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Voyager au Vietnam pendant le Têt (Nouvel An) et petit carnet pratique

par Madame Oreille

Mi-jan­vier 2014, je par­tais pas­ser un mois au Viet­nam. Un billet Paris-Hanoï pour l’al­ler, un billet Hô-Chi-Minh-Ville-Paris pour le retour. Je m’é­tais ren­sei­gnée avant, je savais que j’al­lais être confron­tée à un pro­blème : le Têt. Mais ça ne m’a pas empê­chée de pro­fi­ter du voyage, bien au contraire. J’ai débar­qué sur place sans aucune réser­va­tion, avec mon sac à dos et mon appa­reil pho­to. Par contre, je savais que je béné­fi­cie­rai d’un pied-à-terre à Hanoï, ma sœur s’y étant ins­tal­lé pour un stage. C’é­tait une petite sécu­ri­té d’au­tant plus appré­ciable que j’ai ain­si décou­vert la capi­tale Viet­na­mienne dans sa vie quo­ti­dienne, loin des hôtels à touristes.

Mon itinéraire

J’ai donc atter­ri à Hanoï, et comme j’a­vais ce pied-à-terre, mon iti­né­raire ne fut pas for­cé­ment des plus logiques : pen­dant les deux pre­mières semaines, j’ai alter­né esca­pades dans les « envi­rons » et jour­nées à visi­ter la capi­tale viet­na­mienne. J’ai com­men­cé par me rendre à Sapa, dans le nord, pour un petit trek dans les mon­tagnes. Ensuite, j’ai visi­té Tam Coc puis la baie d’A­long. Et enfin j’ai pris la direc­tion du centre, pour décou­vrir Hué et Hoi An, et j’ai ter­mi­né le séjour sur l’île de Phu Quoc.
Je pris mon temps, suis allée à mon rythme. J’au­rais pu « en voir plus », mais ce n’é­tait pas le but. Si c’é­tait à refaire, je zap­pe­rai Phu Quoc, ou y res­te­rai moins long­temps, et res­te­rai plus long­temps dans le nord pour me rendre à Hà Giang.

Mais même si cer­taines choses furent plus com­pli­quées, à aucun moment le Têt m’a empê­chée de pro­fi­ter du voyage.

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Le Têt c’est quoi, et pourquoi ça peut rendre compliqué un voyage au Vietnam ?

Le Têt c’est donc le Nou­vel An viet­na­mien. Sa date est fonc­tion du calen­drier lunaire et change donc tous les ans. Mais en gros, ça tombe entre mi-jan­vier et début mars. Pour les viet­na­miens, c’est une fête très impor­tante, qui se passe en famille. Ain­si, les villes se vident (oui, Hanoï déserte, c’é­tait impres­sion­nant !) et pen­dant cette période, de nom­breux maga­sins ferment, bien sûr, puisque c’est la prin­ci­pale période de congés des vietnamiens.

J’ai lu un peu par­tout que c’é­tait un bou­can pas pos­sible par endroit, que tout était fer­mé, qu’il était impos­sible de bou­ger... Ce n’est pas tout à fait vrai. Hanoï était calme, et nous n’a­vons pas eu de mal à nous nour­rir ni à prendre une excur­sion pour la Baie d’A­long. Les trucs tou­ris­tiques ont plus de chances d’être pris d’assauts par les viet­na­miens qu’an­nu­lés mais fina­le­ment, je n’ai pas subi la foule...
Nous sommes allés dans une Pagode (celle des par­fums) le pre­mier jour du Têt : elle était qua­si­ment vide ! Car en fait, tout est ques­tion de jour. Le pre­mier, ils res­tent plu­tôt en famille... Dans les jours qui suivent, on trouve quelques ani­ma­tions fami­liale dans les jar­dins, théâtre de marion­nettes, illu­mi­na­tions, ven­deurs de gad­gets pour enfants.

Depuis la grotte de la Pagode des Par­fums. #Viet­nam

Une pho­to publiée par Auré­lie Amiot (@mmeoreille) le

Une chose est cepen­dant vraie : il est dif­fi­cile de se dépla­cer dans le pays. J’ai pu prendre le train pour Sapa, une semaine et demi avant le Têt, mais il a fal­lu se satis­faire des bus pour les tra­jets sui­vants. Et même eux étaient blin­dés, avec des prix plus éle­vés... Pour un tra­jet, nous avons même eu les der­nières places du bus le plus pour­ri du pays. Je vous laisse imaginer.

Ce que le Têt va changer pour un voyage au Vietnam

Donc, comme je vous le disais, le Têt va sur­tout rem­plir les trains. Et c’est fina­le­ment le point le plus gênant. Aus­si, je vous conseille de, soit réser­ver vos tra­jets en avance depuis la France, soit ache­ter des billets de bus en arri­vant. Mais en tout cas, ne pas trop impro­vi­ser les gros tra­jets, sous peine de ne pas trou­ver de place et de voya­ger dans des condi­tions catas­tro­phiques. Car oui, vous pour­rez tou­jours mon­ter dans le bus, mais par terre, pen­dant des tra­jets de nuits et très longs... Il sera éven­tuel­le­ment pos­sible de se rabattre sur l’a­vion, moins pris d’as­saut, car for­cé­ment plus cher. Les lieux tou­ris­tiques bon­dés ? C’est ce qu’on lit par­tout, et, c’est vrai et faux : le pre­mier jour, ce sera calme. Puis, gra­duel­le­ment, ça va se rem­plir. Nor­mal, ils viennent prier en famille. Mais là encore, à Hanoï c’é­tait très modé­ré. Enfin, c’est presque le meilleur moment pour de grandes villes comme Hanoï : elles se parent de dra­peaux, illu­mi­na­tions et déco­ra­tions, et deviennent, pen­dant quelques jours, un poil plus calme. Visi­ter une capi­tale asia­tique sans l’ha­bi­tuel caphar­naüm, c’est vrai­ment agréable ! Et, oui, quelques maga­sins seront fer­més, mais ceux qui ont besoin de tou­ristes savent bien qu’il faut res­ter ouverts ! En bref, le Têt, c’est pas la meilleure période pour voya­ger en indé­pen­dant sans iti­né­raire, certes, mais c’est pas infai­sable non plus !

Mais alors, quand partir au Vietnam ?

Le pro­blème du Viet­nam, c’est le cli­mat. J’ai tes­té la mous­son en Inde, et fran­che­ment... plus jamais ! Au Laos, nous étions par­tis sur jan­vier-février, et je m’at­ten­dais à retrou­ver la même météo au Viet­nam. J’ai eu sen­si­ble­ment plus froid dans le Nord (la nuit) et plus chaud dans le centre et dans le sud (mais ça fait le bon­heur des ven­deurs de jus de canne à sucre). Il y a deux sai­sons au Viet­nam. De novembre à avril, c’est la sai­son sèche, où il fait plus froid. Et de mai à octobre, il pleut et on étouffe ! Mais comme le pays est quand même grand, il y a des dif­fé­rences entre nord et sud. Ain­si, une semaine avant mon pas­sage, il avait nei­gé à Sapa. Et chaque matin, la végé­ta­tion était cou­verte de givre.

Dates du Têt

  • 2015 : 19 Février
  • 2016 : 18 Février
  • 2017 : 28 Janvier
  • 2018 : 16 Février
  • 2019 : 5 Février

Faut-il passer par une agence ou partir en indépendant ?

Même pen­dant le Têt, j’ai réus­si à faire ce que je vou­lais, à ma sauce, en impro­vi­sant. L’A­sie est glo­ba­le­ment très acces­sible à ceux qui veulent voya­ger avec un vol sec, sans agence, et le Viet­nam ne fait pas excep­tion. Là où je nuan­ce­rai, c’est pour un voyage en famille, ou en tout cas un voyage à plus de deux : il peut être com­pli­qué de trou­ver 4 places dans un bus décent au der­nier moment, par exemple. Selon vos habi­tudes en voyage, cela vaut peut-être le coup de pas­ser par un agence pour évi­ter ce genre de déboire.

Obtenir un visa pour le Vietnam

Comme je suis du genre à pas aimer les sur­prises à la fron­tière, et que j’ai la chance d’ha­bi­ter en région pari­sienne, je suis allée faire faire le mien direc­te­ment à l’am­bas­sade. Je ne don­ne­rai pas d’in­fos tari­faires ici, elles seront vite obso­lètes. Sachez juste qu’il faut ame­ner son propre tube de colle pour les pho­tos, sous peine de poi­reau­ter long­temps (être la pre­mière et voir l’in­té­gra­li­té de la salle pas­ser avant pour une his­toire de colle...) Il est éga­le­ment pos­sible de faire son visa en arri­vant, si on a pré­vu quelques papiers et for­ma­li­tés à l’a­vance : toutes les infos sur le blog de Seth & Lise.

Prendre le train

Mon expé­rience du train se limite à deux tra­jets du nuit, pour aller à Sapa, puis­qu’en­suite, les trains étaient tous com­plets, Têt oblige. Mais je retiens une chose : c’est à la fois simple et com­pli­qué. Com­pli­qué parce qu’il y a plu­sieurs wagons, dif­fé­rents noms, dif­fé­rentes pres­ta­tions. Et en même temps, dès lors qu’on n’est pas à quelques euros près, il suf­fit de ren­trer dans n’im­porte quelle agence du quar­tier tou­ris­tique d’Hanoï. Par contre, le retour ne fut pas ras­su­rant : il m’a fal­lu échan­ger un vou­cher contre mon ticket. Sauf que tout se fait dehors, devant la gare. C’est pas vrai­ment dans nos habi­tude. Et se retrou­ver à cher­cher le bon bon­homme, celui qui a votre ticket, alors que vous êtes toute seule dans une ville que vous ne connais­sez pas, c’est pas top. Mais en fait, tout le monde tra­vaille ain­si. Et ça marche très bien. Il faut juste arri­ver suf­fi­sam­ment en avance. Mes deux trains étaient glo­ba­le­ment propres et bien entre­te­nus. J’a­vais choi­si les cou­chettes du haut : voya­geant seule, cela me sem­blait plus ras­su­rant, per­sonne ne pou­vant attra­per dis­crè­te­ment mon sac pen­dant mon sommeil !

Prendre le bus

Pour les bus, j’ai tout tes­té. Le mini bus blin­dé qui ne part que plein (mais où y’a pas d’ar­naque, le prix est affi­ché à la gare). Le bus pour tou­ristes ultra propre mais avec la musique à fond alors que tu essaies de finir ta nuit. Et le truc hyper crade où tu te demandes com­ment ça roule encore. Glo­ba­le­ment, il faut rete­nir deux choses. La pre­mière, c’est que les chauf­feurs sont géné­ra­le­ment des cré­tins. Et des cré­tins avec du pou­voir et une ten­dance à l’a­gres­si­vi­té. Aus­si, il sera dif­fi­cile de négo­cier les places. Et les tou­ristes ont sou­vent les places pour­ries (celles à côté des chiottes qui puent, you­pi). Les bus de nuit ont des espèces de sièges cou­chettes. Pas vrai­ment allon­gé, mais mieux que assis. L’as­tuce consiste à gar­der sa cein­ture de sécu­ri­té, la conduite pou­vant être brusque dans cer­tains virages. Il y a deux étages de cou­chettes, répar­ties en trois ran­gées, autour de deux cou­loirs. Les meilleurs places sont au milieu (loin des toi­lettes du fond, loin du chauf­feur et de sa musique à l’a­vant, loin des des essieux !), côté fenètre (moins de chances de se prendre le sac d’un voya­geur mal­adroit) et à l’é­tage (moins de chance de se prendre les pieds d’un voya­geur mal­adroit). En période de Têt, nous avons vu les bus se rem­plir de façon impres­sion­nante : les cou­loirs se trans­forment alors en places, dont les moins for­tu­nés devront s’accommoder.

Notre pire expé­rience fut à Hoi An (Mon­sieur Oreille m’ayant rejoint pour cette par­tie du voyage). Nous appe­lons la com­pa­gnie qui assure le tra­jet pour savoir si notre bus passe devant notre hôtel (la plu­part font des arrêts aux endroits tou­ris­tiques) mais on nous demande de venir à l’a­gence. Sur place, on découvre une petit local dans une rue exigue. Un mon­sieur nous explique qu’il va nous emme­ner à l’en­droit où passe le bus... et revient avec une minus­cule moto. Nous voi­là donc embar­qués, cha­cun notre tour, avec nos sacs à dos, sur le petit deux-roues d’un mec qui télé­phone au gui­don. Ca com­mence mal. Il nous lache à un croi­se­ment où attend un autre couple de tou­ristes. Nous sommes à 100m de notre hôtel, on rit un peu jaune. Et on attend. Et on attend. Et on se demande si le bus va passer.
Et un bus finit par arri­ver, pour s’ar­rê­ter devant notre hôtel. On dis­tingue les gens mon­ter dedans, les uns après les autres. On se dit que quand même, c’est pas pos­sible, on nous a dit que le bus ne s’ar­rê­tait pas là. Et bien sûr, quand le bus arrive, il ne reste que quatre places, celles à côté des toi­lettes, donc. Dans le bus le plus pour­ri de tout le voyage, avec des cein­tures de sécu­ti­té cas­sées, des toi­lettes heu­reu­se­ment hors d’u­sage, et un siège tout aus­si flin­gué, tel qu’à chaque nid de poule, Mon­sieur Oreille m’a­grip­pait pour évi­ter que je ne glisse dans le cou­loir. For­mi­dable. Et tout ça hors de prix, Têt oblige.

Bref, conclu­sion : on peut trou­ver des bus au der­nier moment pen­dant le Nou­vel An Viet­na­mien, mais si on peut les ache­ter un petit peu avant, c’est mieux !

Louer un scooter

A prio­ri, ce n’est plus cen­sé être si facile, mais pour­tant, même sans per­mis, nous n’a­vons eu aucun mal à en trou­ver pour vrai­ment pas cher. Cela peut sem­bler dan­ge­reux, mais c’est en fait plu­tôt aisé, même à Hanoï : la cir­cu­la­tion est dense mais fluide et lente. Il suf­fit d’y aller en dou­ceur, de sur­veiller ses angles morts, et sur­tout, de klaxonner !

C’est la même chose en vélo, regar­dez régu­liè­re­ment au des­sus de votre épaule !

Là où ça peut deve­nir spor­tif, c’est sur les grands axes. Les viet­na­miens n’ont aucun pro­blème à dou­bler quel­qu’un qui est déjà en train de dou­bler quel­qu’un qui est déjà en train de dou­bler. Ain­si, vous pou­vez voir plu­sieurs bus et voi­tures arri­ver fron­ta­le­ment sur vous parce qu’ils sont tous en train de se dou­bler, et le petit scoo­ter, ben, ils s’en foutent un peu. Il vaut mieux se dépor­ter sur le bas côté que d’es­sayer de faire valoir son droit, dans ce cas.

Glo­ba­le­ment, louer un scoo­ter est plu­tôt sym­pa pour explo­rer les envi­rons de chaque ville. Les routes sont peu nom­breuses et on trouve faci­le­ment des gens à qui deman­der son chemin.

Par contre, je vous conseille vive­ment l’a­chat du petit masque en tis­su que tous les viet­na­miens arborent en ville. Déjà parce qu’il limite les irri­ta­tions de la pol­lu­tion omni­pré­sente, qu’on soit moto­ri­sé, cycliste ou pié­ton, et ensuite parce qu’il pro­té­ge­ra un peu de la pous­sière que va lever le gros bus en vous dou­blant n’im­porte comment.

Sécurité et trucs pénibles

Comme dans tout endroit peu­plé, vous n’êtes pas à l’a­bris d’un vol à l’ar­ra­ché, mais le Viet­nam n’y est pas plus sujet qu’un autre pays. C’est même gloa­ble­ment un pays où on se sent en sécu­ri­té. Par contre, il y a plein de petites arnaques. Entre le mec qui va faire mine de vous aider à vous y retrou­ver dans vos billets mais va pro­fi­ter de la situa­tion pour en gar­der un peu trop, celui qui va vous sur­vendre une pres­ta­tion parce que vous n’a­vez pas le choix... Bref, les désa­gré­ments habi­tuels, sur les­quels il fau­dra évi­ter de faire une fixa­tion sous peine de se gâcher le voyage.

Coût d’un voyage au vietnam

Comme je devais aller au Viet­nam en 2010, j’a­vais le Lone­ly Pla­net de cette année là. Je n’ai pas son­gé à en rache­ter un mais ça m’a fait quelques frayeurs une fois sur place : l’in­fla­tion est col­los­sale. Ain­si, plu­sieurs fois, le guide indi­quait des tarifs qui avaient plus que tri­plé, et cela en l’es­pace de quatre ans...

Du coup, le Viet­nam n’est pas une « des­ti­na­tion pas chère » à pro­pre­ment par­ler, mais selon le degré de confort et les visites que l’on fait, le bud­get peut faci­le­ment des­cendre, l’offre en auberges pour back­pa­cker et en stand de nour­ri­ture dans la rue étant très impor­tante. Et puis, il fau­dra bien sou­vent marchander !

Quelques photos pour terminer

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19 commentaires

Laurence 15 janvier 2015 - 10:32

Nous y sommes aus­si allés pen­dant le Têt et nous n’a­vions pas du tout pris conscience de cela. Nous nous en sommes ren­dus compte une fois arri­vés à Ho Chi Minh où nous vou­lions prendre le train pour remon­ter dou­ce­ment Hanoï. Mais plus de places dans les trains. Ni dans les bus. Nous avons réus­si à prendre un avion et sommes res­tés 15 jours à Hanoï. Pas du tout ce que nous avions pré­vu mais c’é­tait vrai­ment génial comme expé­rience. Voir la ville se vider, prendre ses habi­tudes dans le quar­tier dans lequel nous étions, prendre notre temps pour vivre un peu la ville dans une ambiance dif­fé­rente... Le contraste entre la vie qui grouille tous les jours à chaque ins­tant et le jour du Têt est sur­pre­nant... Tes pho­tos sont magnifiques !

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Jean-Pierre 15 janvier 2015 - 21:50

Bon­jour, c’est une vraie aven­ture de s’y rendre dans ce beau Viet­nam, je ne suis pas sur de m’y rendre un jour, par contre je tenais à vous remer­cier car vous, vous l’a­vez fait et vos images sont tout sim­ple­ment sublimes par leur clar­té et leurs his­toires. Mer­ci encore pour ce beau par­tage et votre courage !

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Alexandra 16 janvier 2015 - 16:50

Viet­nam un doux rêve que j’es­père réa­li­ser ! En tout cas cette article ma per­mis de voya­ger quelques minutes, sublime !

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Laurence - Le Fil de Lau 18 janvier 2015 - 1:45

Je n’ar­rive pas à ima­gi­ner Hanoï vide et calme ^^

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Agathe, En avion Léon ! 3 février 2015 - 12:39

Encore une fois accro à tes superbes pho­to ! J’en­vi­sage un repor­tage au Viet­nam bien­tôt pour « En avion Léon ! » et je me fais du coup une note avec tes pré­cieux conseils pour ce road trip qui, je l’es­père, sera char­gé en émo­tions et rencontres.

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Jérôme Cherrier 17 février 2015 - 9:15

Bon­jour.
Bra­vo pour tes repor­tages. Je pars au Viet­nam dans moins d’un mois et tes conseils vont être précieux.
Tes pho­tos sont superbes.

Encore bra­vo

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Sabine 24 février 2015 - 16:56

Je ne vais pas faire dans l’o­ri­gi­na­li­té mais tes pho­tos sont superbes, elles en jettent ! Sinon au niveau des trans­ports, moi c’est ma grande han­tise j’ai tou­jours besoin de réser­ver à l’a­vance, de savoir exac­te­ment les horaires etc... ce qui n’est évi­dem­ment pas tou­jours pos­sible ! Enfin, je me suis cal­mée vis à vis de ça ! 😉

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isabelle 18 mars 2015 - 8:59

un mot : sublime
en fait non, deux : émouvant
et puis zut de flute, un peu plus que deux mots : je ne me lasse pas de déam­bu­ler dans les pay­sages de tes pho­tos, de faire connais­sance avec ces personnes.
bravo !

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Nam 31 mars 2015 - 5:58

Tu vas ado­rer comme tous tes pré­dé­ces­seurs... laisse toi aller et laisse la vie te guider 🙂
http://www.astucevoyage.ca

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Anne-Marie 1 juillet 2015 - 13:11

Nous reve­nons de 12 jours au Viet­nam : les plus belles vacances que nous avons pas­sé depuis longtemps.
Contrai­re­ment aux idées reçues, le Viet­nam est un pays à notre por­tée, et les viet­na­miens sont d’une gen­tillesse hors du commun.
Mer­ci pour ces belles pho­tos, elles reflètent bien l’es­prit de ce magni­fique pays.

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Olivier 28 janvier 2016 - 13:39

Bon­jour Mme Oreille, je suis un incon­di­tion­nel du Viet­nam. J’y suis allé une quin­zaine de fois en moins de 10 ans. Et là depuis 2014 je n’ai pas pu y retour­ner, donc grâce à vos pho­tos et vos textes j’ai pu quelques ins­tants m’y retrou­ver. Merci

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Chris 29 juin 2016 - 11:10

Superbes pho­tos ! le Viet­nam, c’est notre pro­chaine des­ti­na­tion pour début 2017...

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Vietnam Original Travel 30 juin 2016 - 4:31

Bon­jour,
Très belles photos.
Très étrange de voir les villes désertes pen­dant le Têt !

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Stephane 15 septembre 2016 - 15:23

Salut et pour ne pas etre trop ori­gi­nal tes pho­tos sont superbes
Ma petite famille et moi nous par­tons au viet­nam en fevrier 2017 on se pose une ques­tion sur le temps dans le nord et si on peut mon­ter la haut. On serait aus­si inté­res­sé par des lieux ou adresses que vous auriez visi­té qui sortent des sen­tiers batus dans le centre et le sud ou nous sommes surs d’aller
Mer­ci d’a­vance pour ta reponse et bonne journée

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JEZEQUEL 18 janvier 2017 - 11:27

Bra­vo pour vos tres belles pho­tos .avez voous publieeun livre ? si oui lequel ?quel édi­teur ?cela ferait de tres beaux cadeaux pour le tet .
Camon tan biet .
CHU MUNG NAM MOI
CHRISTIAN

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Charpentier 19 décembre 2018 - 23:17

J’ai pris beau­coup de plai­sir à lire les dif­fé­rentes rubriques de ce voyage j’y suis allée il y a plus de 10 ans et me posais la ques­tion c’est com­ment pen­dant la fête du tet main­te­nant je sais mer­ci beaucoup

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Téo 19 juin 2019 - 9:23

Superbe article très com­plet sur le Têt, bra­vo ! Cer­taines pho­tos sont vrai­ment inédites, quel talent =)
Il est vrai que si votre guide de voyage vous indi­quait des prix de 2010, il y avait de quoi être sur­prise ! Plus récem­ment, le taux d’in­fla­tion au Viet­nam est plu­tôt de l’ordre de 4 à 5 %, mais il est cer­tain que cumu­lé sur plu­sieurs années, la fac­ture peut vite aug­men­ter (a for­tio­ri durant le Têt). Il faut cepen­dant rela­ti­vi­ser, le Viet­nam reste un des pays les plus abor­dables, même s’il existe des pres­ta­tions de grand luxe pour les plus exi­gents. Bonne conti­nua­tion en tout cas !

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LesMichels 16 juillet 2019 - 18:23

Cette pho­to du petit gar­çon et du singe <3 <3 <3
Content de voir autant d’a­mour pour notre pays d’adoption =)

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Parfum d'Automne 16 mars 2020 - 10:56

En 2020, le Viet­nam essaie de battre le record du Têt le plus long ... Les écoles sont fer­mées depuis lors jus­qu’en avril à cause de l’é­pi­dé­mie. Les rues sont moins engor­gées, ce qui est para­doxa­le­ment par­fait pour faire du tourisme ...

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