Ce qu’il faut retenir :
grande ouverture = petit chiffre
beaucoup de lumière = faible profondeur de champ
petite ouverture = grand chiffre
moins de lumière = grande zone de netteté
Comprendre la vitesse d’obturation
La vitesse d’obturation désigne la durée pendant laquelle la lumière pénètre sur le capteur. Là encore, le réglage impacte directement la photo. Et pour comprendre, voici la vidéo :
Ce qu’il faut retenir :
Vitesse rapide = fige le mouvement
Vitesse lente = flou de mouvement
Vitesse trop lente = flou de bougé
Apprendre à utiliser le mode Priorité Ouverture
Maintenant qu’on a compris comment tout cela fonctionne, il faut l’appliquer ! Et pour cela, il faut choisir les bons réglages, au bon moment. Passons en revue le mode Priorité Ouverture et voyons quand l’utiliser, et comment :
Ce qu’il faut retenir :
Utiliser une faible profondeur de champ pour faire ressortir un sujet sur un arrière plan flou.
Utiliser une grande grande profondeur de champ pour une grande zone de netteté.
Quels réglages pour quelles photos ?
Rentrons maintenant dans les détails.
Sommaire
Quels réglages pour quelles photos : comprendre les bases de la photographie
- Le triangle de l’exposition : ISO + ouverture + vitesse
- Comprendre l’ouverture
- Comprendre la vitesse (d’obturation)
Quels réglages pour quelles photos : les modes
Comprendre les bases de la photographie
Avant d’aborder la partie purement pratique, je vais me concentrer sur la théorie. Il me paraît important de comprendre comment agissent les paramètres, sans rentrer dans les principes physiques ni dans les calculs mathématiques, pour ensuite pouvoir être en mesure de choisir la manière dont ils influenceront la photo.
Le triangle de l’exposition : ISO + ouverture + vitesse
Une exposition parfaite, c’est quand on arrive à faire ce que l’on veut, et dans 90% des cas, il s’agira d’avoir une photo ni trop claire ni trop sombre. (Je ne vais pas commencer à vous embrouiller dès maintenant avec les exceptions !)
Pour ce faire, nous allons jouer sur trois paramètres : l’ouverture, la vitesse et les ISO. Le troisième étant celui qui m’intéresse le moins, je commence par lui : les ISO correspondent à la sensibilité de votre capteur. Plus ils sont élevés, plus le rendu sera lumineux. C’est un réglage qui vous intéressera surtout dans les lieux sombres où on ne peut faire autrement qu’augmenter les ISO.
Voici ce qui se passe si je ne change ni mon ouverture, ni ma vitesse, mais que j’augmente progressivement les ISO :
Effet secondaire, monter les ISO augmente le bruit (ces petits pixels moches qu’on voit surtout dans les parties sombres). Ce bruit peut être atténué par logiciel, mais on vous conseillera quand même de rester sur des ISO faibles, autant que possible. Faites le test avec votre appareil, mais sur un petit reflex entrée de gamme, je ne monte à 1600 qu’en cas d’absolue nécessité, et je reste la plupart du temps entre 200 et 400 pour de la photo de jour en extérieur.
Comprendre l’ouverture
Intéressons-nous maintenant à l’ouverture. Cela désigne la quantité de lumière qui va arrive sur le capteur.
Elle se règle sur le boîtier (mis à part quelques rares objectifs manuels) mais va être limitée par l’objectif : tous les objectifs ne permettent pas de grandes ouvertures. C’est le chiffre qui est donné à côté des indications de focales. Par exemple, un 24 – 70 2.8 est un zoom qui va de 24mm à 70mm et ouvre à 2.8. Le diaphragme est situé dans l’objectif, c’est lui qui va déterminer la grosseur du trou pour laisser passer la lumière (à ne pas confondre avec l’obturateur).
Le petit piège, c’est que ce 2.8 est en fait une fraction : 1/2.8, ce qui veut dire que plus le chiffre est petit, plus l’ouverture est grande. Ainsi, un 50mm 1,4 est plus lumineux qu’un 50mm 1,8.
L’ouverture va donc être importante sur deux points. D’une part, plus on ouvre grand, moins on a besoin d’ouvrir longtemps. C’est-à-dire que pour une même exposition, je peux choisir entre faire rentrer beaucoup de lumière, ou la faire rentre longtemps. Nous verrons dans la partie consacrée à la vitesse quels effets ça peut avoir sur l’image. D’autre part, c’est l’ouverture qui va déterminer le « flou ».
Vous avez certainement déjà vu des portraits où le personnage très net se détache du fond, très flou. Hé bien on obtient ce genre de rendus en jouant avec l’ouverture : plus on ouvre, plus c’est flou. Et comme rien ne vaut un exemple :
J’ai placé A, B et C (ouais, 100% récup !) à des distances équivalentes (il y a 60 cm entre A et C). J’ai successivement fait la mise au point sur A, B puis C, et on voit bien que lorsqu’A est net, C est très flou (ouverture : 1.4).
Mais si cela peut être joli, ça n’est pas toujours ce qu’on cherche à obtenir. On peut alors moduler la zone de netteté selon l’ouverture. Tout cela peut s’expliquer par de savants calculs, mais l’instinct marche bien, aussi. Voici donc ce qu’il se passe si je fais la mise au point sur B et ferme le diaphragme :
Plus je ferme, plus A et C sont nets. En paysage, par exemple, on aura souvent envie d’avoir tous les plans nets, et on fermera donc plus que pour un portrait, où il est souvent agréable d’avoir un arrière plan un peu flou.
Je ne vais pas compliquer la chose encore plus, mais sachez juste que la zone de netteté va varier selon plusieurs paramètres dont la focale et la distance de votre sujet. Un sujet très proche sur une longue focale aura une zone de netteté très réduite. C’est un problème qu’on rencontre souvent en macro, où il faut beaucoup fermer pour avoir l’insecte net sur quelques millimètres.
Comprendre la vitesse (d’obturation)
La vitesse d’obturation, c’est la durée entre le moment où vous déclenchez, et le moment où l’obturateur se referme. Concrètement, c’est le temps durant lequel le capteur est exposé à la lumière.
C’est très simple à comprendre. Prenons un exemple :
Pour la première photo, j’ai ouvert pendant un quinzième de seconde. Ça peut sembler peu, mais selon le sujet, on peut obtenir du flou. En l’occurrence, le scooter doit rouler à 20km/h.
A droite, j’ai ouvert beaucoup moins longtemps, 1/640 de seconde, et ça permet de figer la voiture qui roule pourtant à la même vitesse que le scooter de gauche. Vous voyez au passage que la luminosité n’a pas été affectée : l’appareil a compensé le temps d’exposition réduit en ouvrant beaucoup plus le diaphragme (22 a gauche, 3.5 à droite).
Si on veut jouer sur la vitesse d’obturation, il faudra donc toujours penser à deux facteurs : le flou de mouvement, et le flou de bougé. Pour expliquer cela, prenons un nouvel exemple (vous excuserez les cadrages des illustrations de cet article...)
La vitesse est de 0.5 secondes pour chaque image. La seule différence, c’est que pour prendre la première, j’ai posé l’appareil sur une poubelle. Du coup, à gauche, nous avons une image qui globalement est (à peu près) nette mais dont les sujets en mouvement apparaissent flous ; et plus ils se déplacent vite, moins ils sont visibles. C’est donc un flou de mouvement.
A droite, on voit que tout est flou : c’est l’appareil qui tremble, on parle alors de flou de bougé. Pour empêcher cela, on pourra employer un trépied (ou toute surface permettant de poser l’appareil, comme ma poubelle...) ou alors utiliser une astuce toute simple : se dire que notre vitesse doit toujours être légèrement supérieure à la focale que nous utilisons. De manière logique, l’influence de nos tremblements sur l’image est démultipliée lorsque nous utilisons de longues focales (on peut même, parfois, avoir du mal à cadrer...).
Attention : je ne vais pas rentrer dans les détails, mais disons qu’avec un petit capteur (APS‑C) et un 50mm, il vaut mieux ne pas descendre en-dessous de 1/80ème ; avec un 100mm, 1/160ème ; etc. C’est dû au coefficient multiplicateur des APS‑C. Sur un APS‑C (par opposition à un « full frame » comme le Canon 5DII où ce calcul n’est pas nécessaire) donc, il faut tenir compte du facteur de crop et calculer à 1.6 : pour un 200mm on ferait 200 x 1,6 = 320 = ne pas descendre en dessous de 1/320.
Conclusion
On peut obtenir une exposition similaire en modifiant chacun des paramètres, mais si le rendu au niveau de la luminosité sera équivalent, le rendu esthétique peut changer du tout au tout. Il est donc important de comprendre un minimum tout cela pour ensuite pouvoir choisir ce qu’on racontera avec notre image.
Quels réglages pour quelles photos : les modes
Ici, je vais prendre quelques exemples et vous expliquer pourquoi j’ai choisi tel ou tel réglage, mais je vous préviens tout de suite : ces choix restent totalement personnels et correspondent à une image précise. Le but n’est pas de systématiquement reprendre les mêmes réglages, mais bien de comprendre comment tout cela fonctionne.
Sur tous les reflex, on va retrouver principalement 4 modes. Selon les marques, ils ne porteront pas le même nom, mais fonctionnent de la même manière. On retrouve donc :
- Programme : en général appelé « P » sur la molette
- Priorité Ouverture : « Av », pour Aperture Value chez Canon et Pentax, « A » chez Nikon
- Priorité Vitesse : « Tv » pour Time Value chez les uns, « S » pour Speed chez celui qui se la joue différent
- Manuel : bah « M », tout simplement
Il y a une infinité de bonnes raisons pour utiliser chaque mode, le tout est de savoir lequel privilégier selon les situations, et en voyage, elles sont variées !
Le mode Programme
Il s’agit d’un mode automatique avec une petite particularité : il va proposer un couple « vitesse/ouverture », mais on pourra en sélectionner un autre s’il ne nous convient pas. Typiquement, c’est le mode des photos dont on se fout un peu : on a envie de se souvenir d’un truc, de prendre un image d’une chose amusante, et tout se qu’on demande, c’est une exposition correcte.
A titre personnel, je ne l’utilise pratiquement jamais, si ce n’est pour photographier la carte d’un restaurant et ainsi me souvenir de l’endroit où nous avons mangé, ou pour preuve de l’état d’un scooter avant location... Néanmoins, c’est un mode qui peut être rassurant dans un premier temps.
Le mode Priorité Ouverture
Priorité Ouverture et Priorité Vitesse vont fonctionner de la même manière : vous choisissez un paramètre et l’appareil calcule ce que doit être le deuxième pour une bonne exposition.
On va donc pouvoir choisir si on veut ouvrir beaucoup, fermer beaucoup, avoir une grande profondeur de champ, ou l’inverse. Je dois vous l’avouer, c’est mon mode préféré lorsqu’il fait jour et que je ne cherche pas à faire un effet particulier : en conditions lumineuses normales, avec des ISO entre 200 et 400, je suis quasi-sûre d’avoir une vitesse d’obturation suffisamment élevée pour ne pas être floue, et ainsi pouvoir me concentrer sur la profondeur de champ.
Pour illustrer cela, prenons quelques exemples.
L’image de gauche a été prise en Inde (Rajasthan), tandis que l’autre vient de Russie (Lac Baïkal). Dans les deux cas, j’avais le même but : faire ressortir mon sujet grâce à une profondeur de champ réduite. Ainsi, à 2.8 avec un 100mm, je mets en valeur le regard du petit reptile. Comme le lieu est assez sombre, j’ai monté les ISO à 800, et l’appareil a donc cherché la vitesse d’obturation qui correspondait : 1/200ème de seconde.
Pour la vendeuse de poisson, j’aurais pu réduire encore plus la profondeur de champ, l’objectif ouvrant jusqu’à 1.8, mais l’idée était de flouter le fond ainsi que sa collègue, sans pour autant qu’elle-même en pâtisse. On a donc la même ouverture que pour le gecko, mais c’est un hasard : 2.8.
Pour la photo ci-dessus, nous sommes à Badwater, en Californie : un désert de sel. Ici, je ferme beaucoup (f/11) : le but est d’avoir la zone de netteté la plus grande possible. On doit à la fois distinguer la matière dans le bas de l’image, et avoir une montagne nette. Comme il fait plein soleil, la scène est extrêmement lumineuse : en contrepartie, l’appareil va donc calculer qu’il lui faut une grande vitesse d’obturation : 1/500.
Ces deux photos font, ensemble, un bon exemple. Elles ont été prises en Roumanie (en Maramures), au même endroit, le même jour, à quelques minutes d’écart. Dans le premier cas, je veux une photo de paysage classique, où tout est net : je ferme à 14. Dans le second cas, j’ai ajouté un premier plan, et je veux que le paysage soit flou : j’ouvre à 2.8.
A chaque fois, le fait d’être en priorité ouverture me permet de me concentrer sur ma profondeur de champ et mon cadrage, l’appareil gérant le reste (le calcul de la vitesse pour une bonne exposition, et à ce jeu là, il est quand même meilleur, et plus rapide, que moi).
Note : il faut tout de même savoir que la qualité d’un objectif n’est que rarement optimale à toutes les ouvertures. Le piqué (netteté) est moins bon aux valeurs extrêmes. Ainsi, lorsqu’on ferme pour gagner en netteté, on ne va pas non plus à fond ! De même, il vaut mieux éviter d’ouvrir au maximum.
Le mode Priorité Vitesse
Vous l’aurez compris, Priorité Vitesse est l’opposé de Priorité Ouverture. On va définir la vitesse d’obturation, et l’appareil choisira l’ouverture correspondante selon les situations.
Par exemple, pour cet alligator des Everglades, j’ai un 70 – 200mm, je suis sur un bateau (qui est à l’arrêt, mais qui tangue un peu, quand même !) et la charmante bestiole bouge un peu elle aussi. Pour obtenir une photo nette malgré tous ces mouvements, j’opte donc pour une vitesse assez élevée : 1/320ème. J’ai laissé les ISO sur 400, car il fait jour, mais nous sommes dans des zones ombragées. L’appareil calcule donc qu’en ouvrant à 8, ma photo sera exposée correctement.
A l’inverse, pour la photo de droite, à Venise, je choisis une vitesse très lente : 30 secondes. J’ai posé l’appareil sur un pont (je crois) et l’idée est de lisser l’eau : une pose longue sans prendre le temps de faire des essais en manuel. Je sais que j’aurai un bon résultat (qui me convient, en tout cas), avec 30 secondes, et plutôt que perde du temps à essayer plusieurs ouvertures, je reste en priorité vitesse de sorte à laisser le boîtier gérer l’exposition.
Deux autres exemples qui se ressemblent un peu (même si ça ne se voit pas sur l’image !). A gauche, nous sommes en Thaïlande, sur un marché de nuit (à Ubon Ratchathani). Je suis avec un 50mm 1.8, j’ai monté les ISO à 1600, et je veux un compromis entre « pas trop de flou sur l’étal » et « pas trop de flou sur l’homme en mouvement ». Je ne peux de toute façon pas trop descendre en vitesse sans risquer un flou de bougé, et opte pour 1/80.
A droite, je traverse la Bosnie-Herzégovine en train (ici entre Sarajevo et Mostar). Nous allons relativement vite mais j’ai quand même envie de prendre quelques photos par la fenêtre ouverte : comme je suis en mouvement, je dois monter, choisir une vitesse élevée si je veux avoir une chance de figer le paysage : 1/500.
Notez qu’on peut aussi faire le choix inverse : une vitesse lente pour mettre en valeur le mouvement grâce aux flous.
Le mode Manuel
En voyage, il sert peu. En tout cas, je ne l’utilise pratiquement pas. Je vais le choisir en studio, en macro (où un flash compense le manque de luminosité), ou éventuellement, pour des situations particulières : ombres chinoises, poses longues... Mais pour du portrait ou du paysage, les modes Priorité Ouverture et Priorité Vitesse sont tout indiqués.
Pour aller plus loin : apprendre et comprendre la photographie
Voici quelques articles qui pourraient vous intéresser :
- Dans cet article je détaille un peu plus les principes de base de la photographie (ouverture, vitesse, triangle de l’exposition...) et je vous explique quel mode et quels réglages choisir dans quelle situation en fonction de la photo que vous souhaitez prendre.
- Ddes conseils quant au choix des objectifs et matériel à emporter en voyage
- Un guide pour choisir votre appareil photo
- Des conseils simples pour de meilleures photos
- Sur cette page, vous trouverez des liens vers tous les articles dédiés à la photographie
75 commentaires
Super interessant, merci pour ces cours, bon fin d’après midi...
Clair, net, précis !
Hé bien tant mieux si ça vous sert ! 🙂
Si quelqu’un a une question, qu’il n’hésite pas.
Génial cet article, c’est ce que je recherchais sur le net depuis des mois mais expliqué de façon bien plus simple pour de vrais débutants ! Merci et vivement la 2nde partie !!
Tes tutoriaux sont vraiment bien ficelés. Merci m’dame Oreille.
NowMadNow
Candice : Ton enthousiasme me fait plaisir ! Figure toi que je me suis vraiment arraché les cheveux pour réussir à faire simple sur certaines parties, et heureusement que j’ai un relecteur qui me fait ses commentaires ! Si tu veux aller un peu plus loin sur certains points technique, Apprendre la photo est très bien fait. Si tu veux voir des points précis abordés dans la prochaine partie, dis le moi, ce sera avec plaisir !
Aline : si ça peut te donner envie de poster plus de photos sur ton blog... 😉
Très chouette comme tuto !
Perso j’utilise une règle plus simple sur la relation vitesse/focale :
ne jamais utiliser de vitesse sous 1/focale. Par exemple pour une focale de 100, il ne faut pas aller sous 1/100em.
Enfin, ca revient au même et ca reste à l’appréciation du photographe, à la stabilité de l’appareil, son poids...
@Oreille : c’est en cherchant des tutos pour apprendre à me servir de mon appareil (un hybride Sony Nex 5) que je suis tombée sur ton site, et je dois dire que jusqu’à maintenant je ne suis pas déçue de la qualité des conseils ! Bon il faudra quand même que je relise encore 2 ou 3 fois pour bien assimiler la partie qui « pique sous les cheveux », mais globalement les explications sont super claires, merci pour le temps passé à les rédiger et merci aussi pour le lien vers le site Apprendre la photo qui a l’air très bien fait !
Tewoz : En fait, c’est grosso-modo basé sur la même idée, sauf que les focales sont conçues sur base d’un 24×36, alors qu’un aps‑c fait un crop : un 100m sur mon 550d équivaut à un 160mm, en réalité. D’où la multiplication. Mais bon, globalement, l’idée à retenir, c’est que plus on a un gros zoom moins on peut descendre en vitesse 😀 (et plus on vieillit aussi)
Candice : ça me fait vraiment plaisir 🙂
Tu es contente de ton Nex ? Tout le monde en dit beaucoup de bien !
Oui j’en suis absolument ravie ! Mais ça ne fait que quelques semaines que je l’ai et je suis très loin d’en avoir fait le tour. Le mode « intelligent » est parfait pour les néophytes et il y a ensuite 4 modes « semi-automatiques » pour une approche en douceur des réglages manuels.
Au départ je l’ai acheté pour faire des photos produits pour ma boutique et pour ça il remplit parfaitement son rôle. La balance des blancs et la mise au point sont bien plus efficaces que le Lumix que j’utilisais avant, et la qualité d’image est telle que les retouches sont presque inutiles même lorsque je photographie un produit blanc sur fond blanc (exemple sur ce produit où un simple réajustement des niveaux a suffi à rendre la photo acceptable : http://goo.gl/1BLWa).
Maintenant j’aimerais bien me servir du Nex pour faire des photos plus personnelles, d’où la fréquentation de ton blog afin d’apprendre à maîtriser les bases de la photographie 🙂
Candice : Ah ouais, ça rend pas mal ! Dans mon boulot, je suis souvent amenée à faire du packshot (avec une table spéciale, des flashs, etc.) et je m’arrache souvent les cheveux avec les produits blancs. Autant te dire que le résultat est vraiment bluffant, très propre !
Tu comptes t’attaquer à quels sujets ? Paysages, famille ?
En tout cas, j’attaque l’écriture de la partie 2, à lundi 😉
Pour les sujets plus persos, j’aimerais bien me (re)lancer dans la photo de voyage, les scènes de vie et peut-être les portraits. J’aime aussi beaucoup le noir et blanc et l’article que tu as fait au sujet du post-traitement du N&B était d’ailleurs très intéressant.
En attendant les futurs essais photos, vivement la partie 2 du tuto et encore merci d’expliquer si bien les choses !!! 🙂
Rien à ajouter, si ce n’est qu’il existe un 5em mode à bannir des reflexes, le mode automatique, ou l’appareil calcul tout tout seul, et met le flash au besoin. Ce mode permet de ruiner toutes les photos de manière quasi systématique, c’est assez formidable.
Au top cet article,après pour le manuel je me suis longtemps forcer à l’utiliser pour comprendre comment fonctionnait l’ouverture et la vitesse séparemment,en en réglant un je comprenais compenser l’expo avec l’autre et j’avoue que ca m’a pas mal aidé.
Le mode manuel,je l’utilise quasi systématiquement pour mes scènes de nuit, pour me permettre de ne pas monter trop dans les ISO et gérer ma vitesse de manière totalement libre tout et donc en jouant avec l’ouverture,mais apres ca c’est perso ! 🙂
Tewoz : on est bien d’accord, surtout que selon les modèles, il ne permet même pas le raw ! Quitte à faire de l’automatique, le mode Programme est quand même tout aussi simple mais nous laisse un minimum de marche de manœuvre !
Jeremy : Non non, tu fais bien de le préciser. Une fois qu’on est à l’aise avec son matériel, on va chacun développer des habitudes et des préférences ! J’ai livré les miennes, mais ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas faire autrement, heureusement.
Cela étant, je reste sceptique quant à l’apprentissage par le mode manuel. Il me semble qu’on comprend tout aussi bien le rôle de l’ouverture en mode A(v). Enfin, je ne conseillerais pas à un débutant de commencer ainsi, ça risque de le décourager. Mais là encore, chacun sa façon de faire 🙂
On ne peut pas faire plus clair et limpide ! Je fonctionne comme ça aussi, principalement en le mode A, plus rarement en mode S (ouais, chez Sony, on se la joue différent !).
Bon, je n’ai pas encore pris le temps, mais merci d’avance : tes 2 articles me donnent envie de triturer les boutons de mon appareil et de faire plein d’essais 🙂
Marie : ils sont quand même chiants à ne pas utiliser les mêmes noms pour les réglages ! Heureusement qu’il n’y a, à ma connaissance, que deux possibilités à chaque fois ! (mais j’ai oublié de vérifier pour Sony, c’est vrai)
Curieuse Voyageuse : Tu as quoi comme appareil déjà ?
moi aussi j’ai une préférence pour la priorité ouverture
Très bon article. A ta place j’aurais rajouté une de tes photos genre à Las Vegas ou celle de la cascade pour illustrer la pause longue :P.
Bacri : je crois que pour les photographes voyage, c’est le plus courant. En sport ou concert, la tendance s’inverse probablement (enfin, dans ma logique)
Adil : je me suis dis que certains cliqueraient sur le lien et qu’il fallait que j’arrête d’utiliser tout le temps les mêmes photos ! Mais c’est vrai qu’une trainée de feux de voiture aurait peut-être été plus visuelle...
Merci pour ce petit rappel. Tout ca a du mal a rentrer dans ma tete, mais je commence a maitriser le mode Av. C’est celui dont je me sers le plus (avec le P aussi, j’avoue). Ton article fait partie de mes favoris a present, comme fiche recapitulative ! 😉
Par contre je ne comprends pas l’intérêt d’utiliser le mode P alors qu’il y a les modes automatiques. Perso, j’utilise juste le mode Av et Tv et dans de très rare cas le mode Manuel.
Adil : un exemple de situation où je vais utiliser le mode P (c’est imaginaire mais c’est pour l’idée). J’ai fait des poses longues avec le mode Tv (le réglage est donc resté sur 30sec) et je suis en train de faire des portraits avec le mode Av, en 1.8, quand passe à côté de nous une charrette avec des enfants qui nous font de grands signes. La photo n’aura pas un grand intérêt, mais reste amusante : en P, je peux déclencher rapidement sans passer trois plombes à faire défiler les valeurs, en Raw, sans flash. Pour ensuite reprendre mon réglage en Av.
Je ne sais pas si je suis vraiment claire...
C’est un peu pareil pour toi, liloulivi, non ?
En fait si parfaitement :). Merci pour l’expliquation ;). Disons le gros intérêt par rapport à un mode automatique c’est de pouvoir récupérer le ficher raw non ?
À mon premier cours de photojournalisme, mon professeur m’a dit : Vous voyez tous ces modes sur l’appareil ? Vous n’y touchez pas. Vous réglez l’appareil sur Manuel et vous faites avec. »
Du coup je n’ai jamais appris à utiliser les autres modes. Ton article m’a fait réaliser que je pourrais me faciliter un peu plus la vie !
Adil : en gros oui, et puis d’avoir un minimum la main, aussi. Par contre, ça a un gros défaut : si on veut choisir un autre couple vitesse/ouverture que celui proposé en premier, il n’est pas mémorisé. Mais bon, dans ce cas là, on n’utilise pas ce mode, je pense.
Annabelle : en fortiori en reportage, je ne vois pas trop l’intérêt du manuel. Il faut être rapide, et gérer soit même l’exposition, c’est la garantie de louper l’instant décisif. Alors certes, c’est bien de savoir l’utiliser, mais bon... D’ailleurs, je ne connais pas grand monde qui l’utilise en reportage. Pour peu que le ciel soit un peu nuageux, on va avoir un lumière constamment changeante, et donc devoir être sans cesse en train de refaire ses réglages, au lieu de se concentrer sur le cadre et ce qui nous entoure :/
Il avait quel age ton prof ?
Ca y est, j’ai enfin eu le temps de lire cette seconde partie tout en triturant en live mon appareil 🙂
C’est amusant ce que tu dis au sujet du mode Programme : il est effectivement « rassurant » car jusqu’à présent c’est le seul dont j’ose me servir après avoir eu le courage de quitter le mode automatique !
Bon, j’ai encore un peu de mal avec les notions d’ouverture et de fermeture, je crois que je vais m’imprimer cet article et le garder sur les genoux quand je testerai en pleine nature ce week-end. Parce que les tests devant l’ordinateur à la nuit tombée, pour la lumière c’est pas l’idéal 😀
Au fait : Pour Sony, les appellations sont : P, A, S et M.
La plupart des journalistes old school (i.e. ceux qui ont vécu la transition argentique / numérique) utilisent uniquement le mode M et regardent avec un certain dédain les jeunes qui, comme toi et moi, ont en permanence le mode Av. sur leur jolie roulette. L’un d’eux m’expliquait qu’ils n’avaient pas besoin du calcul de la machine et qu’être pro, c’était savoir d’avance tous les réglages à faire et à mettre sur ton outil de travail, de façon à ne pas être dépendant de ta machine.
C’est effectivement impressionnant, un mec qui te sort un couple A/T parfait au moindre cliché, quelque soit la lumière ou le sujet. Mais il s’agit moins d’efficacité que de prouver ta complète maîtrise de la photographie et, à force, ça devient naturel ; une habitude qui garantit un résultat optimal en permanence, contrairement aux modes semi-automatiques qui, parfois, se trompent. D’ailleurs, ils ressentent beaucoup de mépris (voire de colère) contre les amateurs qui, je cite, « pensent produire un résultat pro parce qu’ils se sont payés un 5D ».
C’était un prof dans la quarantaine. Mais bon c’était un cours sur un semestre seulement. J’imagine qu’il aurait fini par nous autoriser à utiliser d’autres modes. Où alors il faudrait lui apprendre l’existence de ces modes. Le pauvre, il doit en chier sur le terrain !
Candice : ah c’est sur que pour tester, il vaut mieux ne pas être déjà en conditions difficiles ! Si jamais tu as la moindre question, n’hésite pas à la poser ici, ça servira peut-être à quelqu’un d’autre !
Chris : Ce genre de raisonnement me gène quand même beaucoup parce qu’ils font aussi penser qu’un photographe est avant tout quelqu’un qui a un appareil, reléguant presque la construction de l’image au second plan. Enfin, les prouesses techniques c’est chouette mais c’est pas ça qui fait/suffit à une bonne photo : le spectateur s’en fout que ça soit au 5D, au compact, avec tel ou tel mode ! Le but, c’est d’être à l’aise et d’optimiser ce qu’on a entre les mains.
Et j’ajoute que les modes semi-auto ne se plantent pas, c’est l’humain derrière qui choisit mal son mode de mesure d’exposition :p
Annabelle : Un vieux quoi ! 😀 Il y a aussi, comme le signale Chris, un petit côté élitiste chez certains,...
Très bien expliqué, et les illustrations permettent d’accrocher et comprendre à la fois.
Je suis également de ceux qui ont appris en se forçant au mode manuel, mais j’avoue que c’était essentiellement pour le studio.
Le mode automatique m’as toujours donné le plus de travail en développement des raws.
Les modes priorité vitesses ou le mode priorité ouverture pour la photographie de mouvement dans un environnement à lumière changeante est un vrai confort qui évite bien souvent de passer à côté de la photo voulue !
Malgrès cela, je reste un vrai mordu du mode manuel qui permet le contrôle de tout les paramètres, mais uniquement pour les photos qui en laissent le temps (studio, paysages fixes...)
Merci pour ce petit cours, simple et clair...
Je dirais même plus : lumineux !
J’utilise à 80% le mode Av. A propos du mode automatique, je l’ai utilisé au début pour tester les paramètres que me propose la situation photographiée : je transfère ensuite ces paramètres en me permettant des modifications.
voilà !
cet article est parfait
je viens d acheter un « petit » reflex (l entree de gamme de canon) et je me demandais comment fais tu pour faire la mise au point sur a , b ou c ? car moi je n arrive a le faire que sur le sujet au premier plan...
mercii
Pour répondre à Laura : par défaut il n’y a pas de collimateur de sélectionné et l’appareil essaie de deviner à ta place où faire la mise au point (les collimateurs font la mise au point, ils sont illustrés par les petits points rouges dans le viseur – oui, il faut regarder dans le viseur!).
Donc à toi de lui dire explicitement où faire la mise au point ! Tu as trois façons de le faire :
1. Sélectionne le collimateur central (regarde ton manuel, sur mon vieux Rebel c’est molette et bouton à côté de l’étoile); ensuite place ton collimateur central sur le sujet sur lequel tu veux faire le focus, appuie sur le déclencheur à mi-course, cadre ta photo sans lâcher le déclencheur, et prends ta photo.
2. Choisis le collimateur le plus proche de l’endroit où tu veux faire le focus (molette et bouton, comme ci-dessus), déplace un peu ton cadrage pour que ce collimateur soit pile sur cet endroit, appuie à mi-course le déclencheur, recadre un peu et prends la photo. À faire quand tu maîtrises la façon 1.
3. Si tu es sur trépied, passe en mode focus manuel, active la visualisation sur écran et zoome au maximum, fais ton focus et hop ! prends la photos (avec retardateur de 2 secondes et verrouillage du miroir, sinon flou de bougé).
Bonjour Madame Oreille ! Voilà quelques jours que je lis tes articles et j’apprends beaucoup, alors merci de prendre le temps de nous expliquer de façon si claire les mystères de la photo. J’avais tout de même juste une petite question à propos de cet article qui est par ailleurs très intéressant : pour ta photo de Venise tu as donc choisis une vitesse très lente (30 sec). La photo semble avoir été prise en plein jour et même si le ciel est gris et nuageux, la scène semble quand même assez lumineuse. Ma question est donc, comment as-tu fais pour ouvrir pendant 30 secondes sans que le résultat soit complètement sur exposé ? C’est peut être une question de débutante mais j’ai bien l’impression que si j’utilisais une vitesse de 30 secondes en plein jour, ma photo serait complètement cramée. J’apprécierais beaucoup si tu pouvais m’éclairer (sans mauvais jeu de mot héhé) à ce sujet. Bravo et merci encore pour ces supers articles !
Lorsque je me suis acheté mon reflex, mon chéri m’a offert un cours où ces bases étaient expliquées. Je t’avoue qu’en 3h c’était beaucoup d’infos ! alors ça fait du bien de relire de temps en temps, même si comme tu le dis dans l’article en trifouillant l’appareil les réglages viennent tous seuls au bout d’un moment.
Je viens de suivre un cours de photo est c’était très bien,mais ici ce tuto est génial et ce que je n’avais pas bien compris ici maintenant cela fais tilt.
Merci et continuez..
Salut !Svp pour prendre une photo à PING au environ de 22h à 800mètres quel reglege dois-je faire : iso, diaphragme,distance focale,viseur ?
Trés bien cet article ... même si je ne maîtrise pas encore l’ouverture et la vitesse ... je débute avec mon réflex et c’est pas toujours évident ... mais grâce à des articles comme les tiens je progresse ... alors merci pour tous ces conseils.. peut-être que je devrais consulter ton livre pour en apprendre plus !
Je viens de commencer la photographie, ça me permet d’apprendre et de bien comprendre les différents modes. Merci pour cet article très bien expliqué avec des mots simples afin de bien comprendre ; c’est juste TOP !!! 😀
Bonjour je suis une petite débutante en photo et je suis tombé sous vos TUTO je trouve super la question j’aurais voulu savoir si vous avez fait un livre avec les explications de débutant je vous souhaite une bonne journée et un beau week-end ??
J’adore tes vidéos, et encore plus ces petites explications brèves mais très claires qui m’aident beaucoup 🙂
Bisous
Julie
Super ces petites vidéos ! J’ai découvert ton blog tout récemment, ayant fait l’acquisition il y a deux semaines d’un bel appareil et enfin... une explication simple et claire sur l’ouverture et son impact sur l’image ! Souvent, on trouve des explications sur ce qu’est la focale mais rien sur la façon dont ça impact l’image.
Idem pour la vitesse d’obturation !
Hâte de découvrir les prochaines vidéos 😉
Ca a le mérite d’être concis et super clair !
C’est le but ! Merci 🙂
C’est toujours un plaisir de découvrir tes tutos simples et efficaces !
Merci
Merci 🙂
¡Me encanta ! Merci!! 🙂
Gracias 🙂
Toujours aussi utile en 2018, merci !
Question de grosse débutante : puis-je faire ce genre de réglage avec mon bridge ? J’ai l’impression que je peux le mettre en priorité ouverture ou priorité vitesse, mais par contre régler les durées ou taille d’ouverture... pas trouvé... (Panasonic Lumix DMC-FZ200).
Merci pour les tuyaux !
Super ces minis tutos ! 😀
Beaux, clairs et simples à comprendre, merci !
Merci 🙂
a quand le prochain épisode ? 🙂
Bientôt ; )
(à la rentrée !)
Merci pour tous tes bons conseils.
Je reçois un Eos 50 demain avec un voyage au japon dans 1mois j’espère être prêt en suivant tes guides vivement la suite.
Merci !
J’adore, vraiment très bien faites c’est petite vidéos. Pour moi qui suit débutant c’est du bonheur, tout y est dans un fort court avec des mots simple (pour les noobs 😉 ) et j’adore le montage vidéo façon « paper ». Beau travail, merci à toi Madame Oreille
Bonjour , novice dans la passion de la photographie , je vous remercie pour votre site très bien fait , avec des explications simples et claires, les exemples avec les vidéos sont très explicatives et m’ont beaucoup aidé à comprendre les divers réglages avec leurs priorités.
Bonjour j’adore le nom de votre site¨¨¨Madame oreille. Nous avons fait l’achat d’une caméra, et j’ai beaucoup a apprendre. J,ai regarder les trois petits vidéos qui m’aide merci Murielle .
bonjour j’aimerait savoir c’est tu les même chose quand on travaille en manuel dans un studio et merci pour les vidéo j’ai appris beaucoup pour AV
Super article, merci de partager tes connaissances ! (J’en ai grandement besoin).
En même temps simple et génial article ! Très bon pour les débutants en photo !
Cordialement,
Fedor
merci explications claires et simples très facile à comprendre.
Merci beaucoup pour ton article. J’ai besoin d’acheter un appareil photo prochainement et je ne comprenais rien à toutes ces données. Merci pour ton travail 😉
Bonsoir chere Madame ! Ce fut un plaisir pour moi de regarder toute tes videos„, et suivre tout tes consiel sur la photographie je tiens a vous felicité je suis un jeune professeur en photographie j’ai seulement 23 ans tes programmes m’as vraiment aidée...
Merci beaucoup pour cet article, très utile pour un débutant comme moi ! Tout est désormais nettement plus clair. Encore merci.
Merci pour ces conseils !
L’article a déjà 10 ans mais tes conseils restent parfaitement actuels !
Merci pour tout, je vais vite les mettre en pratique 🙂
Je reviens d’un safari et je me suis dit que c’était vraiment le moment d’investir dans un appareil photo ;D effectivement, les photos de téléphone, c’est pratique pour la vie de tous les jours, mais pas top pour les voyages ! Je suis donc tombée sur votre site et franchement, les conseils sont super ! ça me fait une base pour commencer doucement à apprivoiser un vrai appareil. Du coup, j’ose vous demander quel appareil vous utilisez ? Histoire de me donner une idée.
Merci pour ces précieux conseils que je relis afin de comprendre mieux mes erreurs et de pouvoir les corriger .
Merçi
Super bien expliquer je comprends mieux maintenant mon appareil!!
Après avoir longuement cherché un site sur l’apprentissage de la photographie, votre site est le 1er où j’ai enfin compris quelque chose. Rien n’est plus efficace que des exemples par l’image. Bravo et merci